Mémoire Management Des Risques Alm

Première partie : la gestion des risques au CDM comparée à la BP et à la BMCE Chapitre 1 : gestion des risques au CDM…………………………………………………...10 Section 1 : recommandations du comité de Bâle II………………………………………10 Section 2 : exigences de BAM…………………………………………………………...11 Section 3 : différents types de risque……………………………………………………..26 Section 4 : principaux acteurs et stratégie de couverture de risque………………………36 Section 5 : évaluation des risques……………….. ………………………………………44

saurons clôturer cette page sans exprimer notre reconnaissance et sympathie a tous ceux qui par leurs critiques, leurs suggestions, leurs observations et leurs conseils ont contribué d’une manière ou d’une autre à la réalisation de ce mémoire.------------------------------------------------- | SOMMAIRE : DEDICACE ........................................ .......................................................................... 2 REMERCIEMENTS ................................

méthodologie quantitative de la gestion de l’écoulement de ce portefeuille qui permet d’identifier le risque marché associé. En effet, dans le contexte de crise financière qui touche de nos jours la sphère boursière internationale, la gestion du portefeuille marché de la CDG représente un enjeu majeur pour lequel une analyse du risque de liquidité s’impose. Ainsi, le troisième chapitre de notre mémoire, nous donnons également un aperçu global sur l’organisation du marché boursier marocain, analyser des

préfère les taux fixes). Taux bas. Prêt à des gens qui ont peu de moyen. Entre dépôt et prêt, les banques ne gagnent pas grand-chose. En Belgique, on commence à prendre de plus en plus de risques pour avoir de la croissance. Titrisation. Rendements élevés au plus le débiteur est risqué, mais on prend beaucoup de risque car si les gens ne savent plus payer, les banques reprennent simplement la maison, qui vaut plus cher qu’à l’achat et comme les gens ont déjà remboursé un peu, les banques ne perdent pas

................... 6 II. LA REGLEMENTATION BANCAIRE............................................................................................................... 6 A. Le risque systémique et la surveillance du secteur bancaire ............................................................... 7 1. Définition du risque systémique ........................................................................................................... 7 2. La nécessité de surveiller le secteur bancaire..

INSTITUT SUPERIEUR DE COMMERCE ET D'ADMINISTRATION DES ENTREPRISES CYCLE SUPERIEUR DE GESTION (C.S.G) MEMOIRE PRESENTÉ EN VUE DE L'OBTENTION DU DIPLOME DU CYCLE SUPERIEUR DE GESTION L'audit systémique, un outil d’efficacité du risk management Application aux systèmes d'information, aux activités de marché, aux ressources humaines et à la comptabilité. Cas du système bancaire marocain. Par Membres du Jury • : M. Badr FIGUIGUI : M. Mostafa MELSA : Professeur à l’ISCAE, Président du

les taux fixes). Taux bas. Prêt à des gens qui ont peu de moyen. Entre dépôt et prêt, les banques ne gagnent pas grand-chose. En Belgique, on commence à prendre de plus en plus de risques pour avoir de la croissance. ← Titrisation. Rendements élevés au plus le débiteur est risqué, mais on prend beaucoup de risque car si les gens ne savent plus payer, les banques reprennent simplement la maison, qui vaut plus cher qu’à l’achat et comme les gens ont déjà remboursé un peu, les banques ne perdent

SOLVENCY II : CONTROLE ET GESTION DES RISQUES REMERCIEMENTS Je tiens tout d’abord à remercier le Cabinet Ernst & Young qui m’a offert l’opportunité de faire un stage en Audit. Au cours de ce stage, j’ai pu découvrir différents secteurs d’activité comme les Fonds d’Investissements, la Banque, les Sociétés Commerciales et l’Assurance. C’est lors d’une mission en Assurance que j’ai découvert le thème de ce mémoire Solvency II, que je vais vous laisser découvrir par vous-mêmes. Je

sans l’accompagnement d’un organisme financier en l’occurrence une banque. L’une des principales activités d’une banque est l’octroi des crédits. Cependant les établissements financiers ne prêtent pas à tous leurs clients car ils doivent limiter le risque de crédit. La demande de crédit de la part du client prend beaucoup de temps pour être traitée, en moyenne une semaine à trois mois d’où une moindre satisfaction de la clientèle. Le client ayant souvent des problèmes de solvabilité et n’ayant pas

tiens à remercier Mr A. ASSALHI, Président du Directoire de la Banque Populaire Rabat-Kénitra, qui m’a donné la chance de poursuivre mes études. Je remercie particulièrement Mr A. ANDALOUS, professeur à « l’ISCAE », d’avoir accepté de diriger ce mémoire et de m’avoir donner de nombreux bons conseils au cours de mon projet de fin d’étude, ainsi que Mr M. BEDDARI, Directeur de la «Division Planification et Contrôle de Gestion » et Mr H. EL ATTAR, Directeur du Contrôle de Gestion à la BCP, pour leurs