Naïades

fait d'abord l'accueil le plus empressé, Aphrodite s'enfuit à Lampsaque où, par suite de l'intervention d'Héra, elle donne le jour à un enfant dont elle ne peut supporter la vue. Enfin, on disait encore que Priape était le fils de Dionysos et de la Naïade Chioné. Il déteste les ânes et demande qu'on lui en sacrifie un pour son culte. Son aversion pour cet animal viendrait du fait qu'une nuit où il allait, selon Ovide2, violer Hestia, la déesse fut avertie par le braiment de l'un d'entre eux et put

sentiments. Pierre Ronsard nous transmet un sentiment de vénération face à la nature. Pour cela, il fait référence de nombreuses fois à la mythologie grecque : « grecs » ; « La forêt d’Erymanthe » ; « muses » ; « De Satyres et de Sylvains » ; « Naïades »  et emploie le terme « sacrilège » lorsqu’il s’agit de la brûler. Il montre sa dévotion à cette nature en employant les expressions : « couché sous tes ombrages » ; « je te chante » ; « obligé je suis à ta belle verdure » ; « en toi je me perds » puis

chapitre 3 le faux éloge de la guerre 8-Dédicace des Fleurs du Mal à Th. Gautier. Baudelaire 9-A une passante Baudelaire 1O-Un article de l'Equipe faisant l'éloge de Thierry Henri. 11-Du sirop pour les guêpes Frédéric Dard : portrait élogieux d'une naïade. S 1 : corpus sans titre distribué aux élèves. Obj. : dans la diversité générique et typologique, trouver le point commun à tous ces textes et comprendre l'extension de la notion d'éloge et de blâme S2 : un essai de classement de ces textes

nature est complice de Rose (les oiseaux expriment ses sentiments et commentent la situation de son point de vue ; les éléments naturels lui donnent l’occasion de révéler son corps ; elle apparaît comme une nymphe des bois (dryade) et des rivières (naïade). C’est un poème lyrique qui évoque la nostalgie et le regret d’un amour perdu mais aussi le regret de sa jeunesse et du temps qui passe trop vite et inexorablement. Il porte sur lui un regard ironique comme amusé par sa naïveté, sa cécité, par

pourrait paraître incompréhensible : on parle d’un château dans l’eau mais qui regroupe les trois autres éléments naturels (la terre, le feu, l’air). Aussi l’eau est personnifiée en une grenouille (l’eau coassante l9) et les sœurs d’Ondine sont des naïades (« et mes sœurs caressent de leurs bras d’écume »l10). D’autre part il y a un changement de narrateur et donc de discourt (direct à indirect) entre les trois vers premiers où Ondine parle au narrateur et les deux derniers vers dans lesquels le narrateur

soit simultanément soit alternativement 1.2.Origine du mot : Dans la mythologie grecque, Hermaphrodite était le fils d'Hermès et d'Aphrodite, né sur le mont Ida de Troade. Alors qu'il se baignait dans une source d'Halicarnasse en Carie, la naïade de la source, Salmacis, s'éprit de lui. Elle fut repoussée, fit ensuite le vœu que les dieux unissent leurs deux corps pour n'en faire plus qu'un et fut exaucée. Cela donna naissance à un être humain homme et femme à la fois, que l'on a représenté

« tes bocages » et « ton bois ». Mais cette description apparait aussi comme une continuation du monde irréel. Le poète montre que la forêt comme est un lieu habité par des créatures mythiques comme « de Satyres et de Sylvains » ou encore « des Naïades », des créatures belles et séduisantes. Toutes ces demi-divinités qui sont tous liées à la nature, se comportent comme les hommes et sont joyeux. Puis on a les « muses », ce sont des divinités qui possèdent l’ensemble des connaissances sur les arts

le monde des vivants. Mais au moment de sortir des Enfers, Orphée ne put s'empêcher de se retourner vers Eurydice et perdit définitivement sa bien-aimée. Orphée est un chanteur qui envoûte tout le monde avec ses mélodies Il épouse Eurydice, une naïade Elle meurt et Orphée décide d’aller la rechercher aux enfers Grâce à ses chansons, Hadès l’autorise à ramener Eurydice, à la condition qu’il ne se retourne pas jusqu’à sa sortie des enfers Inquiet de ne pas l’entendre, il se retourne et la perd

organiser les idées qui se sont formées confusément durant le sommeil. L'œuvre va naître, jaillie des profondeurs de l'instinct, mais élaborée par la volonté lucide. Au cours de la dernière strophe, l'espérance créative est assimilée à une gracieuse naïade dont le buste émerge du niveau de l'eau, le reste de son corps restant plongé dans la profondeur aquatique symbolisant l'inconscient. La confusion morose Qui me servait de sommeil Se dissipe dès la rose Apparence du soleil. Dans mon âme je m'avance

thétis comme son cousin zeus, mais thétis rappeler conjecturer que tout fils qui se peindre d'elle serait plus grand que son père, prudents, ils cessèrent tous deux de la peloter et lui permirent d'épouser un être du nom de pélée. amphitrite, autre Naïade qu'il compulser ensuite, résista à ses avances et s'enfuit dans les montagnes de l'atlas pour lui échapper, mais il rembarrer des prodrome à sa poursuite, dont lesquels un indéniable delphinos qui plaida la espèce de poséidon d'une coupe si ensorceleur