Naoto Kan

Quelques heures après, un second séisme ébranle le Japon, a 15h20 précisément. Les vagues atteignent à ce moment des hauteurs de 4 mètres de haut et une vague de 10 mètres atteint la ville de Sendai sur les côtes japonaise. Le premier ministre, Naoto Kan, a déclaré qu’il n’y avait pas de fuite radioactive dans les centrales nucléaires. Par contre 11 réacteurs nucléaires japonais se sont arrêtés et il y a eu un début d'incendie dans la centrale nucléaire d'Onagawa. Les autorités se sont empressées

les deux puissances asiatiques survient après un certain apaisement au lendemain du boycott par le premier ministre japonais Naoto Kan, de la visite annuelle controversée au sanctuaire de Yasukuni, où sont honorés plusieurs criminels de guerre. A l’occasion de la célébration du 65ème anniversaire de la capitulation du Japon mettant fin à la seconde guerre mondiale, Naoto Kan avait aussi pour la première fois prononcé des excuses pour les exactions commises par l’armée nippone dans la région. De quoi

Premier ministre, Naoto Kan a demandé aux habitants d’évacuer dans un rayon de 10km autour de ce site, en raison d’un risque de fuite radioactive. Ce même samedi matin, des médias ont rapportés qu’un deuxième réacteur de la centrale nucléaire de Fukushima rencontrait des problèmes de refroidissement. Pour faire retomber la pression, les autorités s’apprêtent à relâcher de la vapeur radioactive et tentent de faire refroidir les réacteurs avec de l’eau de mer. Le Premier ministre, Naoto Kan, s’est dit convaincu

Fukushima, Onagawa, et Tokai ont cessé leurs activités après le séisme et le tsunami, et certains des réacteurs pourraient être endommagés de façon permanente après des efforts d'urgence de pompage d'eau de mer. Ainsi, le Premier ministre japonais Naoto Kan a annoncé le 25 mai 2011 à Paris lors de la cérémonie de commémoration du 50ème anniversaire de l’OECD, que son pays va revoir son programme d’énergétique de base dans son ensemble et va entreprendre 4 nouveaux défis2. Le premier de ces défis est

subi un dur coup sur le plan économique, mais ils vont s’en remettre. Le tsunami a aussi eu un impact au plan politique. Les vagues meurtrières et destructrices ont frappées le Japon pendant une très mauvaise période pour le premier ministre Naoto Kan qui connaît plusieurs difficultés. Elles mettent en péril la survie de son gouvernement. Suite à ces lentes réactions face a la catastrophe et la pression que le peuple lui inflige, il n’a pas eu le choix que de démissionner de son poste. Des nouvelles

Kazuhiro Haraguchi (ministre des Affaires intérieures et des Communications des gouvernements de Yukio Hatoyama puis Naoto Kan de 2009 à 2010), Yoshihiko Noda (ministre des Finances du gouvernement de Naoto Kan depuis 2010), Seiji Maehara (ministre du Territoire, des Infrastructures, des Transports et du Tourisme de 2009 à 2010 puis ministre des Affaires étrangères du gouvernement de Naoto Kan depuis 2010, ancien président du Parti démocrate du Japon). Depuis 2007, en collaboration avec l'ambassade de

>Le gouvernement japonais est sévèrement critiqué par la presse locale, qui estime que le premier ministre Nato Kan a tardé a faire face au risque nucléaire. "Je considère que la situation actuelle, avec le séisme, le tsunami et les centrales nucléaires, est d'une certaine manière, la plus grave crise en 65 ans, depuis la Seconde Guerre mondiale", a déclaré le premier ministre Naoto Kan. > Le dernier bilan officiel de la police nationale faisait état de 688 morts, 642 disparus et 1 570 blessés.

de notre mieux pour être parfaitement au courant de ce qui s'est passé. Nous surveillons les radiations avec attention." Les autorités prennent "toutes les mesures pour assurer la sécurité des habitants", a-t-il ajouté. Le Premier ministre Naoto Kan a ordonné l'évacuation des habitants dans un rayon de 20 kilomètres autour de la centrale, doublant la distance qui avait été fixée vendredi. L'Agence de sécurité nucléaire et industrielle avait auparavant averti qu'une fusion pourrait être en

: aucune | | Langue officielle | Japonais (de facto) | Capitale | Tōkyō 35°41′N 139°46′E / 35.683, 139.767 | Plus grande ville | Tōkyō[1] | Forme de l’État | Monarchie constitutionnelle |  - Empereur  - Premier ministre | Akihito Naoto Kan | Superficie  - Totale  - Eau (%) | Classé 62e 377 835 km2 0,9 % | Population  - Totale (2008)  - Densité | Classé 10e 127 078 679[2] hab. 337,3[3] hab./km2 | | | | Japonais, Japonaise | | | | | | | Monnaie | Yen

un nouveau séisme d’une magnitude 6 s’est de nouveau fait sentir. Tsunami, raz-de-marée, glissements de terrain, inondations, séisme et incendies, le Japon vit "sa plus grave crise depuis la Seconde guerre mondiale", selon le Premier ministre Naoto Kan. Les victimes et leurs biens sont enfouis sous la boue. Depuis samedi, les inquiétudes prennent de l’ampleur avec l’explosion du premier réacteur du site de Fukushima à 240 kilomètres au nord de Tokyo. Le même scénario touche les 3 autres réacteurs