Naoto Kan

ordres : d’une part, certains groupes sont porteurs d’une idéologie alternative faite d’autogestion, d’écologie, d’économie non capitaliste, de pacifisme et investissent de plus en plus les assemblées locales. Certains leaders politiques du PDJ, tels Naoto Kan, l’une des figures de proue de cette mouvance, en sont originaires. C’est le cas des coopératives de consommation Seikatsu kurabu, « les clubs de la vie » et de leur bras politique le Net qui, outre la protection du consommateur, s’intéressent aux

de sécurité en 2004 et destiné au Premier ministre Junichiro Koizumi, appelant « à faire usage du soft power et du hard power comme moyens de préserver la paix et la — 77 — sécurité » ; le second, dans le rapport soumis au Premier ministre Naoto Kan, en août 2010 par le Conseil sur la sécurité et les capacités de défense dans l’Ere nouvelle, qui considère que le soft power est un élément de l’identité du Japon, « nation créatrice de paix ». Dans les deux cas, les rapports considèrent la nature

promis d’infliger des sanctions sévères aux personnes suspectées si leur culpabilité était établie. « S’il y a réellement eu des combats truqués, il s’agirait d’un acte grave de trahison à l’égard du peuple japonais », a déclaré le Premier ministre Naoto Kan devant le Parlement, en réclamant que toute la lumière soit faite. Des soupçons de trucage planent depuis longtemps sur ce sport vénéré au Japon, mais aucune preuve n’a pu jusqu’ici être fournie. En 2000, un lutteur à la retraite, Keisuke Itai, avait