Narcisse Ovide

Les Amours – Ovide. Titre de l'œuvre: Les Amours Auteur: Ovide Genre: Poème élégiaque Date de création: Commencé vers –25, il fut publié vers –15. Les amours d'Ovide, est un recueil élégiaque constitué en quatre livres: Livre I: Élégie I: Ovide voulait chanter la guerre. Mais, après avoir fait des reproches à Cupidon, il aurait été touché de ses flèches et serait donc tombé amoureux. L'amour empêche Ovide de dormir, le tourmente. Mais il faut laisser ses sentiments s'exprimer

L'Âge d'Or, Ovide, Les métamorphoses (texte 1) I. Le bon sauvage Aurea prima sata est aetas, quae vindice nullo, Sponte sua, sine lege, fidem rectumque colebat. Poena metusque aberant nec verba minantia fixo Aere legebantur, nec supplex turba timebat Judicis ora sui, sed erant sine vindice tuti. II. Des tribus paisibles Nondum caesa suis, peregrinum ut viseret orbem, Montibus in liquidas pinus descenderat undas Nullaque mortales praeter sua litora norant. Nondum praecipites cingebant

Spleen et Idéal. Les rimes sont(voir poème) et il s’agit d’octosyllabes. Vocabulaire : pensers= une pensée Forme : 1ère strophe 1 phrase + une apostrophe 2ème strophe  1 phrase 3+4ème strophes 1 phrase 1ère strophe : apostrophe à un tu (Ovide). 2-3ème en je + adressé aux cieux Il y a trois comparaisons : v.2, v.7, v.9 Thème : La chute, le Spleen, la mort, l’exil (thèmes fréquents chez Baudelaire.) Les champs lexicaux sont en rapport avec les thèmes La chute : - La rime vide

Hermès, v. 541 et ss. J JUSTIN, Première Apologie, 66, 3-4, trad. L. Pautigny, Paris, Picard, 1904. L à O Les mystères d’Egypte, 3. 11. LUCAIN, Pharsale, 5, 64-236. ODYSSEE, 3, 430-463, trad. V. Bérard, Paris, Les Belles Lettres, PUF, 1972. OVIDE, Métamorphoses 1, 166-180, trad. G. Lafaye, Paris, Les Belles Lettres, PUF, 1999. P Papyrus Berlin 3024. Trad. Par G. LEFEBVRE, Romans et contes égyptiens de l’époque pharaonique, Paris, Maisonneuve, 1949, p. 27-28. PAUSANIAS 9. 31. PAUSANIAS,

Pygmalion 1) personnages Pygmalion : sculpteur resident à Chypre . Pygmalion n’est pas un personnage créé par Ovide puisqu’il apparaît auparavant chez Clément d’Alexandrie et Arnobe (un écrivain latin chrétien né d considéré comme un Père de l'Église, est né à Athènes vers 150 et mort en Asie Mineure vers 220 ans la seconde moitié du IIIe Veneria en Afrique du Nord). Galatée : femme/statue de Pygmalion. L'étymologie de Galatée renvoie au grec : « gala, galaktos » qui signifie le lait

Publius Ovidius Naso (=tria nomina) Né à Sulmone en -45 César est assassiné en -44 Ovide appartient au siècle d’Auguste, il est né d’une famille de chevaliers, c’est-à-dire qu’ils avaient suffisamment d’argent pour acheter les armes et l’équipement et ainsi combattre ds l’armée. Ovide est un poète de la PAIX RETROUVEE 3° GUERRE CIVILE : -44 : Rome tombe pour la troisième fois dans la guerre civile : Liste de proscription hors-la-loi ó susceptible d’être mis à mort à tous

Ovide Ovide, en latin Publius Ovidius Naso, né le 20 mars 43 av. J.-C. À Sulmona, dans le centre de l'Italie et mort en 17 ap. J.-C., en exil à Tomis (l'actuelle Constanţa en Roumanie), est un poète latin qui vécut durant la période qui vit la naissance de l'Empire romain. Son surnom Naso lui vient de son nez proéminent (tout comme Cicéron, dont le surnom signifie pois chiche, qu'il devait à la verrue d'un de ses ancêtres). Il naît un an après l'assassinat de Jules César, est adolescent lorsque

Ovide innove sur le thème amoureux par rapport à ses prédécesseurs : Catulle, Tibulle, Properce décrivaient leur passion pour une amante réelle ou imaginaire. Ovide quitte le style personnel pour un registre qu'il veut universel, et se pose en conseiller sur les techniques de séduction du beau sexe. Il garde une apparence de conformité à la bienséance en excluant les épouses, moralement intouchables, néglige les filles publiques d'une seule passe et ne s'intéresse qu'à la fréquentation assidue des

sa soeur auprès desquelles il semble avoir passé son enfance en Latinium (entre Tivoli et Palestrina actuellement) ; mais on ne sais rien sur son père . Il fit deux voyages, l'un en Aquitaine (avec MESSALA CORVINUS chez qui il connut Horace et Ovide), l'autre en Orient pour participer à la guerre contre Antoine et Cléopatre (la célèbre bataille d'Actium menée par Auguste en – 31). Tibulle chante surtout l'amour avec ses joies, ses espoirs, ses déceptions, ses souffrances ; il exprime aussi

avant lui, et qu'elle fut enterrée auprès de l'Anio, dans les champs de Tibur. Il paraît, d'ailleurs, qu'elle ne lui fut pas toujours fidèle, car il lui adresse des reproches que tout porte à croire mérités. Tous les rivaux de Properce : Tibulle, Ovide, Gallus et le second Mécène de la cour d'Auguste, partagèrent avec Bassus, Ponticus et d'autres poètes contemporains, l'amitié du chantre de Cynthie. La dernière élégie du deuxième livre écrit par Properce est un magnifique hommage rendu au poème de