Narine

inquiétant (progression vers l'inquiétant) car il contraste avec le décor : alors que le cadre est lumineux et plein de vie il est pâle ; il est ensuite comparé à un enfant malade les multiples négations (« les parfums ne font pas frissonner sa narine ».) nous amènenent progressivement à la chute : « il a deux trous rouges au côté droit » III Une découverte macabre Rimbaud veut provoquer un choc, une émotion : ce jeune homme mort contraste avec la nature pleine de vie. Il veut insister

-nutrition (partie initiale) : le pôle oral participe à la captation de l’O2 et de l’alimentation Appareil respiratoire humain en milieu aérien -conduits aériens : · voies aériennes supérieures : besoin de capter l’air par le pôle céphalique (narines et la bouche). Ces prises d’air se poursuivent en AR par les voies supérieures (partie supérieure du cou et face) · voies aériennes déviées : trachée et bronches + larynx -soufflet (comme accordéon) : cage thoracique actionnée par le muscle diaphragme

la ruse et la futilité. Le fabuliste, comme toujours, se sert d'animaux personnifiés afin de représenter les Hommes. Cela crée un parallélisme entre deux mondes. Tout d'abore, on remarque des éléments humains pour le physique des animaux. «sa narine », « un grand rhume » mais aussi des sentiments humains « déplut », « irrité ». Cette personnification permet de s'identifier aux animaux et par la suite d'en tirer une morale.

sa franchise étonne. Guidé par ton odeur vers de charmants climats, Je vois un port rempli de voiles et de mâts Encor tout fatigués par la vague marine, Pendant que le parfum des verts tamariniers, Que circule dans l’air et m’enfle la narine, Se mêle dans mon âme au chant des mariniers. Charles Baudelaire, Les fleurs du mal, 1857. L’amoureuse Elle est debout sur mes paupières Et ses cheveux sont dans les miens, Elle a la forme de mes mains, Elle a la couleur de mes

roule devant Titi, elle fonce à travers les rues vides, elle penche tellement son vélomoteur dans les virages que le pédalier racle le sol en envoyant des gerbes d'étincelles. L'air chaud met des larmes dans ses yeux, appuie sur sa bouche et sur ses narines, et elle doit tourner un peu la tête pour respirer. Titi suit à quelques mètres, ses cheveux rouges tirés par le vent, ivre, elle aussi, de vitesse et de l'odeur des gaz. La ronde les emmène loin à travers la ville, puis les ramène lentement, rue

te dise tout bas : le parfum des bois de mon pays égale la fraise et la rose ! Tu jurerais, quand les taillis de ronces y sont en fleurs qu'un fruit mûrit on ne sait où - là-bas, ici, tout près - un fruit insaisissable qu'on aspire en ouvrant les narines. Tu jurerais, quand l'automne pénètre et meurtrit les feuillages tombés, qu'une pomme trop mûre vient de choir, et tu la cherches et tu la flaires, ici, là-bas, tout près... Et si tu passais, en juin, entre les prairies fauchées, à l'heure où la lune

ET SECOURISME Page 2 sur 4 b.Localisation de la brûlure Elle doit être décrite avec précision notamment s’il s’agit de localisations particulières comme : • les brûlures des voies aériennes, objectivées par la présence de traces noires autour des narines et de la bouche, la présence de toux ou de crachats noirs (qui seront systématiquement recherchés en cas de victimes d’incendie), • les brûlures des mains, des plis de flexion, du visage • les brûlures à proximité immédiate des orifices naturels.

La depression Tout parait normal, le train train habituel, ni plus ni moins ! On vivote, chemin faisant, parcourant les sentiers odorants semés de fleurs champêtres, humectant à pleines narines les offrandes de cette chère vie. La gaieté en sus, on se surprend à siffloter, chantonner, aimer la vie. Puis au fil du temps, les années passent,  les saisons changent et on perçoit pour la première fois une réaction particulière au contact du vent sur notre corps, ce même vent qui pourtant des centaines

il par sa franchise 'tonne Guid' par ton odeur vers de charmants climats, Je vois un port rempli de voiles et de m'ts Encor tout fatigu's par la vague marine, Pendant que le parfum des verts tamariniers, Qui circule dans l'air et m'enfle la narine, Se m'le dans mon 'me au chant des mariniers. Question sur le po'me

rural, téléphérique, champêtre, métropole, naviguer, ravin, banlieusard, col, labourer, agricole, digue, citadin, torrent, maritime, ferme, quartier, phare, faubourg, culminant, bocage, littoral, bain. - Discordant, nez, amer, œil, acide, couleur, narine, langue, papille, peau, sourd, doigt, oreille, déguster, tactile, nauséabond, humer, goûter, caresser, tympan, rugueux, entendre, gustatif, salé, olfactif, mélodieux, joli, beau, poivré, palpable, auditif, visuel, écouter, voir, regarder. - Exulter