Narration

l'extrait choisi, nous avons affaire à une homologie: le temps de l'histoire et celui de la narration sont présentés comme simultanés. L'ordre chronologique est préservé. Le moment de la narration: la narration mêle une narration ultérieure et une narration simultanée. On parle alors d'une narration intercalée. Cette narration implique la présence des réflexions et des commentaires. La vitesse de narration: L'extrait est une scène, c'est l'un des épisodes de l'histoire entre le petit prince et le

simplicité ». Nous montrerons que malgré sa mauvaise foi, le Chevalier des Grieux est avec Manon Lescaut le héros malheureux d’une tragédie, victime des passions, de la fatalité et de ses propres erreurs. Nous nous intéresserons tout d’abord à la narration de Des Grieux, récit crédible du destin d’un homme de qualité. Puis, nous verrons les faiblesses du personnage, ses contradictions et ses erreurs. Enfin, nous étudierons la dimension tragique du récit et la part de la fatalité dans l’Histoire du

description, de part sa définition est une pause dans la narration, elle est la présentation détaillée d'un lieu, d'un personnage ou d’un événement dans le roman. Ces descriptions ont déjà connu de grandes réticences, comme Breton qui parle d’elles comme du néant, « Et les descriptions ! Rien n’est comparable au néant de celles-ci ». Il les juge comme « une superposition d’images de catalogue ». Il est vrai que l’auteur coupe la narration pour intégrer une description et peut tout à son aise s’attarder

Tout le monde connaît, sinon par sa teneur exacte, du moins par son titre, le fameux « récit de Théramène », présenté dans toutes les anthologies dramatiques comme le modèle de la narration sur la scène classique française. Raconter la mort d'un jeune homme traîné par des chevaux effrayés par un monstre marin s'explique aisément en 1677, d'abord par la difficulté matérielle de la représentation d'une telle scène, ensuite par les exigences de l'unité de lieu. Mais le récit ne naît pas avec Théramène

LE ROMAN 1. la description Le genre romanesque s’inscrit dans la narration. Le narrateur peut donc choisir de s’attarder sur un moment qu’il juge plus important. Il peut aussi passer beaucoup de temps à décrire quelque chose semblant insignifiant : nous en déduisons qu’il y a un double rôle de la description : a)la volonté du narrateur de transmettre sa vision de la scène de sorte que le lecteur soit investit dans l’œuvre. b) la

du décor, présence/importance des descriptions, valeur symbolique) Caractérisation des personnages :  portrait  paroles rapportées  rapports entre eux (conflit / fusion)  fonction  La narration (= comment l’histoire/la fiction est racontée) : 1. 2. 3.   Organisation : • Temps :  rapport narration / histoire (antériorité, simultanéité, postériorité)  valeur des temps verbaux • Ordre narratif (analepse, prolepse) • Rythme narratif (pause, ralenti, scène, sommaire, ellipse, digression)

la fin du roman (cf. dernier chapitre « Il| |UR |priori une narration subjective => Les événements racontés le |est temps que le docteur Bernard Rieux avoue qu’il en est l’auteur ») | | |sont du point de vue de Meursault. |=> volonté d’une narration purement objective puisque utilisation de la p3 en grande | | |Mais personnalité du narrateur tend à rendre la narration |partie même si nombreux « nous » + certains événements auxquels

Le roman est une structure dans laquelle une intrigue s'organise en parties (ou chapitres) : -L'incipit, ce sont les premières phrases où se noue la relation entre un lecteur, une histoire, un narrateur, un personnage. -Le déroulement de la narration où la temporalité, l'espace et l'action s'organise dans une chronologie voulue par l'auteur. -L'épilogue, ce sont les dernières phrases du récit, qui achèvent l'histoire ou la laissent en répit. Un incipit "in media res" (au milieu de l'évènement)

Le point sur… | * Les points de vue narratifs appelés aussi focalisation Le point de vue ou focalisation est un procédé de narration. Il défini et délimite la personne qui perçoit les événements, la situation et les circonstances de l’histoire. La question à se poser est donc : « qui perçoit ? ». Donc pour raconter une histoire, le narrateur choisit un point de vue, il détermine ainsi qui perçoit ce qui va être rapporté. Il y a 3 sortes de point de vue : 1) Point de vue omniscient

des narrations impersonnelles à la troisième personne (« il/elle ») en contraste au passé composé pour des narrations personnelles à la première personne (« je »). Durant la réception qui suivit la cérémonie, le Premier ministre se promena de groupe en groupe. À aucun moment je n’ai pu lui parler personnellement. |Passé composé |Passé simple | |Utilisé à l’écrit et a l’oral pour la narration d’événements