Natalité

ce taux se calcule en divisant le nombre de naissance du pays, le tout multiplié par 1000) mais le taux de mortalité l’est aussi (l’espérance de vie d’environ est d’environ 40 ans). Le taux d’accroissement naturel ( la différence entre le taux de natalité et le taux de mortalité) est donc faible. * La croissance démographique est un peu plus importante pendant certaines périodes : XIème au XIVème s on a des progrès dans la production agricole qui explique la meilleure situation démographique.

l'accroissement de la population mondiale a connu une accélération sans précédent (figure 3.1). Savez-vous pourquoi ? Tendances mondiales de l'accroissement naturel de la population On parle d'« accroissement naturel de la population » lorsque le taux de natalité est supérieur au taux de mortalité. Alors que le taux d'accroissement de la population d'un pays est fonction de l'accroissement naturel et des migrations, l'accroissement de la population mondiale est exclusivement fonction de l'accroissement naturel

régime démographique est stable, c'est à dire que le taux de mortalité et de natalité sont forts avec un accroissement naturel faible. Par la suite, le taux de mortalité baisse, c'est le débute de l'accroissement naturel. C'est dans cette étape de la transition démographique que l'on assiste à un accroissement de la population. Troisièmement, c'est la natalité qui chute. Enfin, l'accroissement se stabilise avec un taux de natalité et de mortalité faibles. La deuxième étape s'explique par un progrès de

la chute de la natalité est intervenue dès le XVIIIe siècle, avant même celle de la mortalité. C - Un recul précoce de la natalité Le taux de natalité en France passe de plus de 32‰ vers 1800 à 22‰ en 1900 et même 14,5 entre 1936 et 1939, période pendant laquelle le pays connaît un "accroissement naturel négatif". La France passe définitivement sous les 30‰ une soixantaine d'années avant les autres pays européens les plus avancés démographiquement. Cette chute de la natalité permet au pays

Insuffisance de la natalité, soit par rapport à la mortalité, soit, plus souvent, par rapport à un niveau normatif de la natalité, correspondant à deux enfants par couple. *1 Diminution des naissances liées à une fécondité inférieure au seuil de remplacement des générations et pouvant se traduire par un déficit naturel (excédent des décès sur les naissances et donc – en l’absence d’immigrations – par un risque de dépopulation *2 Il y a dénatalité lorsque le taux de natalité est trop bas de sorte

qui tire la croissance démographique mondiale vers le haut à cette époque là (mais plutôt l’Asie). C. Cette croissance s’explique par un régime démographique ancien • Le taux de natalité est élevé : il s’explique par l’absence de contraception, par le message chrétien qui encourage la natalité et par les progrès agricoles qui permettent de produire plus donc de nourrir plus d’hommes (charrue, défrichements des forêts…) ; • Le taux de mortalité est tout aussi important (et pratiquement

passage d'un régime démographique stable ( taux de mortalité fort et taux de natalité et d'accroissement faible) à un autre régime démographique stable (taux de natalité faible, taux de mortalité et accroissement naturel faible) → Quelles pourraient être les causes de la Transition Démographique ? L'ancien régime démographique se caractérise par une natalité très forte. Les facteurs explicatifs de la forte natalité: la nuptialité = le mariage les célibataires sont mal vu par le clergé

Fort taux de natalité contre carré par un fort taux de mortalité (manque d’hygiène, guerre, épidémie, famines, peste noire V et XIV s) -> équilibre haut -> taux d’accroissement naturel faible Transition démographique : - 1° étape : révolution industrielle -> baisse du taux de mortalité due au progrès de la médecine et de l’alimentation, fort taux de natalité -> taux d’accroissement naturel augmente - 2° étape : baisse du taux de natalité due au changement

entraîne un gigantesque essor de la population : de 140 à 266 millions d’habitants. Pré transition : Le taux de natalité et de mortalité est très élevé durant la phase de pré-transition. L'accroissement naturel est presque nul (taux de natalité moins taux de mortalité) Durant cette période la mortalité infantile est très élevée. Transition : Baisse des deux taux (mortalité et natalité). Ces deux taux baissent avec un décalage dans le temps (d'abord la mortalité). Conséquence : il y a un fort

optimiste limiterait l’érosion démographique à une perte de 30% pour une population atteignant donc 101,9 millions d’habitants en 2050. Ces prévisions alarmantes sont dues depuis plusieurs années aux trois principaux processus démographiques : la natalité, la mortalité et la migration. Le président russe inquiété par la situation, n’avait pas hésité à employer des mots durs en 2000 en qualifiant cette baisse démographique de "menace à la survie de la nation". Le pays tente donc de réagir notamment