Natalité

n’augmente plus. Si l’on compare les cartes de mortalité et de natalité en Europe, on constate que dans la plupart des pays, bien que le taux de natalité est supérieur au taux de mortalité, la croissance reste faible (Espagne, France, Irlande, Norvège).On distingue des pays où le taux de natalité est inférieur eu taux de mortalité (Allemagne, Italie, Rép. Tchèque,Russie, Littuanie, Lettonie, Estonie) Pour les autres pays européens, la natalité est à peu près équivalente à la mortalité Ainsi, au niveau

moyenne dépend essentiellement du nombre d’enfants à charge NEt , d’ou on peut écrire l’équation ( 36 ) comme suit : PFt = PMEt . NEt ( 37 ) Avec : PMEt : prestation moyenne par enfant à charge Le nombre d’enfants à charge NEt dépend du taux de natalité tn de la population cotisante à la sécurité sociale , d’où : NEt = tn De ce fait : PFt = PMEt . tn . NARt ( 39 ) . NARt ( 38 ) Si on suit le schéma d’évolution suivant : t NARt = NARo . t PMEt = PMEo . Avec : ( 1 + b5 ) ( 41 ) ( 1 + a5 ) ( 40

marqué par une forte mortalité (taux bruts de 30-40%) et par une forte natalité (35-40% aussi). Au contraire, dans le nouveau régime, au début du XXe siècle, on se retrouve avec des taux de mortalité et de fécondité relativement bas. La transition concerne les pays d’Europe de l’ouest : A la fin de XVIIIe, dans certains pays occidentaux comme la France et l’Angleterre, on se retrouve avec des taux de mortalité et de natalité proches de ceux de l’ancien régime. Mais dès le XIXe siècle, on observe

clairement le sujet de celui-ci sans être trop longue ou trop compliquée à comprendre. Elle doit comprendre votre sujet ainsi qu'une opinion ou votre idée principale [1]. Exposez votre idée de base Sujet : « Les manières de faire baisser le taux de natalité chez les adolescentes. » Exemple de phrase : « À 16 ans, Félicia savait qu'elle était trop jeune pour élever un enfant, mais elle s'en est rendu compte trop tard. » Ne vous contentez pas d'annoncer votre sujet. « Aujourd'hui, je vais parler des

de 86 à 125 millions avec une chute de 65 millions en 1400. c) Les causes de la faible croissance démographique : -une forte natalité (mais grande mortalité infantile) -La peste noire (1347) et ses conséquences : 1/3 et ½ de la population est décimé. -Famines: mauvaises récoltes Conclusion : Une forte natalité mais aussi une forte mortalité (stabilité) 2) La transition démographique En Europe : accélération de la croissance démographique

une meilleure alimentation. révolution hygiéniste, lutte contre les épidémies. révolution médicale, début de vaccination. = ↓ de la mortalité infantile et ↑ de l'espérance de vie Phases Évolution de la natalité * Évolution de la mortalité * Accroissement naturel * Éléments d'explications A « transition traditionnelle » Europe de l'Antiquité → 1750 Forte > 40% Stable Forte > 40% Accidentée, instable « pics de mortalité »

une phase de transition démographique. Ce phénomène d’après l’INED (Institut National des Etudes Démographiques) est un « passage d’un régime traditionnel où la fécondité et la mortalité sont élevées et s’équilibrent à peu près, à un régime où la natalité et la mortalité sont faibles et s’équilibrent également ». L’hypothèse de base de la théorie de transition démographique est que l’ensemble des populations du monde va évoluer de manière similaire mais avec des décalages dans le temps, notamment

démographique caractérisé par une natalité et une mortalité élevée à un régime caractérisé par une natalité et une mortalité faible. Dans le tiers – monde, la transition démographique s’est fait lentement, effectivement le taux de mortalité ainsi que le taux de natalité ont baissé de 15% en 65 ans ; passant de 25% à 10% concernant le taux de mortalité entre 1935 et 2000 et passant de 40% à 25% pour le taux de natalité sur la même période. L’écart de 15% entre le taux de natalité et celui de mortalité qui

accroissement naturel. En effet le taux de natalité est élevé alors que le taux de mortalité ne cesse de reculer. - La seconde phase se distingue de la première par un taux de mortalité en voie de stabilisation et un taux de natalité en recul. L’accroissement naturel diminue dans cette seconde phase.   Question 2 page 21 : Quelles sont les conséquences démographiques de la baisse du taux de natalité à la fin du XVIII siècle ? Le recul du taux de natalité a pour conséquence une diminution de l’accroissement

l'abaissement de la mortalité alors que la natalité progresse jusqu'aux années 70 dans les pays riches et aux années 80 dans les pays pauvres, avant de baisser presque partout dans le monde. En 1985, l'indice synthétique de fécondité (ISF) mondial était de 3,7, il n'est plus que de 2,7 en 2005. La baisse de la mortalité résulte des progrès de la médecine et de l'amélioration de l'état sanitaire des populations qui sont mieux alimentées. La baisse de la natalité est souvent liée à l'urbanisation des populations