Nationalisme révolutionnaire

de Mussolini à Udine au congrès des fascistes du Frioul. Le texte étudier est un extrait (20 septembre 1920) du discours de Mussolini à Udine au congrès des fascistes. Benito Mussolini (1883-1945) est un leader socialiste Italien passé au nationalisme. Après la Première Guerre mondiale, l’Italie traverse une crise violente qui bouleverse l’économie et provoque de graves troubles sociaux. Le chômage augmente, les ouvriers réclament de meilleurs salaires. L’Italie, à le sentiment que la guerre

slogan libéral « C'est le temps que ça change »1. Ainsi, le parti libéral de Jean Lesage exprime clairement ses intentions, il met fin à une longue opposition avec les mouvements nationalistes, en proposant en quelque sorte une nouvelle forme de nationalisme réformiste, que l’on peut qualifier de moderne et conquérante. Le Discours du Budget présenté par Jean Lesage en avril 1962 explique : «  Nous constituons une minorité ethnique qui a pu survivre, mais dont la puissance matérielle est loin de correspondre

sur la haine d'un ennemi commun. Difficile en effet de comprendre comment la population civile ai pu accepter d'être tant sollicitée pendant si longtemps sans examiner le climat d'union et de cohésion nationale, qui a en partie cristallisé le nationalisme régnant en France depuis le début du siècle. Effort de guerre A – Mobilisation industrielle B – Dans la vie quotidienne La première guerre mondiale comme expériences sociales A – Emancipation de la femme B – La main d'oeuvre

Quelles furent ses faiblesses. Évoque les conséquences. Les causes : * La rivalité coloniale : les allemands désirent le Congo belge et français pour relier leurs colonies ce qui provoque des conflits au sein même des colonies. * Le nationalisme : il prend de plus en plus d’ampleur. La France veut sa revanche sur l’Allemagne qui lui a pris l’Alsace et la lorraine. Le pangermanisme et l’impérialisme allemand provoquent des tensions économiques avec les autres pays. * La course à l’armement :

informations sur les identités nationales européennes, il ne remplace pas le livre plus théorique d’Er. Hobsbawn, Nations et nationalisme depuis 1789, Paris, Gallimard, coll. Bibliothèques des Histoires ; il l’éclaire. En effet, A.-M. Thiesse se soucie peu de la sociologie des acteurs du nationalisme européens. Or, cette dimension est importante. Je cite un exemple : "[le nationalisme linguistique basque] s’enracinait dans le ’milieu conservateur, catholique et petit bourgeois’ urbain et côtier, qui réagissait

parler des pays des différents continents. Il exprime en général pour les habitants d'une nation un sentiment d'appartenance commune et une volonté de vivre au sein d'un même ensemble, et il s'accompagne d'une idée de construction politique. Le nationalisme est le sentiment qui se rattache à la nation: il peut prendre le sens d'un vif attachement à la nation, d'une exaltation de l'idée nationale, ou d'une revendication du droit de former une nation, ou il peut encore s'agir d'une idéologie imprimée

de l'administration dans le second collège (musulman ). Le nationalisme algérien est formé de 3 courants: Le courant traditionaliste, celui des Oulémas , qui résiste à l'intégration française en s'appuyant sur l'Islam. Le courant des modernistes bourgeois et intellectuels, dont le principal chef est le pharmacien Fehrat Abbas et qui entend procéder par la voie légale Le courant des révolutionnaires, dirigé par Messali Hadj , qui s'est doté en 1947 d'un groupe d'action

conflit mondial: -Compétition économique : Allemagne menace les intérêts britanniques dans l’Empire Ottoman. -Conflits coloniaux : Guerre en Afrique du Sud entre les paysans néerlandais soutenus par les allemands et les anglais. -Les nationalismes: panslavisme, pangermanisme, esprit de revanche (qu’ont les français) -Ambitions allemandes : Ils veulent le Congo. Si on ne leur donne pas, ils utiliseront les armes.  Fin du 19ème siècle : Europe est en paix mais armée ! (1914) Caractérisée

aucunement question de nationalisme quelconque. De plus l’article 2 stipule précisément que c’est le français qui est langue de la nation. Ainsi si le Conseil Constitutionnel n’a pas validé la signature de la Charte c’est parce que certes cela est contraire à la Constitution du pays mais aussi contraire aux valeurs de la France ; depuis la Révolution on favorise l’unification des peuples et non leur dislocation. La nation prédomine sur les régions, c’est une idée révolutionnaire qui caractérise la volonté

l’heure du bilan et au moment où la paix se négocie, quel avenir l’Europe se prépare-t-elle ? I/ 1914-1916 : l’enlisement 1. Les origines du conflit ➢ La « paix armée » (1870-1914) : course aux armements, choc des impérialismes, nationalisme exacerbé (pangermanisme), mouvements nationalistes et patriotiques, tendances à l’éclatement des Etats multinationaux, système d’alliances… ➢ Le déclenchement de la guerre : attentat de Sarajevo, engrenage des alliances, élan patriotique (Union