Nature morte

"VANITES DES VANITES TOUT EST VANITE" C’est de cette citation de l’Ecclésiaste que ces tableaux tirent leur conception et leur titre. Les vanités illustrent, de façon symbolique, le thème philosophique de l’impermanence de l’homme. Ce sont des natures mortes, des allégories ou encore des images de saints qui représentent l’inéluctabilité de la mort, la futilité des plaisirs ou encore la fragilité des biens terrestres. Elles dénoncent également la relativité de la connaissance et la vanité du genre

(122 x 167,5 x 10 cm). Dès sa sortie de l'école, en 1959, Wesselman entame sa carrière artistique. Voulant se démarquer des courants abstraits en vigueur à ce moment, il décide de s'attaquer aux thèmes traditionnels de la peinture, les nus, les natures mortes, les intérieurs, les portraits, etc. Il cherche de la sorte à se défaire de la forte influence de Willem de Kooning afin de trouver sa propre voie. Il donnera ainsi naissance à différentes séries, notamment les Great American Nudes et les Still

yeux collés tout près de la bordure droite du tableau.  On remarque alors que le crane n'est pas déformé, il est même très bien proportionné.  Le crâne aussi est symbolique. Ce crâne symbolise une « Vanité «.  D’après les historiens, Dinteville, de nature mélancolique, avait une devise « memento mori » (souviens-toi de la mort). Holbein le Jeune traduit sa pensée: Nulle puissance n’égale celle de la mort. La domination, la prestance, le luxe ne sont que vanité. Cette anamorphose rend donc vain tout

est vanité » cette citation du texte de l’Ecclésiaste (Ancien testament) donne son nom au XVIIème siècle à une famille picturale apparu au XVème et qui se perpétuera jusqu’à l’époque contemporaine: la Vanité. Les Vanités sont une méditation sur la nature passagère et vaine de la vie humaine. Largement inspirées de la morale chrétienne omniprésente à cette époque, elles dénoncent la relativité de la connaissance, des biens terrestres, de la beauté éphémère et la vanité du genre humain soumis à la fuite

Analyse et critique d’une œuvre baroque Philippe de Champaigne – Vanité (vers 1644) Cette œuvre baroque peinte par Philippe de Champaigne est une vanité, dont est tiré son nom. Ce genre artistique est une catégorie des natures mortes, qui suggèrent que la vie humaine n’a que peu d’importance, que l’existence terrestre est précaire. De gauche à droite, une fleur, un crâne et un sablier sont alignés de manière rectangulaire et stable évoquant allégoriquement la vanité de l’homme, représenté

Andy Warhol (1928-1989) Sérigraphie : sorte de pochoir superposé à l’encre à partir d’une photographie. Se sont souvent des polaroïds. C’est une photo pas très précise Andy Warhol était considérer comme le roi du pop’art. Le pop-art 950-1960 présenter l’art comme un produit à consommer éphémère, jetable, bon marché. Tout au long de sa vie Andy Warhol à réalisé de nombreux autoportraits, il était l’amis des stars. Andy Warhol visage très pâle, crâne coloré, opposition avec A.W inexpressif

les points de trame qui font sa signature. Sa peinture la plus célèbre est sans doute Whaam!, peinte en 1963. En 1968, il peint Châssis, qui représente l'arrière du tableau lui-même, début d'une série. En 1973, Lichtenstein commence une série de natures mortes en trompe-l'œil de style cubiste, puis à l'automne, il commence la série Artist’s Studio. Roy Lichtenstein a aussi créé des sculptures, en métal et en plastique, dont quelques unes sont installées sur la voie publique comme Lamp (1978).

------------------------------------------------- ETUDE DE VANITES Les vanités font parties de natures mortes représentées surtout par les peintres hollandais du 17ieme siècle. Ce genre pictutal naît a la suitr d’évènements historiques douloureux (guerre d trente ans, épisode de peste).En representant des objets inanimés savemment disposés, des coupes de vin, des fruits, des fleurs, les vanités cherchent a rappeler cette parole tirée de l’Ecclésiaste : « Vanité des vanités, tout est vanité »

a son père qui n'apprendra qu'en 1876 qu'il est grand-père. Ses œuvres ne sont pas acceptées dans les salons de la capitale et c'est en 1874 et en 1877 qu'il expose enfin aux cotés des impressionnistes qu'il côtoie. Ses principaux motifs sont les natures mortes, les baigneuses et les paysages, la Sainte-Victoire en particulier, a laquelle il consacre une serie entre 1882 et 1887. Il s'éteint a Aix-en-Provence en 1906 et dès 1907 le Salon d'Automne lui consacre une rétrospective posthume, présentant

surmonter son inclination à la paresse et, sous l'impulsion de l'ambition, de l'instinct de domination ou de cupidité, à se frayer une place parmi ses compagnons qu'il supporte de mauvais gré, mais dont il ne peut se passer. [...]Remercions donc la nature pour cette humeur peu conciliante, pour la vanité rivalisant dans l'envie, pour l'appétit insatiable de possession ou même de domination. Elle s'oppose à l'idée de temps cyclique, modèle de sociétés religieuses traditionnelles. Elle n'est pas évidente