Nécessité et contingence

un, il tend vers la sagesse, il ne possède pas le savoir ms le désire. Croire : tenir comme jugement qqch dont on n’a pas la preuve. Savoir : Disposer des connaissances dont on est en mesure de justifier (par la raison) Contraire de la nécessité : La contingence. Dialectique : Jeu de Q/R, argumentation et réfutation, démasquer les contradictions ds le but de chercher la vérité, d’accéder à l’Universel. C’est grâce à elle qu’on peut ‘accoucher’ la vérité qui est enfouie en nous et qu’on doit fr

l’affranchissant de l’aspect artisanal qui la caractérisait depuis les origines, et la vidant de sa substance physique : elle ne nécessite plus, pour son exécution, l’habilité manuelle de l’artiste et ne possède pas une existence physique en tant que telle. Quant à sa diffusion, et donc sa valeur d’exposition, elle est bien sûr maximale et même universelle mais aussi instantanée : les contingences de lieu et de temps sont abolies.Le progrès technique ne fait donc pas perdre à l’œuvre d’art sa valeur : il la modifie

complémentaires à savoir : - Avant la catastrophe, promouvoir la prévention par l’information du public, la sensibilisation et l’éducation des masses ; - Pendant les crises, l’action porte sur l’élaboration et la mise en œuvre d’un plan de contingence destiné à assurer la couverture efficiente des risques ; - Après la catastrophe, l’adoption et l’exécution de mesures de réhabilitation et de prise en charge des victimes. I- CADRE JURIDIQUE DE LA PROTECTION CIVILE AU CAMEROUN

pouvoir de poser des actes qui ne seraient déterminés d’avance, ni par mes idées, ni par mes instincts, ni par mes habitudes. Tel est le libre arbitre des métaphysiciens. La liberté suppose la contingence, ce qui est l’absence de toutes nécessité. En effet, pour Spinoza, il y a deux sortes de nécessités : celle qui vient de la nature d’un être et celle qui fait qu’un être voit son existence déterminée par quelque chose. Les stoïciens se sont pourtant efforcés de penser la liberté indépendamment

plus morale, qui doit guider le citoyen dans son comportement dans l’espace public. On pourrait évoquer le devoir de respecter la propriété d’autrui. 7. Le devoir est un impératif, adressé à soi par soi-même ou par autrui. Le devoir est « la nécessité d’accomplir une action par respect pour la loi », que Kant identifie selon la présence de condition ou le caractère inconditionnel du devoir (catégorique). 8. 9. -         Les origines de la notion de devoir : Chez les stoïciens, le devoir

pour atteindre un certain type d'objectif. Elle suppose un but formel, une division des tâches, une attribution des rôles, un système de communication, un mécanisme de prise de décision, enfin ensemble de règles d'évaluation de l'activité. la contingence : c'est tout ce qui a un caractère indéterminé. la stratégie : terme d'origine militaire qui est entré dans l'économie et la gestion par les lecteurs de Clausewitz. un marché : Walras : lieu où se rencontrent des foules anonymes Cournot : lieu

Question de la pérennité des organisations Bien que le but de toutes organisations ne soit pas de survivre mais de se développer, l'organisation est un équilibre instable, et également un “ système ouvert “sur son environnement, il y donc une réel nécessité de gérer les différentes interaction entre et son environnement et l’organisation. Mais pourquoi l’environnement a t-il un telle impact au niveau de l’organisation et de la stratégie ? L’environnement permet l’acquisition de ressource indispensable

mais aussi avec les facteurs contextuels. 1 La structure simple Il s’agit la plupart du temps d’entreprises jeunes, de taille restreinte, souvent à propriétaire unique et évoluant dans un environnement simple et dynamique. En effet, celui-ci nécessite une structure organique réactive grâce à la supervision directe, à la communication informelle et à la centralisation du pouvoir entre les mains du sommet stratégique. 2 La bureaucratie mécanique Nous sommes ici en présence d’entreprises centralisées

exceptionnels (Julien Sorel dans Le Rouge et le Noir de Stendhal) • de personnalités hors du commun (Mme de Merteuil dans Les Liaisons dangereuses de Laclos) • de passions absolues (Des Grieux dans Manon Lescaut de Prévost) • le rythme romanesque et la nécessité de susciter l'intérêt obligent à rendre exemplaire le destin de personnages pourtant médiocres (Gervaise dans L'Assommoir de Zola). II - POURTANT CERTAINS PERSONNAGES SONT DES MÉDIOCRES : • c'est le cas des personnages des romans réalistes qui ont

la science face au hasard. Le hasard est reclus dans l’inintelligible. Comment dans ce cas gérer le hasard, le rendre maîtrisable, et par là, connaissable ? Dans l’Ethique à Nicomaque, Aristote fournit un concept qui semble permettre de gérer la contingence : la prudence. La prudence est la capacité à bien délibérer pour connaitre ce qui est bon ou mauvais pour l’être humain : « La prudence est une disposition, accompagnée de règle vraie, capable d’agir dans la sphère de ce qui est bon ou mauvais pour