Nénuphar

correctement et qu’il épouse Alise. Mais Chick, passionné par Jean-Sol Partre, va dépenser tout cet argent pour parfaire sa collection de livres de cet auteur. Chloé retombe malade. Cette fois ci, il s’agit de quelque chose de grave puisqu’elle a un nénuphar dans un de ses poumons. Colin dépense tout le reste de sa fortune dans des soins et un voyage qu’a prescrit le médecin. Une fois sa fortune dépensée, il doit se mettre à travailler. Chloé guérit mais retombe dans la même maladie juste après. N’ayant

saturation de l'espace - métaphore reprise pour rendre la ville plus vivante : " la voix des foules ", " cette mer vivante et pullulante " - regard vertical dû à la description - ville est décrite comme un lac et les parcs comme de feuilles de nénuphar Paris est comparé à une femme : - " s'alanguissait " marque que la ville s'abandonne au repos - " gris doux et tendre " : ressemble à une toilette de femme avec des bijoux : " piqué ça et là " * Une image fantastique : - allusion au mythe de

besoins, d’une part, oblige les populations à réaliser des aménagements pour maîtriser la ressource (barrages, usines de retraitement des eaux usées, de dessalement…), et faisant ainsi naître de nouveaux paysages comme les rizières en Asie ou les « nénuphars » dans les déserts créés par les rampes d’arrosage à pivot. D’autre part, ceci crée des conflits voire même de véritables « guerres de l’eau » entre les pays, en concurrences dans le partage de l’eau. Par ailleurs, l’eau est surexploitée et certains

fortune, pour être précis) qui a dépensé tout son argent dans les œuvres de Jean-Sol Partre, ce qui constitue une autre dénonciation. (Salma). Tout va donc pour le mieux, tous les personnages sont relativement heureux jusqu'à ce que Chloé, la dame aux nénuphars, qui pour être soignée doit respirer des multitudes des fleurs pour lesquelles Colin se ruine. A partir de ce moment, le roman bascule alors dans une noirceur irrévocable, un mauvais rêve. L’argent est donc associé au bonheur, l’argent fait presque

maladie, la mort. Il deviendra au cours de la pièce pauvre, triste, mort… - Chloé est une jeune femme très jolie, douce et fragile. Elle attend soin et protection de Colin, elle est assez entreprenante. Peu après son mariage, elle attrapera un nénuphar dans le poumon droit et ensuite dans le second, elle deviendra très faible et mourra. - Chick est le meilleur ami de Colin, il est ingénieur et est relativement privilégié. Il est collectionneur compulsif de l’écrivain Jean Sol Partre. Il laissera

métaphorique Le double sens des mots crée comme on en rencontre de nombreux exemples dans la littérature française. Par exemple, le vent devient le sanglot long d'un violon pour Paul Verlaine   (chanson d automne) ou encore le cancer du poumon un nénuphar chez Boris Vian.(l ecume des jours) Ici aussi, pour bien comprendre le message, il faut faire sauter le code. Remplacez " mouton " par " amitié ", " serpent " par " mort "," baobab " par " conflit ", " renard " par " Sagesse ", etc. " fleur " par

le comparé avec la thématique de l’école or, on ne parle pas de l’école ici il est question d’une image. L’image d’un père qui prend une boule de papier et qu’il jette dans la cuvette devant ses enfants. Il en surgit « La grande fleur japonaise Le nénuphar instantané », les enfants en étaient « émerveillés » et gardent « le souvenir d’une fleur qui ne pourra se faner ». Elle est peut-être l’image de l’amour que leur père leur porte et qui durera toujours puisque cette fleur représentative ne se fanera

cycle est monotone, calme (aussi calme qu’un désert ou qu’un étang immobile). Le poète utilise les comparaisons et les métaphores pour « fusionner » deux mondes (la nature et ses sentiments). Dans Promenade sentimentale, Verlaine utilise « les nénuphars blêmes » qui traduisent l’état sentimental du poète ; ou encore dans chanson d’automne, l’automne symbolise la fin d’une vie (car l’automne est la saison avant la fin de l’année). Le poète fait aussi appel à une structure de texte bien particulière

36) vient confirmer cette reprise du thème shakespearien, auquel Rimbaud reste fidèle. La comparaison « comme un grand lys » vers 2 semble déjà vouloir fondre Ophélie dans un décor naturel. Personnification de chaque élément de la nature : « les nénuphars froissés soupirent » vers 13 ; « plaintes des arbres et soupirs des nuits » vers 24, etc… La nature est elle mise en valeur au vers 23 par l'emploi de la majuscule pour le N : c’est comme une personne, une divinité à laquelle s’adresse le poète,

et il y peut-être moyen de réduire la zone de végétation mais avec le risque de ne pas obtenir l’équilibre tant recherché. La zone de végétation devra comprendre une zone assez profonde (au moins 1 mètre de profondeur) pour pouvoir installer des nénuphars et des plantes oxygénantes et une zone moins profonde (la lagune) pour y installer les plantes épuratrices sur un matelas de pouzzolane. Certains appellent la zone de végétation, zone de régénération et la lagune, zone de filtration. On suggère