Nénuphar

qu’il a aujourd’hui. Ce jardin d’eau s’inspire des jardin japonais riche en courbes. On y retrouve différents ponts dont le pont japonais couvert de Glycines (fleur) mais aussi des saules pleureurs, une forêt de bambous et les fameux Nymphéas (ou nénuphars). Ce terrain se détache totalement de la campagne alentour. Pour peindre, Monet s’attache beaucoup aux reflets de l’eau. Monet a peint le pont japonais 45 fois.

l’extraordinaire. C’est ça, l’art. C’est le taureau de Picasso fait de pièces de bicyclette. C’est la sculpture de Marcel Duchamp, « Fontaine », faite d’une cuvette de WC. Ce sont les pétales d’iris de Georgia O’Keefe, la lumière magique de Turner, les nénuphars étincelants de Monet, les ciels rouges de Gauguin, la moustache de Dali. C’est la transformation de la réalité ordinaire en une personnalité individualiste. Ceux qui font des vidéos comme Zoe savent que l’invention est la mère de l’invention. Les

fichus de grand-mère où sont peints des griffons ». Mais ne fait-il pas référence également à l’ancien, à des choses que l’on peut garder, des souvenirs qui resteront. Mais également dans « soleil et chair ». « Ô Venus, Ô Déesse » « Et dans les nénuphars baisaient la nymphe blonde » Il parle de plusieurs dieux immortels et non d’un seul. Des morales de bien. Il est mal, il souffre, il crie son indignation mais malgré son jeune âge Rimbaud est sensible. On le voit lorsqu’il nous parle de la beauté

l’arabesque caractérise l’ornementation de l’art nouveau.   Les couleurs Elles sont tendres, délicates, irisées les tons pastel sont utilisés (bleu, vert pale, gris, rose, mauve, beige..).   La représentation de la nature On trouve fréquemment des nénuphars; algues; lianes tropicales, tiges Les fleurs: orchidées, iris, narcisses. Les animaux: Libellules, papillons, oiseaux, serpents, lézards, hippocampes…   Les matériaux utilisés   * Le verre Vitraux, fenêtres, portes vitrées de hall d'entrée

vestimentaire, où elle se trouve, à quoi elle pense. Zola décrit la tenue de Renée avec plusieurs comparaison et métaphore, elle porte une robe de couleur verte avec laquelle est ressemble à un nymphéa comme si elle était une grenouille sur sur un nénuphar regardant se qui ce passe autour d'elle, à une fleure, Renée étant dans une serre. Zola fait de Renée le porte-regard. Le narrateur développe le point de vue de Renée, c'est une focalisation interne. On est dans l'esprit de Renée, e n'est pas réaliste

notations de couleurs (" bleuâtres ", " verdure sombre ", " poussière d'or ", " émeraude, saphir, rubis ") et de lumières (taches sombres des arbres, " resplendissants ", " briller ", " flamber "). Saccard est sensible aux formes (" larges feuilles de nénuphars "), on voit des masses. L'atmosphère est brumeuse de l'automne, trouée de jeux de lumière, donnent une impression de nuances : c'est la saison de la mobilité.

cette mince flaque d’eau que percent, comme des poils, les herbes pointues. Toute la couleur donnée au monde, charmante, diverse et grisante, nous apparaît délicieusement finie, admirablement éclatante, infiniment nuancée, autour d’une feuille de nénuphar. Tous les rouges, tous les roses, tous les jaunes, tous les bleus, tous les verts, tous les violets sont là, dans un peu d’eau qui nous montre tout le ciel, tout l’espace, tout le rêve, et où passent des vols d’oiseaux. Et puis il y a autre chose

arrangé par Duke Ellington, ou du Concerto pour Johnny Hodges... dit Nicolas. Ce qu'outre-atlantique on désigne par moody ou sultry-tune. Le sous-titre de Chloe est Song of the Swamp, ce qui signifie Chanson du marécage et qui est donc une allusion au nénuphar (plante d'eau stagnante) et à ce que deviendra l'appartement de Colin et Chloé. La deuxième allusion se situe au chapitre XI : "... êtes vous arrangée par Duke Ellington? demanda Colin", la troisième au chapitre XII: "Chick écouta. C'était Chloe

malheureux, il a de la peine » « il va tomber dans l’eau, il se penche trop ». Elle se charge du malheur de Colin « il est très faible et je ne peux plus supporter ça » : compassion  Elle nous décrit un Colin qui essaie de tuer l’eau (où se trouve le nénuphar avec l’eau qui représente le temps)  Absurde : cela ne lui ramènera pas Chloé et cela ne changera pas le destin  La façon dont la souris évoque Colin : compassion du lecteur  Colin : nouveau Narcisse qui n’est pas attiré par son image contrairement

notations de couleurs (" bleuâtres ", " verdure sombre ", " poussière d'or ", " émeraude, saphir, rubis ") et de lumières (taches sombres des arbres, " resplendissants ", " briller ", " flamber "). Saccard est sensible aux formes (" larges feuilles de nénuphars "), on voit des masses. L'atmosphère est brumeuse de l'automne, trouée de jeux de lumière, donnent une impression de nuances : c'est la saison de la mobilité. III - La prémonition de Saccard    2. La récurrence du thème de l'or     On note