Nerf vague

(d’après Anson [2]). 1. Ligament arqué du pubis ; 2. veine dorsale profonde du clitoris ; 3. ligament transverse du périnée ; 4. ligament pubovésical ; 5. arcade tendineuse du fascia pelvien ; 6. arcade tendineuse du muscle élévateur de l’anus ; 7. nerf obturateur ; 8. fascia iliaque ; 9. artère honteuse pelvienne ; 10. fascia pelvien pariétal ; 11. rectum et son fascia ; 12. ligament spinosacral ; 13. bandelette ischiatique ; 14. vagin et son fascia ; 15. vessie et son fascia. bord de la grande

Schwann : ce sont les fibres de REMAK. Elles constituent les nerfs végétatifs (nerfs viscéraux). Elles sont de couleur grise.  Les fibres myélinisées sans gaine de Schwann : ce sont les fibres de la susbtance blanche du système nerveux central et du nerf optique.  Les fibres myélinisées avec gaine de Schwann : elles sont abondantes dans tous les nerfs périphériques. Ce sont les plus typiques et les plus perfectionnées. La myéline est un mélange de lipides phosphorés. Elle donne à la fibre nerveuse

tronc!et! des!membres!(c’est!un!peu!différent!pour!les!nerfs!crâniens).!! ! ! ! 2/21# Pr#Guelh# UE#3:#Jonction#NeuroMusc# Jonction!neuro3musculaire! ! Ces! motoneurones! envoient! leurs! axones! a/n! de! la! racine! ventrale! puis! dans! le! nerf! périphérique! pour! arriver! a/n! musculaire!:! faisceau! constitué! de! fibres! musculaires.! À! partir! d’un! motoneurone,! distribution!d’un!certain!nombre!de!fibres!musculaires.! En! ME! on! voit! les! terminaisons! axonales! (en! blanc)! qui

voies motrices sont divisées en 2 systèmes : système parasympathique et système sympathique •Le système parasympathique assure une action permanente de ralentissement cardiaque par l’intermédiaire des nerfs parasympathiques (pneumogastrique ou nerf vague = Xème paire crânienne) = système cardio-modérateur. L’innervation parasympathique est surtout destinée aux oreillettes, aux noeuds sinusal et auriculo-ventriculaire. La stimulation parasympathique réduit la fréquence avec laquelle les impulsions

(schwann périphérie ; oligodendrocytes SNC) Rôle de cette gaine : sert d’isolant aux courants ioniques Cette enveloppe s’interrompt régulièrement en formant un petit espace appelé nœud de ranvier où ont lieu les échanges ioniques : quand un PA parcourt le nerf : le PA saute d’un nœud à l’autre. conduction de type saltatoire : + rapide que dans fibres non myélinisées d terminaisons axonales Les terminaisons s’organisent en renflement appelés boutons synaptiques contiennent vésicules synaptiques riches en

cheminer le long des artères principales irrigant le cortex rénal. Ils vont alors rejoindre les artérioles afférentes rénales. Ex : on se retient de pisser face au danger Le système nerveux para sympathique : les fibres nerveuses sont issues du nerf vague ou nerf X. ces fibres vont faire synapse au niveau de ganglions situés près du hile du rein. Les neurones post synaptiques vont aussi aller innerver les artérioles du rein. Ex : on pisse juste après le danger Cette innervation permet un contrôle

dans la cavité buccale (ex : glande parotide située derrière les maxillaires et glande sous maxillaires) [pic] [pic] Les informations recueillis par les papilles sont transmissent au cerveau grâce à trois nerfs, le nerf lingual, le nerf glosso-pharyngien et le nerf vague. Il ce rejoignent au niveau du noyau du faisceau solitaire. Bien que la salive ne soit pas essentielle à la digestion, elle exerce une multitude de fonctions. La salive est surtout constituée d'eau (99.5 %). Cette eau permet

L'intestin grêle et le pharynx La première ligne de défense de l'organisme dans le réflexe émétique est située au niveau du TGI qui collecte de nombreux stimuli sensoriels par l'intermédiaire des plexus nerveux. Ces stimuli sont convoyés par le vague et à un degré moindre par les nerfs splanchniques. Le mécanisme d'activation des récepteurs afférents au niveau GI par un traitement cytotoxique est encore mal connu mais on constate par exemple :    une altération de la motilité GI (cisplatine)

corticale sensorielle génitale était basée presqu’exclusivement sur la réponse à une stimulation du clitoris dont l’inner- vation afférente est tributaire du nerf pudental. La projection du vagin et du col de l’utérus dans le cortex sensoriel humain n’avait pas encore été établie, et ce bien qu’il existe des nerfs (le pelvien, l’hypogastrique et le vague, par exemple) qui véhiculent les sensations en prove- nance du vagin et du col de l’utérus. Cette découverte apporte un éclairage nouveau sur le débat

la langue : le sucré à la pointe, le salé, puis l’acide sur les bords et l’amer à la base. Cela s’explique par le fait que ces régions sont desservies par des nerfs différents (VINCENT J., 2000). On distingue le nerf facial, le nerf lingual, le nerf glosso-pharyngien et le nerf vague. Leurs rameaux transportent des messages spécifiques pour chacune des saveurs. Ce qui nous intéresse, c’est le cheminement des aliments, mais surtout de leur ressenti, jusqu’au cerveau. Ils sont d’abord mélangés