Nerval Grand Mere

Biographie de Victor Hugo. FORMATIONS : Victor Hugo est nait à Besançon le 26 février 1802 et il est mort à Paris le 22mai 1885. Après avoir suivi son père dans les expéditions et les campagnes en Italie et en Espagne, il s’en va vivre avec sa mère. Il grandit avec une liberté d’esprit et une lecture absolue. Des l’âge de 15 ans il se prépare à l’école polytechnique et il concourt au « Jeux Floraux » de Toulouse. Encouragés par de nombreux succès, Victor Hugo décide de laisser tomber sa carrière

La mort d'Hiram : le mythe fondateur de la franc-maçonnerie transposé par Gérard de Nerval.   Toute association humaine a besoin d'un mythe fondateur pour se développer comme l'a brillamment démontré le penseur roumain Mircéa Eliade. Le mythe fondateur de la franc-maçonnerie est l'assassinat d'Hiram par trois mauvais compagnons. Hiram Abi est brièvement mentionné dans la Bible au premier "livre des rois" : Le roi Salomon fit venir de Tyr Hiram qui travaillait sur l'airain. Hiram était rempli de

Gautier, Gérard de Nerval, Alexandre Dumas, Alfred de Vigny, Alphonse de Lamartine et Jacques Michelet. Victor Hugo Victor Hugo était un grand dramaturge, écrivain, poète et politicien français du 19e siècle. Né à Besançon en 1802, il décéda 83 ans plus tard en 1885 à Paris. Il vécut à Madrid de 1812 à 1820, jusqu’au divorce de ses parents, puis parti à Paris avec sa mère. A 14 ans, âge où il commença à écrire, il marqua dans son journal : « Je veux être comme Chateaubriand». Sa mère décède lorsqu’il

magistrat, il devient lui-même conseiller en 1714 puis président à mortier au parlement de Guyenne en 1716 après avoir suivi de solides études de droit. Le succès des Lettres Persanes publié anonymement en 1721 à Amsterdam lui ouvrira l’accès des plus grands salons parisiens. Il découvre l’Europe de 1728 à 1731, notamment les mœurs politiques. Il sera lui-mêmethéoricien du libéralisme, défenseur de la liberté et du parlementarisme. En Octobre 1748, De l’esprit des lois paraît à Genève et tandis que sa

poème on voit apparaitre un certain lyrisme, comme dans celui de Charles Fontaine (amours d’un père à son nouveau née) ou bien comme dans les poèmes de Malherbe ou de Chénier (amours de son fils, mort) mais encore dans celui de Brizeux. Gérard de Nerval et René de Obaldia nous propose des textes ou l’on peut voir que les enfants sont innocent, naïf et qu’ils ne se rendent pas bien compte que la vie ce n’est pas que du bonheur. Dans les poèmes présentés ici, la beauté rime souvent avec enfance. Le

l’expressivité ou de la métrique. Les formes satiriques et didactiques ont un grand succès (ex épigramme qui doit frapper par son art du jeu de mot) La fable = grand succès grâce à La Fontaine. Renouvèlement complet du genre. Mélange des mètres et des tonalités, la diversité des thèmes, le jeu subtil sur la voix du conteur et celle du moraliste. * La préciosité XVII Née dans les salons, veut doter les mœurs et la langue du plus grand raffinement possible. Les questions sentimentales sont centrales,

douleur, le cheval est l’expression de la fougue… On recherche par la représentation de la nature dans des états extrêmes, réels ou inventés, à révéler l’homme à lui-même par la vertu du terrible et du sublime (effet de catharsis). Ce ressourcement à la Mère Nature est lié à un désir de renouer avec le sentiment religieux très sensible en Europe du Nord. (Friedrich). Constable peint d’admirables études de nuages et Turner célèbre les forces de la nature montrant plutôt les harmonies du ciel et de la mer

Cluchier – Le petit monde des enfants Gérard de Nerval – L'enfance « Lorsque l'Enfant Paraît » () , Victor Hugo Lorsque l'enfant paraît, le cercle de famille Applaudit à grands cris. Son doux regard qui brille Fait briller tous les yeux, Et les plus tristes fronts, les plus souillés peut-être, Se dérident soudain à voir l'enfant paraître, Innocent et joyeux. Soit que juin ait verdi mon seuil, ou que novembre Fasse autour d'un grand feu vacillant dans la chambre Les chaises se toucher

sentiments présents… Par exemple dans certaines poèmes de Charles Baudelaire, on retrouve l’évocation d’une femme en deuil pour laquelle il avait une grande admiration. Cette femme n’est autre que sa mère qui était veuve ( le père de Baudelaire est mort 6 ans après la naissance de son fils), et avec qui Baudelaire avait une relation fusionnelle. Sa mère est entre autre présente dans le poème A une passante. Aussi nous pouvons citer le livre I du recueil Les Contemplations (1856) de Victor Hugo. Dans

devenir tous les autres » « l’art poétique apparaît à l’être bien doué de nature ou au fou » Toutes les sensations vécues par un individu s’expriment dans sa mémoire sous forme d’images = LIÉ À LA MÉMOIRE. PLATON : Théétète : nomme Mnémosyne la mère des muses, elle conserve la mémoire des idées (entité d’origine divine qui préexiste à la naissance et d’où procède l’âme). Fureur divine = imagination. Inspiré = envol de l’âme vers cette connaissance antérieure d’où elle provient et d’où elle aspire