Neurone

permettre la mise en place de cellules hautement spécialisées que l’on appelle les neurones. A hauteur de 100 milliards de neurones on a donc à faire à un tissu qui est extrêmement actif dans le sens de la production de cellules. Ces neurones sont caractérisés par des connexions avec d’autres neurones voir d’autres types de cellules, des connexions que l’on appelle les synapses à raison de 1000 à 10000 par neurone. On a une spécialisation extrêmement poussée dans un tissu différencié appelé le tissu

la protéine Apolipoprotéine E (APOE). Ce gène se présente sous trois allèles majeurs dans la population générale : e3, e2, et e4. La protéine APOE est responsable du transport du cholestérol dans le cerveau et permet la régénération synaptique des neurones. Des études ont montré que l'allèle e4 était présente chez 20% des personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer. L'allèle e4 semble donc un facteur à risque et cela s'explique par la la protéine APOe4 qui favorise l'agrégation du peptide Beta-amyloïde

kinétochores sont des protéines qui vont permettre le lien entre les microtubules et le centromère du chromosome. → POLY Exemple : Les neurones Le signal est reçu dans la dendrite, les microtubules transportent alors les neurotransmetteurs à travers les axones jusqu’aux synapses. Les protéines associées Le mouvement Elles permettent un coulissage (neurone), ou bien, si les filaments sont liés, induisent une flexion (flagelle), avec consommation d’ATP. → POLY Du – vers le + : kynésine

2.1. 1. Terminaison de l’axone du neurone pré-synaptique ; 2. Espace synaptique ; 3. Dendrite du neurone post-synaptique ; 4. Vésicule contenant des neurotransmetteurs ; 5. Neurotransmetteur (ici la dopamine) ; 6. Canal ionique (sodium chimio-dépendant). 2.2.2. Le tableau III nous précise le mode d’action de la nicotine sur une synapse neuro-neuronale. L’expérience A, expérience témoin, nous permet de vérifier que, dans les conditions « normales », si le neurone pré-synaptique n’est pas stimulé,

est que les drogues ont de multiples effets secondaires. Ce sont ces effets secondaires qui provoquent la mort par overdose. Au niveau des neurones, il existe des neurones pré-synaptiques et des neurones post-synaptiques. Le neurone émetteur envoie un neurotransmetteur qui va se fixer sur un site bien précis du neurone récepteur. Ce neurone libère un Potentiel d’Action. Ensuite, soit le neurotransmetteur est soit recapturé, soit détruit par des enzymes. On peut donc provoquer artificiellement

molécule stimule les neurones dopaminergiques du cerveau. Ce sont ces neurones qui sont impliqués dans le système de la récompense (aussi appelé système hédonique). Chez l'homme, l'activation de ce système procure une sensation de plaisir. Le système hédonique se situe dans le système limbique : Le cerveau des émotions. L'activation de ce système est declenchée par un stimulus agréable (ici, ingestion de chocolat). Ceci a pour effet d'accroître l'activité de certains neurones situés au niveau de

Commençons par nous intéresser à la dopamine. C'est un neuromédiateur libéré par les neurones dopaminergiques. Il a une grande influence, de par notamment les neurones amenant le message vers le cortex frontal, sur les zones contrôlant : les émotions, l'attention, l'agressivité et bien sûr sur le système de récompense dans son ensemble. Sa sécrétion entraîne une sensation de bien-être. Mais nous avions vu que la substance P était sécrétée au moment de l'arrivée d'un message nerveux nociceptif, quant

cellules appelées « neurones ».  L’influx nerveux se déplaçant à l’intérieur d’un neurone est de nature électrique.  La communication entre les deux neurones fait appel à des phénomènes biochimiques qui se produisent au sein d’une structure appelée synapse  Les neurones communiquent entre eux par l’intermédiaire de la fente synaptique, minuscule espace franchi sous certaines conditions.  Lorsqu’un influx électrique atteint la terminaison d’un axone du neurone émetteur, des

optique, le chiasma optique et le relais cérébral avant d'atteindre le neurone B. Le document 3 nous informe sur la communication au niveau du relais cérébral : le message nerveux passe d'un neurone à un autre par l'intermède de la synapse, où les vésicules se vident de leurs neurotransmetteurs qui vont vers des récepteurs. Nous déduisons que le relais cérébral, composé de synapses, est la zone de contact entre les deux neurones. Pour finir, les messages nerveux provenant de la rétine traversent le

transparents permettant l’arrivée   des rayons lumineux sur la rétine. La rétine est un tissu nerveux   constitué de plusieurs couches de cellules nerveuses (neurones) dont : -         des cellules   photoréceptrices (neurones à cônes et à bâtonnets) qui renferment des   pigments sensibles à la lumière -         des   neurones bipolaires -         des   neurones ganglionnaires dont les axones forment le nerf optique B.  La rétine et les photorécepteurs Problème : Comment la rétine permet-elle la vision ? La répartition