New burlesque

Dans ce corpus composé de trois textes, « Je n’ai plus que les os » extrait des Derniers vers de Ronsard (1586), « Vous faites voir des os » de Scarron issu du Recueil de quelques vers burlesques paru en 1654 et « Les aveugles » de Baudelaire tiré desFleurs du Mal (1857), des procédés variés sont employés pour décrire la laideur. Cette laideur touche d’abord les personnages. Les différents poètes mettent d’abord en exergue la laideur physique des personnages qu’ils évoquent dans leurs œuvres

On retrouve donc des personnes inutiles et répugnantes qui par définition prennent des décisions très importantes. Or même l’importance de leurs actes est tournée en dérision car tout au long de l’extrait des remarques sont tirées du registre burlesque : « Mouche compétente du coche international, une journaliste américaine interviewait » ligne 11 ce qui signifie que cette journaliste s’agite beaucoup sans résultat, mais également la déléguée bulgare qui s’agite de manière théâtrale sans aucun

L'auteur de théâtre peut utiliser plusieurs genres de comique: le comique de geste(le personnage faits des gestes éxagérés, ce qui prête à sourire). Le comique de mots (le personnage utilise une accentuation particulière, se sert du registre burlesque, prend un ton comique: exemple Dom Juan lorsque Pierrot parle avec un accent très campagnard) Le comique de situation(quiproquo entre plusieurs personnages, scènes à témoins caché) Ou encore le comique de caractère(le personnage possède

humaniste du XVIème siècle. Cette œuvre, écrite entre 1534 et 1535, est la suite logique du roman Pantagruel. Ici Rabelais explore la généalogie de son personnage : Gargantua et le père de Pantagruel. Rabelais, malgré une écriture et des situations burlesques, tente dans cet ouvrage, de faire valoir les idées humanistes. Le passage étudié, se trouve au chapitre 31 du roman et relate une discussion, sur le déroulement de la guerre, entre Picrochole et ses conseillers. Prémices de la future guerre « Picrocholiene »

Les deux notions sont présentes alternativement au long de la pièce : au niveau des scènes (comédie : acte I, scène 1 ; ou acte II, scène 1, entre Claudio et Coelio); (tragédie : acte II, scène 6) au niveau des personnages : certains sont plutôt burlesques (Tibia; Claudio, parfois et dépendant des interprétations), d'autres typiques de la tragédie (Coelio), d'autres encore évoluent au long de la pièce pour devenir plus matures, plus "réels" (Octave; Marianne) Cette alternance entre comédie et tragédie

éducation. Enfin, nous aborderons ses relations avec les autres personnages et les impacts sur sa personnalité. I Le portrait physique de Gargantua : Les conditions burlesques de sa naissance : Les cinq premiers chapitres reprennent les éléments du récit d'une naissance héroïque, dans des conditions burlesques. En effet, Rabelais met en place le gigantisme du héros : sa mère, Gargamelle, le porte jusqu'au onzième mois, ce qui donne l'occasion à l'auteur à la fois d'ironiser sur la

a-t-il des thèmes de prédilection qui prêtent à rire ? Tous les thèmes peuvent prêter à rire, mais tout dépend de la façon dont l’humoriste porte l’humour et de la façon dont le public le perçoit. 3) Que veulent dire « burlesque » et « héroï-comique » ? - Le « burlesque » est un comique (ou humour) relevant du ridicule, de l’absurde et du bouffon. Origine latine : « burla » qui veut dire farce. Exemple d’œuvre : « Gargantua » de François Rabelais. - L’ « héroï-comique » est une œuvre

Duchamp ). Les objets et le burlesque : Le teint rouge des personnages, Hamm et Clov nous suggère des Clowns. Ainsi que les « brodequins » nous font penser à leurs grandes chaussures. Les objets ouvrent alors le jeu. Ils permettent le déplacement de Clov qui va chercher le biscuit, la lunette, le chien, la gaffe. Ils ordonnent le pantomime de Clov au début de la pièce quand celui-ci inspecte les lieu comme un régisseur. Il donne aussi lieu à un jeu burlesque. Ainsi quand celui-ci veut regarder

cette scène relate une situation dramatique grâce au registre comique. De plus, les personnages sur scène sont burlesques : le Roi se cachant dans un placard et la gestuelle de la mystérieuse et inévitable duègne soulignent cet effet comique. Enfin, les didascalies mettent au jour un jeu de scène basé sur le placard : « le refermant » puis «  le rouvrant » qui rajoutent des éléments au burlesque et au comique de situation. En plus du mélange des registres, un autre mélange est présent, celui des

Les objets de Fin de Partie sont donc presque systématiquement détournés de leur fonction première. De même que dans l'art moderne, ils sont utilisés comme des matériaux dont le sens est à réinventer. II. Les objets et le théâtre : 1) Le jeu burlesque : Hamm et Clov avec leur teint très rouge peuvent être considérés comme des clowns. La démarche de Clov, « raide et vacillante », peut rappeler celle des clowns, maladroite avec leurs énormes chaussures Entrées et les sorties de Clov,