New Providence

et de la Princesse Palatine. Ces Oraisons funèbres font mention, souvent de manière détournée, de toutes les controverses religieuses de l'époque. (le jansénisme, le courant libertin,...) Les thèmes les plus souvent repris par l'écrivain sont la Providence divine, l'orgueil humain, la conversion, et surtout la mort. Ces thèmes sont illustrés par les personnages dont Bossuet retrace l'existence: ainsi l'oraison funèbre d'Henriette de France comprend un tableau historique de la révolution anglaise,

contraire la présence d’une puissance que l’on appellerait le hasard ? Ceci dit, l’absence d’explications peut également être perçue comme une « puissance ». Nous marquons dans ce cas une distinction claire entre le hasard et ce que l’on appelle la providence, celle-ci étant justement l’intervention divine dans tout événement. Quant à la deuxième définition, elle est définie comme telle : « Circonstance de caractère imprévu ou imprévisible dont les effets peuvent être favorables ou défavorables pour

THEME : PEUT-ON CHANGER SON DESTIN ? INTRODUCTION Les lois spirituelles et de la nature sont parfois incompréhensibles pour nous les humains, parce qu’elles ne respectent pas certaines logiques de notre pensée. Il arrive souvent que nous soyons confrontés à certains évènements dans la vie au point de n’être pas capable de les identifier, ni de les comprendre. Face à cette situation, l’homme s’interroge sur la raison de son existence et cherche à trouver des arguments

scène dans l'éthymologie très significative du mot "passion". Il vient du latin passio, qui signifie souffrir malgré son état passif. Phèdre, victime de son amour coupable et incontrolable, ne peut que en souffrir en silence et s'en remettre a la providence divine ; c'est un exemple typique de la passion.

profanes ce que le prophète Jérémie disait autrefois de la ville de Jérusalem 8 : Sa souillure était aux pans de sa robe, et elle n’a point eu connaissance de sa fin. VI. Je considère encore un autre défaut. C’est que nous nous défions de la providence de Dieu, et que nous ne savons ce que c’est que de nous reposer sur son soin paternel. Nous avons trop bonne opinion de nous-mêmes, et de notre suffisance. Nous ne pouvons nous résoudre à mourir parce qu’il nous semble que nous sommes par

d’explication. Ce préambule traite de la présence du mal sur terre, et de la perspective du narrateur qui veut en rendre compte. Le premier paragraphe nous parle de philosophie : la philosophie doit aider l’homme à vivre et à se conduire face à la Providence. Dans le paragraphe suivant, Sade fait le constat d’une injustice (les ronces pour le bien, les roses pour le mal) il envisage donc que certains préfèrent le mal. Troisième temps : face à ces apories (= impasse dans le raisonnement) soulevées

Le sentiment océanique perdure, souvenir immémorial d’une époque perdue, mais n’a plus droit de cité : la dure nécessité l’étouffe. Sauf que face au désarroi infantile immense, se dresse, superbe, l’image du père. Au destin implacable seule la providence de Dieu le père peut rivaliser ! Le sentiment océanique retrouverait ainsi couleur et saveur via la croyance délirante mais rassurante en une entité supérieure, bienveillante, protectrice. Croire en Dieu, c’est croire au père.

Bien. Le destin qui règne dans le monde est donc bon, il est une Providence. Mais ce Bien, c'est la vie et le Bien du Tout, de la nature elle-même, non de chaque créature qui la compose. Chaque homme n'est qu'un rouage du grand mécanisme universel, et c'est par une folle présomption que chacun s'imagine être le centre du monde et voudrait que tout conspire à son bonheur. En revanche, cette idée que le monde est dirigé par la Providence, que chaque événement concourt à un Bien pour le Tout, même si

1. La Providence divine qui conduit admirablement toutes choses, gouverne la suite des générations humaines depuis Adam jusqu’à la fin des siècles, comme un seul homme, qui, de l’enfance à la vieillesse, poursuit sa carrière dans le temps en passant par tous les âges. saint AUGUSTIN, Quatre-vingt trois questions diverses. 2. Néanmoins, pour que notre libre arbitre ne soit éteint, j'estime qu'il peut être vrai que la fortune soit maîtresse de la moitié de nos œuvres, mais qu'elle nous en laisse

refuse d’adopter. Pour ce philosophe, l’homme subit l’influence de la Providence sans être pour autant privé totalement de liberté. Selon Voltaire, même s’il y a un ordre préétabli par la Providence, l’homme a la possibilité de faire des choix comme l’a fait Zadig, ce qui lui a permis d’acquérir une sagesse. Le héros de ce conte devient l’envoyé de la Providence. En effet, c’est lui qui, par ses choix et sa sagesse incarne la Providence pour les autres personnages. Nous pouvons prendre l’exemple du bûcher