Ni Putes Ni Soumises

Alors que, la secrétaire, elle, devrait être une femme. (229) Certes, il existe des différences biologiques entre les hommes et les femmes. Ils ne sont pas égaux à ce niveau. Cela est scientifiquement prouvé ; les deux sexes n'ont pas la même force ni la même constitution physique. Mais, en ce qui concerne la sensibilité les hommes et les femmes ne sont pas différents. Dire que les filles sont plus sensibles est un cliché, une image aberrante qu'on donne d'elle. Les hommes montrent également énormément

modification : ils sont une sorte de participation à la vie politique. Les NMS contribuent à définir les problèmes sur lesquels il faut que le gouvernement agisse. Ils créent des espaces d’identité collective sur la base de valeurs communes ex : « Ni putes ni soumises », la Gay Pride) Ex : 1984 : grande manifestation des défenseurs de l’école privée fait reculer le gouvernement sur une réforme 1974-1975 : des pétitions, des lettre sur l’avortement on fait parler sur ce sujet Comment expliquer

Benyahai-Kouider lorsqu’elle nous expose les railleries coutumières entre les habitants du nord et du Sud de l’Allemagne. Et pourtant en France on se moque toujours des Belges, des Suisses et des Blondes…Sur un autre registre, l’association « ni putes ni soumises » lutte contre le sexisme des publicités présentant les femmes comme des objets sexuels, des potiches… La seconde est de l’ordre du droit à se protéger. Depuis plusieurs années on a pu remarquer une forte augmentation du nombre de procédures

Le but : La Halde est une institution spécialisée dans la lutte contre les discriminations. À cette fin, le Collège de la Haute autorité, qui réunit des personnalités de la société civile dont Adolphe Steg ou Sihem Habchi (Présidente de Ni Putes Ni Soumises). Dans un premier temps nous verrons la composition et la dissolution de la HALDE, puis nous verrons les missions ainsi que les pouvoirs de celui-ci. Pour finir nous vous parlerons des actions éventuelles qui existent pour faire évoluer

l’ouvrage 1) Ni putes ni soumises est un ouvrage de Fadela Amara. Fadela Amara une femme politique née le 25 avril 1964 à Clermont-Ferrand. Dans les années 1980, elle fut membre de SOS racisme, à la fin des années 1980, elle se consacre à la cause féministe et notamment aux problèmes des femmes vivant dans les quartiers difficiles. Le mouvement de « Ni putes Ni soumises » qu’elle préside formalisera son engagement. Elle met en place un tour de France de l’association « Ni putes Ni soumises» Dans

ghettos et pour l’égalité », autour d'un slogan provocateur : « Ni putes ni soumises ». Cette marche, partie de Vitry-sur-Seine en hommage à Sohane, qui s'achèvera à Paris le 8 mars 2003 dans une manifestation de 20 000 personnes, exigeait la fin de la loi du silence et la liberté de parole de toutes les femmes et filles de la République. Fadela Amara deviendra la présidente de ce mouvement, ayant adopté le nom de « Ni putes ni soumises » (NPNS), qui lutte pour l’émancipation des filles et des garçons

intransigeante (« je voulais voter pour les plus « dingues ») et il vote blanc au deuxième tour y compris aux présidentielles de 2002 (3). Il a un point de vue critique sur toutes les composantes politiques ou associatives (« SOS Racisme, la LCR, « Ni Putes ni soumises », ATTAC, les « assoces de beurs », etc ). Il n'est attiré par aucune forme de militantisme. Il aspire à quelque chose « de réel, de concret », dépassant les partis et les associations. Lors du mouvement du printemps 2003 qui le laisse froid

traditionnelles se prolonge avec la montée en puissance de plusieurs types de communautarismes en particulier les mouvements dits « féministes » avec l’association « Ni putes ni soumises » qui contribuent à stigmatiser les hommes et sous-tend l’idée que les hommes pensent des femmes qu’elles sont soient des péripatéticiennes soient des filles soumises au diktat de l’homme. Le communautarisme gay avec la « gay pride » contribue à dessiner l’image d’un homme où l’homosexualité devient une norme et contribue

Un exemple de manifeste NPNS -« Ni putes, ni soumises »- est un collectif de femmes fondé en 2003 par Fadéla AMARA. Ce mouvement lutte pour l’émancipation des femmes, l’égalité des sexes, la laïcité et la mixité dans les quartiers. Dans son manifeste, ce collectif présente ses revendications. « A l’heure où chacun cherche une réponse à la violence qui mine notre société, nous voulons dire que le premier pas passe par notre libération et le respect de nos droits les plus élémentaires

qui atteste du poids des stéréotypes lors des recrutements. Philippe Rioux http://www.ladepeche.fr/article/2013/10/17/1732729-encore-loin-de-l-egalite-homme-femme.html DOCUMENT 2 LES INTERVENTIONS SCOLAIRES DE L’association ni Putes ni Soumises Depuis 2003, plusieurs fois par mois, des équipes du Mouvement NPNS se déplacent dans les établissements scolaires pour effectuer des interventions visant à sensibiliser et à éduquer les jeunes sur les questions d’égalité hommes/femmes, de