Nicolas Dupont-Aignan

candidats qui étaient en lice, Nicolas Sarkozy, François Hollande, Marine Le Pen, Jean-Luc Mélenchon, François Bayrou, Eva Joly, Phillipe Poutou, Nathalie Arthaud, Nicolas Dupont-Aignan, et Jacques Cheminade, les 44 millions et demi d'électeurs français appelés aux urnes en ont désigné deux pour l'affrontement final. Le 6 mai prochain, la France devra donc choisir entre le socialiste François Hollande, arrivé en tête de ce premier tour, et le président-candidat de l'UMP Nicolas Sarkozy. Reste à savoir

recul possible. D’autre part les réseaux sociaux permettent également aux antivax de trouver des relais qui reprennent leur parole et la diffuse à grande échelle. On retrouve par exemple Florian Philippot, membre du front national ou encore Nicolas Dupont-Aignan, député français partager des informations sur le covid qui se sont avérées fausses. Ces relais expliquent en partie la différence de profil au sein de l’opposition car les individus ont été représentés par une personnalité plus influente et

parti ayant entériné depuis 30 ans le libre-échange comme modèle, dit fermement qu’il s’y oppose et propose une démondialisation2 , passant notamment par un dialogue «amicale mais ferme» avec l’Allemagne3. Nous sommes loin de l’entente actuelle entre Nicolas Sarkozy et Angela Merkel. Pour le moment, le député de Saône-et-Loire soutient le candidat socialiste, espérant sans doute, si son parti arrive au pouvoir, être en mesure d’incliner l’action gouvernementale. Mais en cas d’échec de François Hollande

drapeau rouge et d'une guitare électrique, avec la poitrine couverte. Elle est vêtue de bleu, de blanc et de rouge. Le logo de Debout la République (DLR), parti politique de tendance gaulliste et républicaine, créé en 1993 et présidé par Nicolas Dupont-Aignan, reprend la silhouette du tableau. L'hebdomadaire Marianne utilise également sur son logo le personnage de la femme aux seins nus, présent sur le tableau de Delacroix. http://www.peintre-analyse.com/liberte.htm Eugène Delacroix Ferdinand-Victor-Eugène

multipolaire organisée sur des zones régionales de libre échange, et coopérant entre elles. Le capitalisme est en crise, tout en restant dans une économie libérale, il faut entreprendre de le dépasser par une transformation en profondeur. Nicolas DUPONT-AIGNAN Député de l’Essonne Président du Mouvement Gaulliste Debout la République Contact presse : Sophie LECOURT 06 65 12 12 34 

CNIP à l'élection présidentielle de 2007 fut Jean-Michel Jardry, alors vice-président du CNIP, qui a recueilli 6 promesses de parrainage, selon Gilles Bourdouleix. Il a annoncé son soutien à Nicolas Sarkozy à la suite d'un Conseil national et d'un vote des adhérents le 17 février 2007 (57 % en faveur de Nicolas Sarkozy, 16 % pour François Bayrou, 12 % pour Philippe de Villiers et 5 % pour Jean-Marie Le Pen). Jean-Michel Jardry se retire ainsi de la course à la présidence de la République. Le 4 mars

Sujet : Quels seront les thèmes essentiels de la campagne présidentielle ? Quels seront selon vous les facteurs décisifs du vote si l’on regarde l’état de l’opinion publique en France ?« Vous avez beau ne pas vous occuper de politique, la politique s’occupe de vous tout de même. » disait le comte de MONTALEMBERT(1810-1870). Cette phrase n’a jamais été aussi actuelle à un moment charnière de notre démocratie : l’élection du Président de la République Française de 2022. Ce vote possède plusieurs enjeux

socialistes pourrait alors renforcer Nicolas Sarkozy, dont la réélection semble moins improbable. Mais elle pourrait également avoir des conséquences pour le centre politique, Bayrou, Borloo, Villepin et les Verts. Même s'il ne l'a jamais dit publiquement, l'actuel chef de l'Etat perçoit DSK comme l'obstacle le plus redoutable sur le chemin de sa réélection. A l'UMP, certains confiaient en fin de semaine que DSK était pour eux "l'homme à abattre" et décrivaient Nicolas Sarkozy comme le "challenger" de

de l'Etat. A quelques heures de l'intervention de Nicolas Sarkozy, les réactions des politiques au fil de la journée. 17h50. Villepin : «Je me bats contre des promesses non tenues.» Invité de C Politique sur France 5, le candidat de République Solidaire dément faire campagne contre le président sortant. «Je ne fais pas campagne contre Nicolas Sarkozy (...) La France de 2012 est une France qui a été gouvernée pendant cinq ans par Nicolas Sarkozy et François Fillon (...) Je ne me bats pas contre

gagna les élections il y a trois mois. « Il n’y aura pas d’accord pour le 12 octobre, la Toussaint est trop tôt et même Saint Nicolas, peut-être Noël ?, écrit Luk Van Der Kelen dans le journal néerlandais Het Laatste Nieuws. Même de l’autre côté de la frontière, la France se demande si elle devrait annexer la Wallonie. Le député conservateur ex-UMP Nicolas Dupont-Aignan a demandé à Sarkozy de se préparer à «  l’accueil des compatriotes wallons et bruxellois, maintenant que la crise belge est entrée