Nicolas Sarkozy

nommé Président de la Cours des Comptes en 2004 et a gardé ce poste jusqu'à sa mort. Ce gaulliste social laisse sa place à un nouveau président de la cours des comptes : Didier Migaud. Ce socialiste, nommé par le président de la République, Nicolas Sarkozy, a pourtant ouvert les discussions concernant ses intentions et la raison de sa présence à la Cours. B – Politique d'ouverture. D'après le Figaro, journal de droite : Qui peut succéder à Philippe Séguin à la tête de la Cour

A Davos, Sarkozy promet une défense renforcée de l'euro Dans cette article, Nicolas Sarkozy, à la tête du G20, défend sa volonté à Davos, lors du forum économique mondial, de mettre en place une meilleure régulation du système monétaire international. Tout d'abord, il déclare qu'on ne renoncera jamais à l'euro : en effet l'économie française et européenne est affaiblie par les déficits budgétaires importants de certains pays notamment la Grèce, L'Irande, le Portugal... Ces derniers empruntaient

président de l'UMP. Mais refusant d’entrer au gouvernement, le parti permet à Juppé de mener a distance une lutte contre son principale rival, Nicolas Sarkozy appartenant au même parti. Les années 2003-2004 font alors de l’UMP un de ses principaux théâtres de ce combat féroce entre chiraquiens et sarkozystes. Le 28 novembre 2004, au Bourget, Nicolas Sarkozy devient le deuxième président de l'UMP. Cela lui permet de rivaliser à distance avec Jacques Chirac, le nouveau président de l'UMP n'a alors

Désespérante sournoiserie !  Nicolas Sarkozy et François Hollande ont eu une réelle confrontation durant le débat, jeudi soir sur TF1. Cet éditorial est à prendre sous forme humoristique. Nicolas Sarkozy affirmait : « J’ai une preuve à vous donner de cet esprit de rassemblement qui m’a animé pendant 5 ans : c’est qu’il n’y a jamais eu de violences pendant les 5 ans de mon quinquennat, et y compris pour une réforme entrainement difficile : celle des retraites, il y a eu des manifestations

remanié en cours d'exercice en raison de la réforme fiscale annoncée par Nicolas Sarkozy (suppression du bouclier fiscal, réaménagement de l'ISF, imposition des revenus du patrimoine...), le gouvernement s'engage à ramener le déficit public à 6 % du produit intérieur brut (PIB), après un niveau record de 7,7 % en 2010. Il table, pour cela, sur une croissance de 2 % en 2011, après +1,5 % en 2010. Comptes bancaires de Sarkozy : la Cour de cassation préserve son pré carré Par décision en date du 10

l'encontre d'une lutte efficace contre les trafics16. Il devient le directeur de cabinet de Nicolas Sarkozy, de 2002 à 2004 puis de juin 2005 à mars 2007 au ministère de l'Intérieur et en 2004 au ministère des Finances. Il est, lors de la présidentielle en 2007, directeur de campagne de Nicolas Sarkozy, après le refus du président Jacques Chirac de le nommer préfet de police de Paris. Une fois élu, Nicolas Sarkozy le nomme, le 16 mai 2007, secrétaire général de la présidence de la République. Le pouvoir

Le 1er ministre n’a qu’une influence résiduelle. Le chef d’Etat peut d’ailleurs fixer le nombre de ses ministres. Exemple : Valéry Giscard d’Estaing a imposé à Raymond Barre le plafond de 15 ministres. Au moment de son élection, Nicolas Sarkozy avait annoncé le même nombre. * En revanche, en période de cohabitation, le 1er ministre a plus de pouvoir dans le choix de ses ministres. Exemple : En 1993, Edouard Balladur et en 1997, Lionel Jospin, ont imposés leurs ministres

pour L’Europe : solution à la crise, lien de confiance, une plus grande place économique au sein du monde. http://www.lemonde.fr/idees/article/2012/02/06/la-france-l-allemagne-la-democratie_1638568_3232.html L'Allemagne est à la mode. Nicolas Sarkozy s'est référé un nombre incalculable de fois à notre voisin d'Outre-Rhin dans son allocution multi-télédiffusée de dimanche dernier. Pour le président français, la référence est socio-économique. Il vante, en multipliant les inexactitudes, les

l'Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité (ADMD) a choisi de lancer une campagne choc en vue des manifestations nationales prévues le 24 mars à Paris. Les images font froid dans le dos. Sur un lit d'hôpital, François Bayrou, Marine Le Pen et Nicolas Sarkozy sont représentés en fin de vie, le regard dans le vide. Intubés, amaigris, blafards, ils sont visiblement mourants. Au-dessus, un message lapidaire : « M(me). le candidat(e), Doit-on vous mettre dans une telle position pour faire évoluer la vôtre

s'inscrit en 1945 à la faculté de droit et à l'Institut d'études politiques de Paris . Elle y rencontre Antoine Veil, futur inspecteur des finances, qu'elle épouse le 26 octobre 1946. Ils ont trois fils : Jean Veil avocat d'affaires né en 1947, Claude-Nicolas né en 1948, et Pierre-François en 1954. Munie de sa licence et de son diplôme de l'IEP, elle renonce à la carrière d'avocate qu'elle avait envisagée pour entrer dans la magistrature . Après l'élection de Valéry Giscard d'Estaing à la présidence de