Nicotiana tabacum

espagnols ont ramené d’Amérique du Sud des plants de tabac dans le sud de l’Europe. Jean Nicot, ambassadeur de France auprès de la Cour portugaise, a ensuite introduit cette plante en France, où on lui a donné, en son honneur, le nom botanique de «nicotiana tabacum». Dans le langage familier, on parle d’ailleurs encore de «l’herbe à Nicot». Au XVIIIe siècle, la principale substance active mise en évidence par les chimistes dans cette plante est nommée «nicotine». La consommation du tabac s’est répandue

tabac sur leur santé ,de félicité les non-fumeur Le tabac est un produit manufacturé élaboré à partir de feuilles séchées de plantes appartenant au genre botanique Nicotiana, originaires d'Amérique du Sud, dont la plus importante est le tabac commun. Nicotiana se subdivise en soixante espèces et trois sous-genres : Rustica, Tabacum et Pétunioïde. On trouve d'autres variétés de plantes de tabac, mais uniquement épidémiques en Océanie et en Australie. L'usage du tabac s'est largement répandu dans

calmer les terribles migraines de son fils François II. Le traitement a du succès et le tabac devient ainsi « l’herbe à la Reine ». Sa vente sous forme de poudre est réservée aux apothicaires. En l’honneur de Jean Nicot on appelle le tabac « Nicotiana Tabacum ». En 1571, le docteur espagnol Nicolas Monardes publie un livre sur l’histoire des plantes médicinales du Nouveau Monde dans lequel il soutient que le tabac peut guérir trente-six problèmes de santé dont la migraine, les maux de dents et les

propager dans le monde entier, le tabac existait seulement en Amérique du sud ou celle centrale sous forme de plus de 50 variétés, pourtant, le type le plus important et qui a actuellement un rôle indispensable dans l’économie mondiale est appelé Nicotiana Tabacum, un bien psychoactif dont la matière première est des feuilles séchées d’une plante particulière, avant d’être un produit commercial il avait une fonction religieuse chez les peuples autochtones et qui le considéraient comme un éléments sacré

décennies. L’usage médicinal du tabac se répand rapidement, et l’on commence à éditer des livres savants sur le sujet. L’un des premiers est une monographie de 54 pages, éditée à Anvers en 1583, par Gillis Everaert, « De herba panacea quam alii Tabacum, alii Petum, aut Nicotianam vocant, brevis commentariolus. » L’auteur considère qu’il s’agit d’une panacée, qui soigne tout, et qui reprend les thèmes du livre de Jacques Gohory, publié à Paris en 1572 : « Instructions sur l’herbe Petum, dite

tabac et la combustion de la cigarette. Ces réactions entre la nicotine et les nitrites ou nitrates produisent de nouvelles substances qui sont appelées nitrosamines (OMS) spécifiques au tabac. Ce nom vient du fait que la plante de tabac (Nicotiana tabacum) est la seule plante à produire de la nicotine de façon naturelle. On retrouve donc les nitrosamines dérivées de la nicotine uniquement dans la plante de tabac et la fumée générée par la combustion de cette plante incluant la feuille. Particules

sur re presynaptique pour freiner sa liberation. Il y a deux groupes de Recepteurs:les recepteurs muscarinique(5types) et r.nicotinique(«3 types) La provenance du r.nicotinique vient de la nicotine (alcaloïde se trouvannt dans la plante de nicotiana tabacum).La Nicotine est un AGONISTE SELECTIF POUR R.NICOTINIQUE. R.MUSCARINIQUE Provenance de la muscarine (alcaloïdes amanita muscarinia qui est un champignon toxique. 5 Types de recepteurs muscariniques R muscariniques sont couplés aux proteines G

agit jusqu’à ce que la racine descende verticalement. ** Grâce à leur nouvelles expériences, les phytobiologistes complètent l’hypothèse de la “chute des statolithes” dans l’explication du géotropisme des racines. Par exemple les mutants du Nicotiana tabacum qui ne possèdent pas de statolithtes présentent quand même un géotropisme, mais plus lent que celui des plantes de types sauvages. Il se pourrait ici que toute la cellule aide la racine à détecter la gravitation par une attirance mécanique de

, Lamiacées 49. Momordica charantia L., Cucurbitacées 50. Morinda citrifolia L., Rubiacées 51. Moringa pterygosperma Gaertn., Moringacées 52. Musa x paradisiaca L., Musacées 53. Myristica fragrans Houtt., Myristicacées 54. Nicotiana tabacum L., Solanacées 55. Ocimum basilicum L., Lamiacées 56. Ocimum gratissimum L., Lamiacées 57. Persea americana Mill., Lauracées 58. Petiveria alliacea L., Phytolaccacées 59. Pimenta dioica (L.) Merr., Myrtacées 60. Pimenta racemosa

premières plantes à avoir été domestiquée. Le vocable « tabac » viendrait d’un mot d’origine caraïbe, déformé puis propagé par les Espagnols. On dénombre une cinquantaine de variétés de tabac, mais les plus connues sont la Nicotiana rustica (Amérique du Nord) et la Nicotiana tabacum (Amérique centrale et Amérique du Sud). Une nouvelle venue : la cigarette Si les XVIIe et XVIIIe siècles ont été les siècles de la pipe et, dans une moindre mesure, de la prise, le XIXe siècle est celui de la cigarette