Nicotiana

organisme. Mais des mutations spontanées ainsi que des systèmes de transfert naturel d'ADN appelé transfert horizontal de gènes existent qui conduisent à l'apparition d'organismes dont le matériel génétique est inédit. Ainsi, par exemple, letabac (Nicotiana tabacum) et le blé résultent de l'addition spontanée de génomes ancestraux43. Découvert à la fin des années 195044,45, le transfert horizontal de gènes a depuis été reconnu comme un processus majeur de l'évolution des bactéries, mais aussi des eucaryotes 46

Le tabac élaboré à partir des feuilles de Nicotiana date du 15ème siècle. Il prend son origine chez les Indiens d’Amérique qui le fumaient déjà à cette époque. Ayant traversé et survécu six grands siècles, il est devenu aujourd’hui un sujet d’actualité très convoité. En effet, alors que notre société a pris conscience des effets néfastes produits par la fumée, les victimes ne cessent d’augmenter. Si le tabac fût considéré auparavant comme un médicament grâce à ses vertus médicinales, aujourd’hui

plus de 140 000 hectares de terrains boisés indigènes qui disparaissent chaque année pour servir de combustible pour le séchage du tabac, ce qui correspond à 12% de la déforestation annuelle totale dans la région. 3. Production[modifier] Les Nicotiana sont des plantes néotropicales nitrophiles, originaires des régions chaudes et nécessitant un sol riche en humus. La température et la nature des sols jouent un rôle prépondérant sur les propriétés du tabac : la culture ne peut s'effectuer qu'entre

l'espèce. La plante émet aussi des substances protectrices pour sa fleur et pour les organes de cette fleur. Ce sont des composés insecticides et fongicides toxiques tels que la nicotine du tabac. On a ainsi montré que des plants de tabac sauvage (Nicotiana attenuata) génétiquement modifiés pour ne pas produire de nicotine ou de benzylacétone (parfum qui contribue à l'odeur du cacao, du jasmin et de la fraise) sont nettement moins bien fécondés et produisent jusqu'à cinq fois moins de graines2,3,4.

espagnols ont ramené d’Amérique du Sud des plants de tabac dans le sud de l’Europe. Jean Nicot, ambassadeur de France auprès de la Cour portugaise, a ensuite introduit cette plante en France, où on lui a donné, en son honneur, le nom botanique de «nicotiana tabacum». Dans le langage familier, on parle d’ailleurs encore de «l’herbe à Nicot». Au XVIIIe siècle, la principale substance active mise en évidence par les chimistes dans cette plante est nommée «nicotine». La consommation du tabac s’est répandue

de calmer les terribles migraines de son fils François II. Le traitement a du succès et le tabac devient ainsi « l’herbe à la Reine ». Sa vente sous forme de poudre est réservée aux apothicaires. En l’honneur de Jean Nicot on appelle le tabac « Nicotiana Tabacum ». En 1571, le docteur espagnol Nicolas Monardes publie un livre sur l’histoire des plantes médicinales du Nouveau Monde dans lequel il soutient que le tabac peut guérir trente-six problèmes de santé dont la migraine, les maux de dents et

propager dans le monde entier, le tabac existait seulement en Amérique du sud ou celle centrale sous forme de plus de 50 variétés, pourtant, le type le plus important et qui a actuellement un rôle indispensable dans l’économie mondiale est appelé Nicotiana Tabacum, un bien psychoactif dont la matière première est des feuilles séchées d’une plante particulière, avant d’être un produit commercial il avait une fonction religieuse chez les peuples autochtones et qui le considéraient comme un éléments sacré

l'espèce. La plante émet aussi des substances protectrices pour sa fleur et pour les organes de cette fleur. Ce sont des composés insecticides et fongicides toxiques tels que la nicotine du tabac. On a ainsi montré que des plants de tabac sauvage (Nicotiana attenuata) génétiquement modifiés pour ne pas produire de nicotine ou de benzylacétone (parfum qui contribue à l'odeur du cacao, du jasmin et de la fraise) sont nettement moins bien fécondés et produisent jusqu'à cinq fois moins de graines[2],[3]

La plante émet aussi des substances protectrices pour sa fleur et pour les organes de cette fleur (ce sont des composés insecticides et fongicides toxiques tels que la nicotine chez le tabac. On a ainsi montré que des plants de tabac sauvage (Nicotiana attenuata) génétiquement modifiés pour ne pas produire de nicotine et/ou de benzylacétone (parfum qui contribue à l'odeur du cacao, du jasmin et de la fraise) sont nettement moins bien fécondées et produisent jusqu'à 5 fois moins de graines[2],[3]

carbone qui sort des pots d'échappement des voitures, du ddt qui est un insecticide, de l'arsenic, un poison très puissant … Et bien-sûr de la nicotine. La nicotine est la substance rendant dépendant au tabac, elle est naturellement présente dans la nicotiana tabacumde (nom de la plante de tabac). En effet lorsque le consommateur inhale la fumée d’une cigarette, une grande quantité des composants de cette fumée dont notamment la nicotine, arrivent dans les alvéoles pulmonaires. De là, la nicotine est