Nietzsche Tout Ce Qu On Appelle Amour

Freud). D'autres, comme Kant, opposent la recherche du bonheur et la réalisation de la loi morale (on ne peut pas chercher à être heureux en suivant la loi morale; néanmoins, on ne peut pas parler d'une condamnation de la recherche du bonheur). Nietzsche lui, la critique comme une fuite devant le tragique de la réalité, lui préférant l'expérience de la joie. Épicure (3eme s. av JC) Le bonheur est le "plaisir en repos" de l'âme (ataraxie, sérénité) et du corps (aponie) qui naît spontanément de

genre de pratiques et critique l’Eglise comme puissance pol. Il semble prôner la séparation du spirituel et du temporel = théorie des deux règnes. Eglise ne doit s’occuper que des âmes et csc. Mais en même tps, il dit qu’on ne doit pas faire ss arrêt appel à l’Eglise pour les âmes = individualisation du rapport à Dieu. Luther est excommunié en 1521. Dvt du luthérianisme grâce aux puissances temporelles. Le prince de Luther le place ds un endroit sûr et protégé car a refusé de se rétracter. Diffusion

il est fou amoureux. Au début il a un complexe d'infériorité par rapport à Dudart et sa timidité l'empêche de lui déclarer sa flamme. Lorsqu'il voit Daisy il retrouve goût à la vie mais c'est seulement à la fin de la pièce qu'ils vont s'avouer leur amour mutuel. Pour Bérenger, c'est un bonheur qui s'offre à lui. Mais Daisy va devenir rhinocéros et lui va devenir à nouveau triste et désespéré. Il trouvera pourtant les ressources nécessaires pour lutter et ne devenir rhinocéros. Le logicien La métamorphose

repoussai de bonne heure les distractions futiles. Toute science étrangère à la musique me devint importune. Je m’en détournai avec obstination et fierté ; je me donnai à la seule musique. Tout premier pas est difficile, et tout début de route ennuyeux. J’avais à vaincre des obstacles qui m’assaillirent tout d’abord. Je plaçais le métier pour base de l’art ; je me fis artisan » Pouchkine, Mozart et Saliéri = Commenter ici la dernière formule. Salieri se présente comme un artisan, un homme de la

? Et peut-on considérer qu’elles donnent accès à la vérité recherchée ? Doit-on chercher à se sentir sûr de quelque chose pour affirmer une vérité ? Que vaut le primat psychologique de la certitude subjective ? Dans la recherche de la vérité, tout individu donne spontanément une grande importance au fait d’adhérer à ce qu’on lui présente comme vrai. A ses yeux, et c’est bien compréhensible, il ne suffit pas qu’on lui présente quelque chose de vraisemblable, il faut qu’il en tire un sentiment

d'expérimenter les parties précédentes. L'Homme doute, ce qui l'éloigne de la tradition. L'Histoire est maintenant faite par l'Homme et non par la nature comme dans l'Antiquité. On ne subit plus. Aujourd'hui : tension entre autorité et liberté. Trouve que tout est trop théorique à l'école. Politique transforme le fait en opinion. Sans testament ou, pour élucider la métaphore, sans tradition - qui choisit et nomme, qui transmet et conserve, qui indique où les trésors se trouvent et quelle est leur valeur

La philosophie socratique est en effet une anthropologie. Il s'agit de connaître l'homme. On consultera le commentaire qu'en fait Platon dans l'Alcibiade majeur Le seule chose que je sais, c'est que je ne sais rien. Cette phrase résume ce qu'on appelle l'ironie socratique. Celle-ci consiste à interroger en feignant l'ignorance. Elle est aussi révélatrice du refus du dogmatisme caractéristique de la philosophie socratique. Platon Il faudrait pour le bonheur des États que les philosophes fussent

toujoursconscience de nos rapports au monde, de nos relations avec les autres êtres, les autres personnes, etc. Cela ne signifie cependant pas que la conscience soit un concept univoque qui aurait eu un noyau de signification partagée par tous les philosophes. Tout au contraire, il y a une distinction très nette (que l’on retrouve dans notre langage ordinaire) dans l’histoire de la philosophie entre la conscience conçue comme « conscience morale », permettant de distinguer le bien du mal et ayant un but principalement

conscience de ce qu'on est réellement. Le problème de l'objectivité d'une connaissance personnelle est ainsi posé. De plus on peut se demander si cette connaissance de soi peut être absolue? En tant qu'être conscients de notre existence, ne peut-on pas tout naturellement se connaître? Pourtant, l'existence même de l’inconscient n'est-elle pas un insurmontable obstacle à la connaissance de soi? Finalement, ne peut-on se connaître qu'à travers autrui? Se connaître soi-même, c'est d'abord être conscient

et c'est Ouranos, avec la mer, qui donne naissance à Aphrodite (Vénus)). On retrouve plusieurs sortes d'amour, que les grecs théorisent en 3 catégories : Éros : (dieu grec de l'amour) ; un amour passionnel qui a été théorisé par Platon (dans le banquet), amour lié au désir, à la possession de l'autre. Amour exclusif (voir discours d'Aristophane, désir de se réunir à l'être aimé qu'on a perdu). Mais Platon n'aime pas Aristophane, il le trouve faux. Qui montre, non pas l'amour tel qu'il est mais tel