Nitrogénase

intracellulaires et de forme ramifiée en Y ou bossue. La membrane péribactéroïde dérive donc d’une membrane d’endocytose et le bactéroïde dérive par différenciation des bactéries libres. (Enfin, le bactéroïde exprime diverses protéines particulières, comme la nitrogénase qui réduit l’azote – non visible sur les images). On peut récapituler sur un schéma la transition (ci-dessous) : c.i. cordon d’infection limité par une invagination de la membrane plasmique ; b. bactérie libre dans le cordon d’infection ; e. endocytose

ces molécules à partir de N2 et d’hydrogène par le procédé d’Haber-Bosh (haute température et haute pression) qui est très polluant. L’apport biologique (60%), uniquement chez les bactéries procaryotes, libres ou symbiotiques. LA NITROGENASE. La nitrogénase reste très semblable même chez les espèces très éloignée. Il y a tellement de contrainte pour réussir la réaction qu’elle catalyse, qu’il ne peut y avoir de mutation. On utilise 16 ATP et 8 électrons pour réduire une molécule d’azote moléculaire

stimulent la fixation d’azote. a. Biochimie de la fixation de l’N moléculaire Les premières étapes font intervenir simultanément une source de pouvoir réducteur, une source d’énergie et un complexe enzymatique comprenant une hydrogénase et une nitrogénase. a.1. Une source de pouvoir réducteur La fixation microbienne de l’N moléculaire est essentiellement un processus de réduction. Il met en œuvre une ou des substances réductrices : acide pyrruvique, hydrogène moléculaire… L’acide pyruvique fournit

« particules sèches ». Ainsi le processus majoritaire de fixation est la fixation biologique naturelle de N2. La fixation du diazote est limitée aux procaryotes qui possèdent, à l’inverse des plantes, un complexe enzymatique, (par exemple des nitrogénases), permettant de catalyser le N2 atmosphérique en ammoniac (NH3). Ces procaryotes, en particulier le genre Rhizobium, peuvent s’associer symbiotiquement avec des fabacées ce qui permet aux plantes de fixer l’azote. L’aulne peut aussi s’associer

devient dissout s’équilibre sous ses formes basiques dans lesquelles il est très peu présent dans les océans. 3. Azote N2 La solubilité 2x supérieure à celle de l’O2. Le N2 est utilisable uniquement par les bactéries et cyanobactéries possédant la nitrogénase. Le pH En eau douce : pH varie selon la nature du substrat minéral et les phénomènes biologiques ⟶ contribuent à la répartition des organismes vivants. Les poissons basifient l’eau avec leur urée. Une rivière va avoir son pH qui n’est pas constant

conséquence, plus rejeter d’oxygène. Les hétérocystes sont considérés comme les cellules les plus aptes à fixer l’azote atmosphérique. Tout autour des hétérocystes, il n’y a pas d’oxygène, c’est ce qui permet un meilleur fonctionnement de la nitrogénase (c’est l’enzyme qui fixe l’azote). En milieu anaérobie, toutes les cellules fixent l’azote atmosphérique. Les hétérocystes ont la faculté de produire des askinètes. Ce sont des spores de résistances : c’est une cellule normale qui grandit,

Exemple: les bactéries symbiotiques Rhyzobium envahissent les racines des plantes légumineuses et, dans les nodules formés, fixent l’azote moléculaire: N2 + 8e- + 16ATP + 16H2O Æ 2NH3 + 16ADP + 16Pi + H2 + 8H+ Réaction catalysée par le complexe nitrogénase: cette enzyme permet la réduction de l’azote moléculaire qui possède trois liaisons covalentes à haute énergie: N N 32 

Rev. sci. fond. app. vol. 2 N°. 1 (2010) 94 Tableau 3: Comparaison des polluants émet par un SHEPHVD et un SD Polluants Emissions (kg/an) SD Dioxyde de carbone Monoxyde de carbone Hydrocarboné Matière particulière Dioxyde sulfurique Oxyde nitrogénase 16086 39.7 4.4 2.99 32.3 354 Emissions (kg/an) SHEPHVD 599 1.48 0.164 0.111 1.2 13.2 Conclusion Cette présente étude est relative à la simulation et à l’optimisation d’un système hybride (éolien – photovoltaïque – diesel) à fourniture d’énergie

La seule forme assimilable (qui peut se retrouver dans les molécules organiques) est le NH4+. Il servira à la synthèse des AA (anabolisme). Certains microorganismes peuvent cependant fixer le N2 (après l’avoir réduit en NH4+) en utilisant une Nitrogénase mais cela reste rare (Cyanobactéries, ou quelques bactéries vivant en symbiose avec les légumineuses). Les nitrates et les nitrites peuvent être utilisés comme oxydant terminal (AF d’électrons) dans certaines chaînes rédox membranaires (respiration

Liaisons plantes - microflore du sol : fixation associative ou symbiotique de l’azote • la fixation de l’azote est la seule voie biologique d’entrée d’azote atmosphérique dans l’écosphère • l fi ti d’ la fixation d’azote ( t (par l’ l’enzyme nitrogénase) d it é ) demande d conditions d des diti d’anaérobie et beaucoup d’énergie • les 2/3 sont réalisées par des bactéries symbiotiques via des nodules racinaires Liaisons plantes - microflore du sol : fixation associative ou symbiotique de l’azote