Niveau piézométrique

l’obtenir. IDH : construit en 1990 dans le cadre du PNUD. Il retient 3 critères : • La longévité : mesurée par l’espérance de vie. • Le savoir : mesuré par le taux d’alphabétisation et le nombre moyen d’années d’étude. • Le niveau de vie : mesuré par le PIB réel par habitants Changement social : ce sont les transformations observables dans le temps, qui affectent d’une manière qui ne soit pas que provisoire ou éphémère, la structure ou le fonctionnement de l’organisation

commerciale europ est déficitaire avec les EU et excédentaire avec Asie. 1ere place au niveau de l’exportation des services, de la gde distribution et des assurances.   3) Une puissance financière 1ere bourse europ : Londres (3eme rang mondial), nbe gdes bourses en europe avec paris, Francfort…Euronext : groupement de bourses europ. Londres est avec NY le plus gd centre financier du monde( quartier de la city) avec un niveau d’excellence pr la bqe avec l’assurance et la réassurance. Elle est le 1er lieu

existe un indicateur, l’IDH (Indice de Développement Humain) qui est mesuré par le PIB mais aussi par la santé (longévité) et l’éducation (taux d’alphabétisation et taux de scolarisation). La croissance entraine donc une augmentation de l’IDH. Le niveau de vie de la population se voit donc accru. En effet, cela est visible dans le document 3.La Chine a une croissance annuelle de 8.9% du PIB par habitant entre 1990 et 2007. On remarque que cette croissance lui permet de diminuer son taux de personnes

c'est avoir plus ; le développement, c'est être mieux tout en rendant possible la poursuite de la croissance. Il peut y avoir croissance sans développement : dans ce cas, les quantités produites augmentent, mais sans qu'il y ait une amélioration du niveau de vie de la majorité de la population, sans que les structures se transforment de manière à ce que le fonctionnement de l'économie satisfasse de plus en plus de citoyens du pays. Comment est-ce possible ? Il suffit que la production supplémentaire

les prélèvements sont trop élevés). B. La persistance d'inégalités 1. Les inégalités sont certes atténuées. Globalement, on constate que la redistribution permet de réduire les inégalités. Si on ne prend en compte que les revenus initiaux, le niveau de vie moyen des 20 % les plus aisés vaut 7,3 fois celui des 20 % les plus pauvres. Ce rapport est ramené à 3,8 fois après redistribution. La pauvreté, voire l'exclusion n'ont cependant pas disparu. 2. Risque d'une logique d'assistance qui n'incite

économique est très lente. C’est à partir de cette révolution industrielle que la croissance s’est accéléré et qu’elle à transformé les structures de production (taylorisme, fordisme…) et le niveau de vie des individus. A. Le PIB et le revenu par habitant. La croissance éco est le moyen d’amélioration du niveau de vie. Lorsque la richesse nationale progresse plus vite que la population, le produit et le revenu par tête peuvent progresser. Ainsi au cours des 30 glorieuses, la forte croissance de

habitant en 1975 et 2004 voit son IDH en hausse de 0, 205 qui passent de 0, 707 en 1975 à 0, 912 en 2004. Nous constatons aussi que son niveau d'instruction est fort : 0, 98. À l'inverse l'Afrique du sud qui est victime d'une baisse de de 0,5 % de son tcam du PIB par habitant voit son IDH diminué passant de 0, 655 ans 1975 à 0,653 en 2004 et son indice du niveau d'instruction est de 0, 80. Le développement dépend donc bien de la croissance. Dans un second temps l'État peut redistribuer les richesses

ont un effet normalisateur. Il faut correspondre à une apparence corporelle. Il faut faire un certain nombre d’effort surtout pour les femmes afin quel corresponde a certaine attente. A Madrid, il y a une norme pour qu’il n’y ait pas de problème au niveau de l’anorexie. La norme est au minimum à 56kg pour 1.75m soit 18 en masse corporelle. L’importance du corps a augmenté dans le 20ème siècle. Il y a une focalisation sur notre corps et notre apparence. Voir intro page 2 1er période, 1960-1980 :

Au cours des Trente Glorieuses , période de grande consommation et de plein emploi, le niveau de vie s'est considérablement amélioré et toutes les catégories de la population en ont bénéficié, notamment les plus démunies. La structure sociale peut se définir comme une répartition de la société en groupes, c'est à dire une organisation en couches ou classes en fonction de différents caractères comme l'âge, la profession, l'éducation, la religion etc... Cependant, l’apparition de vastes classes

ouvrir les yeux sur notre mode de vie dans notre pays et peut être nous faire réagir sur notre façon de vivre. Partir vivre à l’autre bout du monde peut aussi permettre de nous faire grandir, murir et ainsi, avancer dans la vie. Dans certains pays, le niveau de vie est plus bas que dans le notre, ce qui permet un confort de vie beaucoup plus avantageux pour nous. D’un autre côté, partir vivre à l’étranger peut avoir quelques inconvénients. En effet, si nous partons loin de notre famille et de nos amis