Noli me tangere

les injures verbales, physiques. Panneau vert et le trône rouge font ressortir la blancheur de la tunique. À la droite du Christ, Vierge et à la gauche, Saint Dominique. Douceur des couleurs peintes. Ils semblent indifférent. 3 plans. Le Noli me Tangere. 180X146cm. Représente un des épisodes qui suit la Passion, le Christ sort de son tombeau et croise la Madeleine qui veut le toucher, «ne me touche pas». Principe de la foi. Jardin fermé. Composition en frise. Christ fait comme des pas de danse

principe d’égalité le droit stigmatise les discriminations (sanctionné pour les contrats de travail par exemple) Droit à l’intégrité physique Principe issue de art 16 -1 Code Civil = loi bio éthique « le corps humain est inviolable » [Noli me tangere] = ne me touche pas = origine de multitude de règles protectrices de la personne (être de chair) → interdiction des contraintes sur la personne. Prolongement de ce principe = exigence du consentement art 16-3 alinea1 « il ne peut être porté atteinte

personne. S2 : L’inviolabilité du corps humain. C’est un principe, mais qui doit être bien compris, bien défini, et il subit des limite. Paragraphe 1 : Le principe. Ce principe existait déjà depuis le droit romain sous une forme latine : Noli Me Tangere. Traduction : Ne me touchez pas. Maintenant que cette maxime est traduite dans le code civil, le simple fait de porter atteinte au corps d’une personne est punissable, la faute suffit. Paragraphe 2 : Les limites. L’Art. 16-3 du code civil qui

la Bible : entre écriture et image Andrea Del Verrochio : Le baptême du Christ - Valentin de Boulogne : Le Christ et la femme adultère - Le Tintoret : La pluie de la manne - Jean-Auguste Dominique Ingres : La vierge à l’hostie Fra Angelico : Noli me tangere Dans le secret de l'antre (chambre, cellule, cabinet d'étude) Hildegarde De Bingen, Liber operum divinorum - Christine De Pizan écrivant dans sa chambre, Ms Harley 443 - Saint-Augustin dans son cabinet d’étude : Botticelli - Nostradamus :

le second est celui de l’indisponibilité du corps humain. 1 – L’inviolabilité du corps humain a) Le principe de l’inviolabilité du corps humain C’est un principe ancien car on le retrouvait déjà au travers d’un adage latin qui dit : « Noli me tangere ». Cette adage signifie simplement « Ne me touche pas ». Pourtant il n’a pas été repris en 1804 dans le code civil, mais seulement grâce aux lois de bioéthique du 29 juillet 1994. L’article 16-1 alinéa 1 du code civil dispose que « Chacun a droit

du corps humain. Cet article a une vocation plus pratique que l’article 16. Il faut étudier ce qu’il prohibe et ce qu’il autorise. Il fixe à la fois une règle de principe et une règle de droit. Le mot « inviolable » pose un interdit. L’adage Noli me tangere (= ne me touche pas qui vient de la Bible) est devenu une règle de droit au fur et à mesure que les progrès de la science ont amené à se servir du corps humain comme un instrument scientifique. Les juristes ont posé cette règle pour encadrer la

majorité simple, de lever l’anonymat ou, à la majorité des deux tiers, de transmettre le dossier au Procureur du Roi qui décidera s’il y a lieu de poursuivre le médecin (art. 8, al.3). II. — LE DROIT A L’INTÉGRITÉ PHYSIQUE § 1. — Notions – sources Noli me tangere : l’intégrité physique est inviolable sans l’accord de la personne et, parfois même, mais de plus en plus rarement, malgré celui-ci. Il en résulte que toute atteinte portée par un tiers – individu ou autorité – à l’intégrité physique d’une personne

trouvé entre les principes de liberté et de loyauté contractuelles, dès que le juge entre en lice, de nouveaux terrains d'affrontement apparaissent. D'un côté, le principe de sécurité contractuelle (pacta sunt servanda, éventuellement doublé de noli me tangere, le contrat étant, aux yeux de certains, presque aussi sacré que le corps humain), de l'autre, celui d'équilibre des prestations (voire de pérennité du contrat modifié), moins ancré dans l'esprit du droit français, mais qui présente précisément

d’assurer la protection contre le risque d’atteinte portée par l’État. Ces droits EXP sont attachés à chaque personne 3 critères, ils sont intransmissibles, insaisissables, imprescriptible. SECTION 1ÈRE : LES DROITS À L’INTEGRITÉ PHYSIQUE Noli mi tangere «  ne me touches pas ». Principe qui exige le principe t’intégrité physique, principe d’intangibilité article 16 alinéa 1 §2 du code civil ; le corps humain est inviolable et indisponible (obligation qui pèse sur son sujet de droit, les éléments

medecine… EX : jusqua 1994 le CC ne comportait aucune disposition relative a la protection du corps humain, depuis des siecles les juges qui souhaitaient proteger les individus contre les atteintes au corps humain se fondaient sur ladage suivant « noli me tangere ». Le legislateur de 1994 a été ammene a intervenir dans le CC avec les art 16 et suivants dans la mesure ou les atteintes medicales ou scientifiques au corps humain risquaient de devenir bcp plus nombreuses et pr ex il est apparu necessaires