Nom vernaculaire

1. Le schéma métrique du poème est compose de dizaines d’octosyllabes avec alternance entre rimes croisées et embrassées. 2. Avec l’expression « les pieds ici, les yeux ailleurs » (v. l. 4) le poète veut souligner que même s’il vit sur la terre, il a la capacité de voir au-delà des choses et donc il a de l’imagination, élément typique des poètes romantiques. 3. Le pronom on (vers 8) se réfère au peuple qui n’accepte pas les idées et les opinions du poète. 4. Dans la première strophe il y a beaucoup

Les figures (2) Figures par opposition: une antithèse:  figure de pensée qui établit une opposition entre deux idées opposées dont l'une met l'autre en relief. L'avarice perd tout en voulant tout gagner (Lafontaine) Une figure qui met en parallèle des mots qui désignent des réalités opposées. Elle est souvent renforcée par un parallélisme: Ex: Certains aiment la nuit comme d'autres vénèrent le jour. Un oxymore: figure qui consiste à associer deux mots (notamment un substantif et un adjectif)

[pic] Roman |On n'est pas sérieux, quand on a dix-sept ans. | |- Un beau soir, foin des bocks et de la limonade, | |Des cafés tapageurs aux lustres éclatants ! | |- On va sous les tilleuls verts de la promenade.

noble par ses valeurs et non par sa naissance. S'il est pas vertueux (rechercher à faire le bien), il est pas digne faire parti cette classe. 3)Définition du gentilhomme surprenante, différente de celle traditionnelle : n'est pas celui qui porte un nom noble mais celui qui est brave, courageux, généreux. • Conclu de manière forte et percutante : comparaison entre 2 descendance et surprenant pour un noble à l'époque, mais DL préfère la vertu, tant pis pour la naissance ==> Molière montre un prob

Support : Voltaire, extrait de Candide, chapitre 3, « Rien n’était si beau, si leste….. » Eléments d’introduction : ● C’est en janvier 1759 que paraît Candide ; Voltaire a 65 ans et vit loin des tumultes de la cour de Versailles, dans sa propriété de Ferney qu’il vient tout juste d’acheter. Néanmoins, c’est au cours de cette période de sa vie qu’il va le plus s’engager contre les injustices et les inégalités de son temps (cf : affaires Callas, Sirven, chevalier de la Barre), toujours en se servant

la fonction ou encore la position dans l’énoncé. Ainsi le verbe, le substantif, l’article et le participe sont traditionnellement définis à partir de leur nature propre. En revanche le pronom (dont la fonction est de remplacer le nom), l’adjectif (qui accompagne le nom), l’adverbe (qui accompagne le verbe), et la conjonction (qui relie les éléments) sont définis à partir de leurs fonctions. Quant à la préposition (qui se place devant le substantif), ou l’interjection (qui est interjetée dans le discours)

et paraît inutile. Sonne comme la réponse à l’extrait précédent. ZEUGMA = ATTELAGE 2) Des parasites sociaux Toujours extrait 129 et 130 Vacuité du personnage et vanité Paroles inutiles, vide, néant Mépris pour la noblesse de robe ; manière de nommer l’autre pour mieux le mépriser Très efficace après la dénonciation de la misère paysanne III. L’humanité cruelle 1) De l’exemple à l’ensemble (des procédés de généralisation) Opposition de son étonnement Petit à petit, élargissement de l’angle

monter/ grimper heureux / joyeux / content. Le synonyme d’un verbe est toujours un verbe : étudier – apprendre Le synonyme d’un nom est toujours un nom : interdiction – défense Le synonyme d’un adjectif est toujours un adjectif : ennuyeux – embêtant On appelle synonymes des mots de sens très proches, qui veulent dire la même chose. Ils ont la même nature (un nom, un adjectif, un verbe...) Exemples : immense - gigantesque - colossal (=> adjectifs) Un médecin - un docteur (=> noms) Crier

du comportement » et il est parfois difficile, pour certains d’entre eux, de distinguer la déficience mentale de la maladie mentale.Ils arrivent donc un jour dans une école « comme les autres » mais dans une classe « pas ordinaire » et reçoivent le nom d’élèves de la CLIS. Beaucoup ne connaissent pas la signification de ces initiales. Vous avez dit « intégration »... Or, le « I » fait appel à la réflexion. Le dispositif de l’intégration diffère d’une école à l’autre puisqu’il dépend de l’enseignant

l’accent sur le fonctionnement de l’entité. C’est ce fonctionnement qui fait qu’il y ait de l’interactivité, de l’interaction ; c’est un fonctionnement collectif et systémique. Ce fonctionnement est aussi appelé ORGANISATION. Les américains ont donné le nom de facteur X, dans les années 70 à cette dynamique de fonctionnement de grande qualité, à ce type de synergie. Ce facteur X est aléatoire, c’est une incertitude.