Nombre transfini

tour en criant " schnell" je ne comprenais pas ce qu'ils disaient , j’avais peur ,il pleuvait , je le savais au bruit des gouttes sur le toit du camion . Arrive a destination je vit un centaines de wagons arrivé toute les demi-heures, il y avait un nombre infini de personnes des familles complètes , des enfants qui pleuraient de peur et de famine, les allemands étaient encore entrains de cries des mots que je ne comprenais pas. Les gens montaient par centaines dans des wagons il y avais a peu prés

1.1 |Illustration 1.2 | |«Et après qu’elle fut élevée en l’air nous nous mîmes tous à genoux, |«Y a-t-il une vie plus agréable que celle d’un nombre infini de | |les mains jointes, en adorant celle-ci devant eux, et leur fîmes signe,|gens riches à qui rien ne manque?» (Dialogues de Monsieur le baron| |regardant et leur montrant le ciel, que par celle-ci était notre |de Lahontan et d’un

à bord, où y [sic] avait dans chacune cinq ou six hommes, |lorsqu’il lui énumère tous les beaux côtés de son pays : « Y a-t-il| |lesquels venaient pour dire adieu aux deux que nous avions retenus » |une vie plus agréable que celle d’un nombre infini de gens riches à| |(l.26-27), on peut voir que leur relation a changé pour le bien. |qui rien ne manque? Ils ont de beaux carrosses, de belles maisons | | |ornées

L’auteur doit mettre en avant un cadre particulier et original comme l’a fait Philippe Claudel dans son œuvre La Petite Fille de Monsieur Linh. « L’enfant est sage. C’est une fille. Elle avait six semaines lorsque Monsieur Linh est monté à bord avec un nombre infini d’autres gens semblables à lui, des hommes et des femmes qui ont tout perdu, que l’on a regroupés à la hâte et qui se sont laissé faire. » Mais l’incipit doit comporter aussi des personnes attachants pour permettre au lecteur de s’identifier

que ladite croix avait été plantée comme borne et balise pour entrer dans le havre ; et que nous y retournerions bientôt, et leur apporterions des articles de fer et autres choses » (l.20 à 22) « Y a-t-il une vie plus agréable que celle d’un nombre infini de gens riches à qui rien ne manque ? » (l.19-20) « Ils ont de beaux carrosses, de belles maisons ornées de tapisseries et de tableaux magnifiques ; de beaux jardins où se cueillent toutes sortes de fruits, des parcs où se trouvent toutes

la vie ne consiste pas en la seule résolution de nos problèmes personnels et en l’obtention de notre propre bonheur. Le but de notre vie est d’être utile aux autres, d’être bénéfique aux êtres quel que soit leur nombre. Quoi qu’il en soit, notre seule raison d’être est de libérer le nombre infini des êtres sensibles de la souffrance et de les guider vers le bonheur inégalé de l’Éveil complet. Tel est le sens de notre vie. Chacun de nous à cette responsabilité universelle d’apporter le maximum de bonheur

qui n'osent pas s'ouvrir aux autres. Alors sans connaître rien d'autrui, l'homme juge, prend des conclusions (souvent hâtives) sans jamais y repenser deux fois. C'est une chose bien difficile que de s'entendre avec tout le monde, et faire face au nombre infini de personnes que l'on croisera un jour sans jamais les connaître réellement. En somme, tout homme juge autrui le considérant premièrement par son physique, puis en apprenant à le connaître, avant de réellement pouvoir s'ouvrir à celui-ci

Entouré d'immenses tours de béton et de verre appelées gratte-ciel, plantés serrés comme des arbres dans la forêt,avec un nombre infini de fenêtres, ces batîments se distinguent de tous les autres. De même, cette magnifique Grande Arche au centre de tout et de tous; ce quartier d'affaires construit sur mesure et qui garde en lui-même le perfectionnisme d'une architecture moderne, de plus en plus creative et innovatrice. Sur l'escalier arrière de l'Arche, je vois l'Arc de Triomphe au loin, et à ma

pour qui vous allez si courageusement à la guerre, et pour la grandeur duquel vous ne refusez pas de vous offrir vous-mêmes à la mort. Ce maître n’a pourtant que deux yeux, deux mains, un corps, et rien de plus que n’a le dernier des habitants du nombre infini de nos villes. Ce qu’il a de plus, ce sont les moyens que vous lui fournissez pour vous détruire. D’où tire-t-il tous ces yeux qui vous épient, si ce n’est de vous ? Comment a-t-il tant de mains pour vous frapper, s’il ne vous les emprunte 

celui pour qui vous allez si courageusement à la guerre et pour la grandeur duquel vous ne refusez pas de vous offrir vous-mêmes à la mort. Ce maître n’a pourtant que deux yeux, deux mains, un corps, et rien de plus que n’a le dernier des habitants du nombre infini de nos villes. Ce qu’il a de plus, ce sont les moyens que vous lui fournissez pour vous détruire. D’où tire-t-il tous ces yeux qui vous surveillent, si ce n’est de vous ? Comment a-t-il tant de mains pour vous frapper, s’il ne vous les emprunte