Norbert Wiener

réciproque), totale et contextualisée, relationnelle. GENEALOGIE DES THEORIES MODERNES DE LA COMMUNICATION *Vision mécanistes : La communication repose largement sur les travaux des cybernéticiens, au premier rang desquels : Norbert Wiener. Mathématicien d’origine, Wiener définissait la cybernétique comme étant « la science du contrôle et des communications ». Les travaux de l’époque sont généralement fortement influencés par une vision de la communication comme un flux d’informations entre un

probablement une alternative aux modes actuels d’organisation politique de la société. En France par exemple, une discussion s’ouvre, à laquelle participera Norbert Wiener, à partir d’un article publié le 28 décembre 1948, dans le journal Le Monde. Son auteur, le père dominicain Dominique Dubarle, par ailleurs physicien et bon connaisseur de la pensée de Wiener, sera plus tard l’avocat de Galilée dans le procès en révision auprès du Vatican. Ce texte s’intitule « Vers la machine à gouverner - une nouvelle

réaction du destinataire par rapport à la source. C'est le présupposé de ce schéma. Le seul mode de relations qui correspond à ce schéma c'est la propagande dans le cadre de régime totalitaire, ex : nazisme et stalinisme. Un petit peu plus tard, Norbert Wiener (auteur) a repris les travaux de Shannon et Weaver et il a travaillé sur les relations entre les humains et les machines (1940). Il a repris le schéma et a rajouté le feed-back (réponse du destinataire vers la source). Le langage et la communication

l'information (Von Neumann) soit comme une machine à communiquer (Norbert Wiener). Le contexte politique et stratégique issu de la guerre froide après 1947 a contribué à la création du premier réseau informatique national américain. La cybernétique, qui a directement influencé de nombreux chercheurs, a été à la base de la "société de communication" dans les années 1940 et au début des années 1950. Par le terme "cybernétique", N. Wiener a jeté une passerelle entre le monde des sciences exactes et celui

est située à San Francisco, au milieu du XXe siècle autour et grâce à A. Bateson. Elle comprend bcp de sociologues, psychiatres, psychanalystes... un ensemble de chercheurs qui souhaitaient soigner des malades. Il s’est inspiré des travaux de Norbert Wiener. Avant on pensait en système linéaire: E => R. Pour Bateson, l’émetteur et le récepteur sont au milieu d’un orchestre, ils sont une multitude. On pense à l’environnement dans lequel sont ces deux personnes. 1. L’influence de la première cybernétique

conception des ordi modernes Claude Shannon : Père fondateur de la théorie de l'information, il introduit à l'informatique le concept de binaire, il utilise notamment l'algèbre bivalente pour décrire l'état des relais ( 1 : fermé, 2: ouvert) Norbert Wiener : Fondateur de la cybernétique, une science qui formalise la notion de feedback (rétroaction) et a des implications dans les domaines de l'ingénierie, des contrôles de système, l'informatique, la biologie, la psychologie, la philosophie et l'organisation

sociologues mais des mathématiciens, qui ont une approche tout à fait spécifique. On verra ces théories à travers deux démarches  : – La théorie mathématique avec Claude Shannon (1916-2001) et Warren Weaver (1894-1978). – La cybernétique avec Norbert Wiener Shannon était mathématicien et chercheur et travaillait dans les laboratoires BELL. Weaver a fait des études de mathématique et d’ingénierie civile. Il a été professeur de mathématique à l'université. Il va s'intéresse à la question des statistiques

l’essence même de l’homme. Il faut utiliser la technique pour nier la technophobie mais aussi bien pour contrer la technocratie. L’automatisme parfait est un mythe. Il faut lutter contre ce qui entraine attitude aliénante face à la technique. Norbert Wiener : il pensait, à partir de la cybernétique, pouvoir en déduire des façons de gouverner la société. Pouvait être pensé comme un composé de matière et de forme. Une forme est imposé à une matière ➝ schème hylémorphique. On arrive à une pensée du

systèmes, un courant conceptuel très proche a été introduit par Norbert Wiener en 1948 dans le cadre des conférences de Macy. En effet, l’émergence de la cybernétique – paradigme contemporain s’inscrivant dans la même philosophie absolutiste que la théorie des systèmes – a entrainé une émulation entre les deux aboutissant à la naissance de théories et de concepts permettant d’appréhender la complexité systémique. Complexité que Wiener constate dans un phénomène sociotechnique qu’il décrit comme une

troisième, en 1970 avec l’émergence de l’informatique et la démocratisation du numérique.   Cette dernière transformation permet à chacun d’être connecté au monde entier avec un simple ordinateur et d’être libre de travailler ou que l’on soit.   C’est Norbert Wiener qui caractérise pour la première fois cette notion de travail à la maison dans les années 50. On peut définir le télétravail comme un mode de travail où l'employé effectue son travail à distance, généralement depuis son domicile grâce aux outils