Nos Desirs Sont Ils Personnels

 Dissertation : Que nous apprennent nos désirs ? Apprendre est quelque chose que nous faisons tous les jours, que cela soit consciemment ou inconsciemment ; directement ou indirectement. Par ailleurs, l’Homme est – et a toujours été – avide de savoir, de connaissances. Dès lors, nous pourrions alors affirmer que les désirs nous apprennent des choses. Mais comment nos désirs nous apprennent-ils quelque chose ? Qu’est ce qu’ils nous enseignent ? La réponse la plus évidente serait qu’ils

tromperie, une dimension positive qu’est celle de l’idéal ? Ainsi, il s’agirait d’un absolu, inaccessible, mais pas forcément négatif. En ce sens le bonheur rejoindrait l’illusion car il correspond à un but à atteindre, une quête universelle bien que personnelle ; chacun aspire au bonheur qui est une raison de vivre, sans quoi la vie n’aurait pas un sens véritable. Donc le bonheur serait un idéal que chacun de nous va rechercher par diverses manières de sorte que nous donnions du sens à notre vie. C’est

social (d’où l’emploi du terme « programme »). L’homme civilisé s’alimente le matin, le midi et le soir, travaille le reste de la journée, dort la nuit et se repose le samedi et le dimanche ou pendant les vacances. Il ne s’agit pas d’une décision personnelle, elle émane du corps social. De plus, toutes les actions individuelles (« vivre en famille, […] rester chez soi », L.1 à 3) font l’objet de « prescriptions » et « d’obligations » (L.4 et 5) : elles sont sur le fond et sur la forme régies par

Le bonheur est la fin ultime de la vie humaine. En effet l’Homme est en perpétuelle quête du bonheur. Or si notre seule fin est la recherche du bonheur c’est qu’en tant qu’individu, notre seul but est l'assouvissement intégral des besoins et désirs d'un individu : être heureux, c’est être comblé. Le bonheur serait donc un état de plaisir total. Or il doit être distingué de la joie et du plaisir. Joies et plaisirs sont multiples, occasionnels, ponctuels. Le bonheur lui est permanent et continu

intérieur et de plus personnel en moi. En ce sens je peux dire que le désir est mien :mien au sens où il prend son origine et son émanation en moi. Le désir présente sous la forme et les caractéristiques de mon intériorité. Or en quoi mon désir est-il mien ? Comment puis-je savoir si tel ou tel désir est mien ou pas ? Un désir peut-il ne pas provenir de moi et en ce sens ne pas être mien ? Si un désir n'est pas mien, à qui peut-il bien être ? D'où viennent véritablement nos désirs ? PROPOSITION DE

cours de notre existence ? Dominique Miller : Choisir notre vie ? La psychanalyse le propose. Elle suggère de repérer les obstacles récurrents qui se dressent systématiquement devant nous à chaque fois que nous essayons d’être en accord avec nos désirs. Robert Misrahi : « Résistances », « obstacles »… La psychanalyse part du principe que nous sommes malades ! Et si nous commencions par considérer un individu qui aille bien ? Un individu qui puisse se dire : « Si je ne veux pas le faire, je peux

Ethan Jeudi 25 octobre 2012 Benillouche Philosophie Puis-je m’identifier à mes désirs ? L’idée d’indentification est souvent une idée à coupler avec l’accession à un groupe par exemple un groupe social ou encore un effet de mimétisme par rapport a un modèle, Qu’es que le désire ? Le désire est un sentiment que l’on ne contrôle pas qui est conditionner par notre environnement, nos habitude, nos mode de vie, et notre inconscient, exemple la manifestation d’un désire durant nos rêves

manque dans son existence c’est-à-dire satisfaire au maximum ses désirs. Dès qu’un désir très fort n’est pas satisfait ou ne peut être satisfait, ce sentiment de désir peut se transformer en un sentiment de souffrance, puisqu’alors l’homme ressent un sentiment de manque qu’il désire combler mais n’en est pas en mesure de le faire! Satisfaire tous ses désirs devient alors un moyen de libération : un homme qui satisfait tous ses désirs n’éprouvera aucune souffrance aucune tristesse, au contraire, il

bonheur consiste-il à ne plus rien désirer ? Cette question suppose donc que les désirs influencent le bonheur. On entend par bonheur un état heureux durable caractérisé par l’absence de trouble. Ne plus rien désirer signifierai ne ressentir aucun manque, ne plus rien souhaiter. Mais est-ce une condition au bonheur ? Nous répondrons à cette question en trois temps : premièrement nous verrons dans quelle mesure exprimer des désirs peut nuire au bonheur, puis nous nous demanderons s’il est possible d’être

servitude et même de punition, et donc considéré comme une  activité de survie opposée à d’autres activités en accord à nos désirs et sources de plaisir. Le travail est une activité désagréable en soi qui permet de se maintenir en vie pour pouvoir s’adonner à d’autres activités plus humaines et agréables, donc un simple moyen de subvenir à nos besoins en attendant de répondre à nos désirs.   Le travail est donc d’abord un moyen de subvenir à nos besoins mais n’est-il que cela ?   II. Non car: - le travail