Nos Desirs Sont Ils Personnels

date de 1910il s'agit des conférences prononcées en septembre 1909 à la Clark University (au Etats-Unis). Son auteur Sigmund Freud (1856-1939) de nationalité autrichienne est reconnu comme "le fondateur de la science psychanalytique" à titre personnel il souligna n'être pas l'unique fondateur de la psychanalyse ( héritage de Breur, Charcot...). Freud a tout d'abord suivi des études médicales et biologiques qui l'ammenèrent à ouvrir un cabinet médical. Dès lors Freud commença à s'interresser aux

proposées, chacune mettant l’accent sur un aspect particulier de la discipline. Nous pouvons définir le marketing de la manière suivante: « Le marketing est le mécanisme économique et social par le quel individu et groupe satisfont leur besoins et désirs au moyen de la création et de l’échange de produits et d’autres entités de valeur pour autrui »[1]. « Le marketing est le processus de planification de mise en application du concept du produit, de la fixation des prix, de la communication et de

richesse, amour,… ↳ Bonheur = *“un concept indéterminé, un idéal de l’imagination et non de la raison”* ↳ Production de l’imagination / bonheur conçu d’après les expériences personnelles de chacun ↳ ⌀ de loi universelle d’expérience humaine ↳ Hommes poursuivent leurs aspirations personnelles (richesse, amour,…) = ils échouent à être heureux / ⌀ satisfaction complète et définitive → Bonheur : concept empirique / varie selon les humeurs, âge, opinions des

supportable. La poésie de sa vie en vrac (en prose) prend enfin une forme structurée. Sa douce folie, n'est qu'un reflet de lui même, Jacques arrive à l'adolescence, il se cherche tout simplement, lui et ses désirs. 3. La littérature est source de multiples fantasmes, désirs. Elle a inspirée lors de son apogée de nombreux esprits éclairées, de jeunes personnes frivoles, ou bien des lecteurs avides de loisirs. C'est un plaisir solitaire que l'on peut partager par la suite. La

: une face négative qui correspond à l'absence ou la diminution de la souffrance et une face positive qui concerne la satisfaction des désirs. Le bonheur est conditionné par le plaisir (hédonisme). Le bonheur est ainsi l’absence de troubles (l'ataraxie) du corps (l'aponie) et de l'esprit (l'acédie ou l'ataraxie) qui naît spontanément de la satisfaction des désirs naturels et nécessaires, dont les deux plus importants sont, outre la sûreté et la santé (de l'âme et du corps, donc), la sagesse et l'amitié

désire ce qui me plaît, ou me plaira. A l’inverse, je ne souhaite pas ce que je sais déplaisant. Satisfait et plaisant, le désir serait ainsi une source de bien-être dès lorsqu’il se réalise, ce qui laisserait à penser que la satisfaction de tous les désirs concourt au bonheur, ou tout du moins en est une condition. Cependant, l’objet désiré est parfois inaccessible. Faut-il alors dans ce cas continuer à désirer ce qui est voué à nous échapper ? Tout entêtement ne serait-il pas générateur d’une frustration

souffrance qu’entraîne la prise de conscience de la dépossession. Il est ainsi marque de la misère de l’Homme. On peut considérer que le bonheur est l’absence totale de désirs étant donné qu’il est impossible de tous les satisfaire, ceux-ci étant illimités. C’est pour cela que les stoïciens préconisent de pulvériser tout les désirs afin d’atteindre l’ataraxie ou paix de l’âme, condition nécessaire pour connaître le bonheur. La volonté est un élément primordial dans cette quête. C’est par celle-ci

conscience immédiate que je suis et que j’existe. Elle implique un accès objectif, une suite d’observations neutres et distantes de soi par soi-même. Le Je (sujet) observe, analyse et explique le Moi ( objet) ainsi que le passé, le comportement et les désirs propres de la personne. Nous croyons nous connaître dans le cas où nous pouvons donner les causes et les motifs de nos actions. Si toute explication de notre comportement nous échappe nous n’avons qu’une connaissance partielle et mutilée de nous-mêmes

soi mais cette question est récurrente, centrale dans la philosophie platonicienne. Socrate a pour maxime « Connaît toi toi-même ». Selon lui, la connaissance de soi est donc le point de départ de toutes formes de connaissances. Il est à la quête personnelle de la vérité, c’est-à dire, il souhaite avoir une connaissance, une perception claire de soi. Nous devrions ne pas apprendre à nous connaître mais apprendre à découvrir l’être humain que nous sommes. «Connaît toi toit même » est donc une invitation

face, qui nous cache la mort telle qu’elle est, il démontre simultanément l’illusion du bonheur des hommes ayant créé la religion, afin de répondre faussement à nos désirs. C’est un bonheur imaginaire. Outre la mort, l’homme a d’autres désirs irréalisables qui l’empêchent d’accéder au bonheur. Ainsi, on constate qu’il n’y a pas que l’imaginaire qui interpelle l’homme, mais aussi les choses du réel qui l’importe