Nos Desirs Sont Ils Personnels

satisfaction des plaisirs auxquels on aspire, reste une question de chance. Nous pouvons prendre l’exemple de la beauté, c’est ce hasard de la génétique qui dès notre enfance, va nous amener à être plus ou moins heureux vis-à-vis de notre intégrité personnelle. D’un autre côté, même au cours de notre vie, le bonheur reste une question de chance, car nous pouvons prendre l’exemple d’un des facteurs communs à l’existence humaine : l’amour. C’est dans Le Banquet de Platon, que le

: Doit-on souhaiter satisfaire tous ses désirs? Voilà ce que j'ai trouvé comme idées; *si on satisfait tous ses désirs alors l'homme serait guider par ses désirs et non par sa raison. Dès lors, il deviendrait un homme "pulsionnel" (guider par ses pulsions quoi) et plus un être humain, mais un animal. Par conséquent, il n'y aurait plus de moral, de civilisation; on se retrouverait à l'état sauvage. => on ne devrait pas souhaiter satisfaire tous ses désirs puisque certains ne seront pas moraux. Mais

responsables de nos désirs? » La correction est bâtie autour de: • Thèse: nos désirs nous sont imputables • Antithèse: nos désirs nous échappent « Peut-on désirer l'impossible? » est élaborée autours de trois axes de réflexion: 1. Le désir, une recherche conduisant à la satisfaction et au plaisir 2. Le désir, un acte reflétant l'orgueil et l'imagination de l'Homme 3. Désirer l'impossible, un but vain car éloignant l'Homme du bonheur véritable « Faut-il vaincre ses désirs plutôt que

interpersonnelles du patient. Le Moi :C'est la partie de votre esprit qui prend des décisions et gère votre comportement au quotidien. Il essaie de faire en sorte que ce que vous faites soit réaliste et socialement acceptable. C'est comme votre gestionnaire personnel. Le surmoi :Imaginez-le comme une petite voix à l'intérieur de votre tête qui vous dit ce qui est bien et mal selon les règles de la société et les valeurs que vous avez apprises de vos parents et d'autres personnes importantes. C'est comme votre

actes. La conceptualisation de l'existence humaine a donc pour but de nous aider à exister vraiment et à affronter le décalage entre nos désirs et le réel. Apprendre à vivre tient compte aussi de la maitrise de soi et de nos désirs. La philosophie nous permet de comprendre l'existence humaine et de nous poser les bonnes questions pour effectuer un changement personnel si nécessaire. L'épicurisme par exemple est une doctrine philosophique qui permet d'arriver à un état de bonheur constant, une sérénité

évidemment à être heureux. Chacun recherche donc à sa façon, et sans même se préoccuper des autres, son propre bonheur, lequel est donc original, inconscient, voire même unique. Dans ce cas, le bonheur serait bien l'affaire de chacun, un projet personnel qui ne regarde personne d'autre. Être agité signifie en effet être en action, agir, rechercher activement son bonheur et ne pas seulement l'espérer. Cependant, en raisonnant de la sorte, on fait comme si les hommes vivaient seuls. Or la vie en société

être amené à penser que l’absence de désir signifierait absence de souffrance. Mais à en croire l’opinion commune, le bonheur, c’est la satisfaction de tous nos désirs. La société flatte d’ailleurs la recherche de plaisir, et encourage les individus à vivre de leurs désirs (ex : à travers la publicité) Pourtant, la multiplication des désirs engendre insatisfaction et ennui. L’homme serait alors fatigué de désirer tout en restant mécontent. Faut-il libérer le désir ? Ou se libérer du désir, si ce

contrainte. » ns obéissons à la loi non pas par amour de la justice mais par contrainte de la sanction. Personne n’a l’âme assez pure pour ne pas être tenté par le pouvoir. La justice n’est pas un bien personnel, c’est un bien collectif. Gorgias => Le bonheur pose sur la capacité de satisfaire tt ses désirs => les tyrans st les hommes les plus heureux. 2 – Pour Platon la justice est le plus grand bien Même si les hommes injustices ne st pas touchés par la sanction, ils sont punies par la vie qu’ils mènent

complet, stable et durable. Un sentiment de joie ou un plaisir éphémère n’est pas le bonheur. Le bonheur défini un état de plénitude. Il ne suffit pas de ressentir un bref sentiment fort pour être heureux .Être heureux,ce serait réaliser tous ses désirs, ou du moins en réaliser les plus importants . L’Homme lui est un animal conscient « une substance pensante » chez Descartes. C’est avec ces définitions que nous nous demanderons si l’homme est compatible avec le bonheur. Pour y répondre nous verrons

lue, de formes différentes que prend ce pouvoir. Justifiez vos choix. Une des formes de pouvoirs illustrée est le pouvoir du désir. Dans la pièce, le personnage abuse de son pouvoir pour combler ses désirs. Toutefois, s’il est poussé à commettre de tels actes pour le seul besoin de combler son désirs, c’est que celui ci détient un certain pouvoir sur lui. Ce désir le pousse jusqu’a délaisser toute morale en prenant avantage de la volonté d’apprendre des jeunes filles naïves et un peu bête qui viennent