Notion De Choses

d'ébaucher par des définitions pratiques. La théorie de la réincarnation est une idée religieuse qui était très présente en Inde, berceau du bouddhisme. Le bouddhisme moderne ne croit en principe pas en la réincarnation stricto-sensu mais utilise cette notion sous forme de parabole. Cette parabole dit qu'un individu est condamné à mourir et à revenir sur Terre le nombre de fois qu'il faudra jusqu'à ce qu'il ait atteint le niveau spirituel nécessaire pour s'extraire de la vie terrestre. Chaque fois qu'il

la morale. Pour lui, le droit et la morale sont deux valeurs opposées, distinctes. Le regard que porte André Comte Sponville sur les notions de droit et morale n’est pas partagé par tous les auteurs, par tous les juristes. En effet, Paul Roubier, juriste et doyen à la Faculté de droit et des sciences économiques de Lyon, va porter un autre regard sur ces deux notions : « La morale rôde autour du droit ». Paul Roubier nous indique dans cette citation que le droit et la morale restent proches malgré

Cours
de
Philosophie
du
14/10/10
 
 LA
VERITE
 
 
 Textes
étudiés
en
lien
avec
cette
notion
 et
qui
figureront
sur
la
liste
des
textes
présentés,
le
cas
échéant,
à
l’oral
du
Baccalauréat
:
 
 SPINOZA
«
Pensées
métaphysiques
»
p.
87
 PLATON
«
La
République
»
Livre
VII
pp.
107
à
109
 DESCARTES
«
Discours
de
la
méthode
»
p.
93
 DESCARTES
«
Méditations
métaphysiques
»
(texte
intégré
à
la
leçon)
 
 
 La
notion
de
VERITE
 est
étudiée
en
lien
avec
celles
de
RAISON,
de
CROYANCE
et
d’EXPERIENCE.
 
 


Les théories se sont succédé sur la notion d’art et d’artiste, et on verra que cette notion a évolué a travers les époques. Pour sa part, PLATON, au IVème siècle avant JC, affirmait dans « le sophiste» que : « l’art digne de ce nom est imitation ». Alors qu’au 20eme siècle, le Peintre et professeur Paul KLEE affirme dans «la théorie de l’art moderne» qu’on ne peut séparer l’imagination et la contemplation de l’activité créatrice. Dans le 1er texte, PLATON divise l’art en deux formes : - La première

Si l'on évoque la genèse du principal général de responsabilité du fait des choses, c'est que ce principe n'a pas toujours existé, et qu'il n'était pas dans les dispositions du code civil de 1804. Aux yeux du codificateur, il n'y avait que 2 cas particuliers pour cette responsabilité : la responsabilité du propriétaire du fait de la ruine de son bâtiment, et d'autre part la responsabilité du fait des animaux. S'agissant de la responsabilité du fait des animaux, le propriétaire d'un animal, ou celui

entre les personnes dans un état déterminé et dont l’inobservation est sanctionné par la contrainte Droit subjectif : faculté reconnue à une personne d’accomplir tel ou tel acte juridique en considération de la personne titulaire de ce droit La notion d’obligation : 2 grandes catégories d’obligation : Les obligations contractuelles : obligations voulues par les personnes Les obligation délictuelles et quasi-délictuelles : issues d’un fait juridique or de la volonté Toutes ces obligations

de ces pensées. De manière générale, on pencherait plus vers la certitude que les préjugés exercent une influence néfaste sur la pensée, il faudrait alors s'en aliéner. De surcroît, la question « peut-on se libérer de nos préjugés ? » renvoie à la notion de liberté. La liberté étant le pouvoir d'agir, décider sans contrainte et d'être autonome. Les préjugés étant ici une prison psychologique. A l'inverse, le sujet comporte la formulation interrogative « Peut-on », remettant ainsi en cause la nuisibilité

majeure, fait de la victime, fait du tiers. II) La responsabilité du fait des choses a)Le régime général du fait des choses Ce régime est posé par l’article 13184 alinéa 1. C’est également un régime de responsabilité sans faute. Pour mettre en œuvre ce régime, il faut qu’il y ait une chose sur laquelle une personne exerce un pouvoir de garde et que cette chose ait causé un dommage à Autrui. La notion de chose La notion de chose a été adopté de manière très large par la jurisprudence : il peut s’agir

LE DROIT & LA JUSTICE I) LE DROIT Une notion d'honnêteté derrière le droit (un homme "droit"). Ce qui est droit s'oppose à ce qui est tordu --> honnêteté, rectiligne, équilibré. Ces valeurs sous-jacentes à la notion générale de droit, on les retrouve derrière la notion d'état (=monopole de la violence légitime) --> pourquoi légitime ? ==> CAR conforme au droit. Si ce qui fonde le droit relève de la nature, ou au contraire est purement conventionnel ? (droit naturel) -> rapport entre

droit de propriété est un droit essentiel D’autre part, le droit des biens traite de mécanisme juridique : propriété des immeubles, des meubles, copropriété, de l’usufruit Introduction Chapitre préliminaire : La notion de bien. Section 1 : Les premières vues sur la notion de bien La distinction entre les personne et les biens est certainement une des plus importantes distinctions juridique .Cette distinction peut être qualifié de hiérarchie construite par le droit o sommet de laquelle