Notions Abstraites Et Morales

des biens et des obligations d'une personne , envisagé comme une universalité de droit, c'est à dire comme une masse mouvante dont l'actif et le passif ne peuvent être dissociés ». Définition, Lexiques des termes juridique, Dalloz. C'est une notion abstraite, il faut voir le patrimoine comme une sorte de contenant où on va retrouver d'une part l'actif de la personne, les « biens et droits ». d'autre part le passif avec les charges sur cette personne, autrement dit les dettes. Théorie du patrimoine

les processus naturels, à les transformer pour les mettre au service de l’homme (i. e, cf. la définition de la notion de travail). Lien entre les deux notions : – Le travail est une activité de transformation de la nature, la technique désigne l’ensemble des moyens mis en œuvre pour réaliser – d’une manière plus efficace et sans doute moins contraignante – cette activité. Les deux notions sont donc difficilement dissociables. Peut-on parler du travail de certains animaux (autres que l’homme) ? Sans

et aux contextes, elle peut donc évoluer. Cf : comité consultatif de bioéthique en France.« Morale » ↦ prescrit des impératifs inconditionnels (absolus et sans exception) ↳ interdiction, autorisation, permission↦ latin « mores » = les mœurs, les habitudes liées à un groupe, une sociétéLa conscience morale est liée soit à des croyances, convictions, à la raisonIDENTITE (point de vue philo, éthique, morale) exige que chaque être humain soit considéré comme un sujet conscient de lui-même (actes, paroles

point de consentement valable s’il est extorqué par la violence ». On n’a pas de définition légale de la violence. La définition doctrinale est la suivante : contrainte exercée sur un contractant en vu d’obtenir de lui un consentement forcé. 1/ La notion de violence La nature juridique de la violence, on se retrouve dans la même configuration que pour le dol, la violence à une double nature. Comme pour le dol elle est à la fois un vice du consentement et un délit civil. Le délit en lui même est la

son interprétation par le juriste, n’est pas grand-chose. L’objet de ce cours c’est de présenter la théorie générale du droit en général, c’est-à-dire au de-là de ses matières particulières (droit pénal, droit de la famille). Quelles sont les notions fondamentales que l’on va retrouver ds toutes les branches du droit ? Il faut partir d’une discipline particulière à partir de laquelle on va présenter la théorie générale : c’est le droit civil. On va s’appuyer sur le droit civil comme modèle pour

dans un contexte précis Toute la philosophie est traversée par la discussion la possibilité ou non de reconnaître un absolu central (csce, esprit, dieu) auquel tout le reste serait relatif Distinction conceptuelle : abstrait / concret Usages courants : • abstrait (péjorative) : propos vague, général, peu compréhensible et éloigné de la réalité • concret : propos, gestes, dont le lien avec la réalité est immédiatement perceptible. ( C’est autour du rapport à la réalité que se jouent

ibi jus" (Là où il y a société, il y a le droit ) La finalité 1ère du droit est de prévoir le déroulement paisible d'une vie collective par la production de certaine règle. Les philosophes des Lumières ont tenté de décrire des sociétés sans notions de droits. Ces sociétés se caractériserait par une domination par la force physique ou règnerait une totale insécurité où le pouvoir serait basé sur la force d'autrui. Rousseau, dans son essai "le contrat social" , a prouvé qu'une société sans

théories positivistes abstraites La théorie positiviste abstraite : ( ou idéaliste) elle ne prétend pas décrire le droit tel qu'il existe matériellement elle ne dit pas comment une règle de droit est née ou a disparu, elle a pour objet la construction d'un modèle pur du droit. On s'intéresse au droit indépendamment de tout phénomène politique, social... Hans Kelsen (inventeur) : le droit se ramène a un système de règles, de normes qui ne sont pas comme les règles morales un impératif catégorique

aux respect de droits correspondant a la culture démocratique moderne.Par ailleurs, sur un point de vue plus philosophique, RAWLS tente de faire de la justice la vertu première de la société. Il ne veut pas rompre de façon radicale avec les valeur morale et philosophique du libéralisme anglo-saxon, mais il veut faire coïncider liberté et égalité dans une théorie de la justice et montrer comment elle peut-être efficace dans le l'organisation d'une démocratie libérale. Pour bien comprendre cette théorie

du bonheur au contraire, il ne s'y oppose pas mais dit qu'il n'est pas possible de suivre la loi morale tout en recherchant son bonheur. Pour lui il est important de travailler à son bonheur mais il ne faut pas le confondre avec la morale car se sont deux choses distinctes. La morale est donnée par la raison, nous ne pouvons pas être heureux à n'importe quel prix sans ce heurter à un mur de morale. Kant dis bien qu'il est impossible de faire un liste des choses qui nous rendraient heureux jusqu’à