Tout simplifier
La règle impérative a parfois une portée générale, parfois elle s'applique à un individu...
suite du chapitre 2
Section : 1 les théories positivistes concrètes
positivisme sociologique : l'État n'est pas la source du Droit. Cette naissance du droit se rattache à l'idée dune conscience collective (et non individuelle). D'autres rejettent la fiction qui consiste à croire en une conscience collective, ils constatent simplement que les hommes sont interdépendants les uns des autres, ils sont contraints de vivre ensemble et ce lien serait la source du droit (car ils ont besoin de règles).
Section 2 : les théories positivistes abstraites
La théorie positiviste abstraite : ( ou idéaliste) elle ne prétend pas décrire le droit tel qu'il existe matériellement elle ne dit pas comment une règle de droit est née ou a disparu, elle a pour objet la construction d'un modèle pur du droit. On s'intéresse au droit indépendamment de tout phénomène politique, social... Hans Kelsen (inventeur) : le droit se ramène a un système de règles, de normes qui ne sont pas comme les règles morales un impératif catégorique mais un impératif hypothétique disant comment on doit se conduire si on veut éviter la sanction. Ces normes sont organisées en un système cohérent et hiérarchisé qui repose sur le concept de validité. Chaque norme relevant du système pour être valide doit être conforme a la norme qui lui est supérieure.
On voit alors le droit comme une pyramide et au sommet on aurait une norme supérieure puis des normes qui s'accordent avec la première en dessous … La norme fondamentale c'est pour nous la constitution. En dessous il y aurait les lois prises par le Parlement. Elles existent si elles sont conformes à la constitution. Les règlements doivent être conformes au normes supérieures (soit à la loi). La théorie positiviste abstraite ne nous renseigne pas sur cette norme suprême (constitution)
Il faut donc bien recourir à des éléments extérieurs