Notions De Bientraitance

lui procure un bien être psychologique et physique La bientraitance s'inscrit dans une démarche éthique qui consiste à tout moment à rechercher la bonne décision, mettre en place des actions "justes" et/ou "bonnes" qui se déclinent en autant de pratiques professionnelles, reflet de la compétence, tenant compte de la singularité de la personne, du contexte ainsi que des contraintes de la situation. D'après l'HAS, la posture de bientraitance est définie par l’ANESM (Agence nationale d'évaluation

lui-même.  » « Personne ne se lasse d'être aidé. L'aide est un acte conforme à la nature. Ne te lasse jamais d'en recevoir ni d'en apporter.  » Marc-Aurèle Partie1 La bientraitance commence par une bonne communication entre les encadrants Les pouvoirs publics mettent aujourd’hui l’accent sur les obligations de bientraitance en institution et sur la nécessité de prévenir les risques de maltraitance. Ces risques sont de plusieurs ordres : elles vont de la violence active (toutes formes de sévices)

LA MALTRAITANCE ET LA BIENTRAITANCE « je fais le mal que je ne voudrais pas et pas le bien que je voudrais » (St PAUL) « il faut que celui qui dispose du pouvoir réfléchisse et agisse sur lui même pour ne pas en abuser » (MONTESQUIEU) « agis de telle sorte que tu traites l'humanité aussi bien au regard de ta personne que celle de l'autre, toujours en même temps comme une fin et jamais comme un moyen » (KANT E.). Sujet délicat parce que la maltraitance fait résonance avec le bien et le mal

essentiels aux professions soignantes, leur présentation, pour le moins disparate donne le sentiment d’une liste de théories qui s’additionnent, et qu’il est difficile de relier entre elles et avec la pratique. Les encadrés, faisant référence à des notions de psychologie, sociologie ou de communication semblent souvent « plaquées » et sans lien direct avec la situation présentée. De plus, pour chaque situation, l’auteur énumère des solutions qui s’apparentent à des « recettes » qu’il est difficile

AVEC LE PATIENT 1. Créer une relation de confiance 2. Accompagner le patient en grande détresse 3. Communiquer avec le patient âgé dépendant 4. Prévenir et apaiser l’agressivité du patient 5. La famille, partenaire des soins 6. Communication et bientraitance LA FAÇON DE COMMUNIQUER EST AUSSI IMPORTANTE QUE LE MESSAGE VERBAL Lorsqu’un soignant est confronté à une communication délicate avec un patient, il s’interroge : que dois-je lui dire ? En fait, il serait intéressant de formuler la question :

promotion de la Bientraitance.-Développer des modes de communication entre services techniques et services éducatifs et les différents sites.-Optimiser la gestion des emplois et des compétences.- Favoriser la formation continue.- Améliorer le bâti, les condition d’accueil, garantir l’accessibilité et la sécurité en rénovant régulièrement les bàtiments et en faisant participer les usagers à l’amélioration de leur cadre de vie.Et pour finir , je détaillerais les fondamentaux de la Bientraitance .La bientraitance

"en structure", le texte en italique ne concerne que l'option "à domicile", le reste du programme est commun aux 2 options. 1 Personne aux différentes étapes de la vie et les réponses institutionnelles 1.1 Politique de santé publique 1.1.1 Notions de démographie et de santé publique 1.1.2 Santé dans le monde Indicateurs et déterminants de santé d'une population 1.1.3 Organisation sanitaire et sociale en France 1.1.4 Promotion de la santé en faveur des élèves 1.1.5 Différents systèmes

Fait et manière de recevoir la personne et de sceller la relation d’accompagnement. « Projet personnalisé » Sources Une notion encore peu courante dans le secteur médico-social dédié aux personnes âgées : Cf. Annexe I de l’arrêté du 26 avril 1999, et son arrêté modificatif du 13 août 2004. Dans les lois et règlements relatifs aux personnes âgées, la notion de « projet de vie » est employée dans une logique institutionnelle, au sens de projet d’établissement, projet d’animation ou

notamment dans les soins techniques ou encore dans la médication. Mais est-ce une excuse pour déconsidérer ou encore dépersonnaliser les patients, et de manière générale, de « banaliser l’humain dans le système de soins » ? I] Banalisation et Bientraitance 1) Prise de conscience et réflexions Walter Hesbeen témoigne d’une histoire qu’il l’a profondément marquée. Durant ses débuts en tant qu’étudiant, « une dame âgée était allongée sur un brancard […] elle était seule […] et attendait qu’on vienne

pouvons citer le plan Bien vieillir, le plan de développement de la bientraitance et du renforcement de la lutte contre la maltraitance, la création de l’Agence Nationale de l’Evaluation et de la qualité des Etablissements et des Services sociaux et Médico-sociaux, le plan Alzheimer. Tous ces plans sont mis en place afin de mieux prendre en charge les personnes âgées démentes et ainsi de développer une culture de la bientraitance et de s’assurer que celle-ci soit bien respecter par les diverses institutions