Notre-Dame-de-la-Salette

– Ce matin, vers trois heures, les habitants du quartier Saint-Roch furent réveillés par une suite de cris effrayants, qui semblaient – 43 – venir du quatrième étage d’une maison de la rue Morgue, que l’on savait occupée en totalité par une dame l’Espanaye et sa fille, Mlle Camille l’Espanaye. Après quelques retards causés par des efforts infructueux pour se faire ouvrir à l’amiable, la grande porte fut forcée avec une pince, et huit ou dix voisins entrèrent, accompagnés de deux gendarmes

majeur et ils ont libéré la poésie jusqu’à inventer le poème en prose. Les cénacles : - de Charles Nodier dans la bibliothèque « Arsenal » - des frères Deschamps (le magazine « La Muse française ») - de V. Hugo dans sa pièce dans la rue Notre-Dame-des-Champs Les manifestes du romantisme : - Racine et Shakespeare de Stendhal, en deux parties (1823-1825), explique la nécessité du changement et du développement de l’art suivant le temps et les mœurs. L’art romantique, pour Stendhal, est celui

plein d'énergie, de verve et de bons sentiments, qui se plaît à provoquer et flambe comme étoupe dans des joutes oratoires du plus bel aloi, qui excelle dans le domaine de la satire et est incapable de supporter le gros acteur et la bêtise en général. Dame Nature l'a affublé d'un appendice nasal des plus proéminents et, comme il est susceptible sur ce point, il provoque en duel qui y fait allusion. Aussi collectionne-t-il les ennemis comme d'autres les décorations et aime-t-il à se battre seul contre

le cas de Mlle Fabienne l’axe de travail c’est bien sûr basé sur sa première demande, c'est-à-dire une demande de logement. Cependant nous avons questionné les solutions possibles pour tenter d’apporter une réponse au problème psychiatrique de cette dame. Refusant toute prise en charge psychiatrique, nous l’avons gardée pendant une semaine sur un lit d’urgence du Samu Social afin d’accrocher avec elle une relation de confiance. Ce lien de confiance établi, nous avons pu créer un suivi médical et

et le diable y complote de sombres desseins afin de surprendre ses victimes. Comme l'indique Brown, le noir est la couleur qui évoque le Mal, non en raison du sinistre Domaine des Enfers, mais "à cause de l'association d'idées entre le noir et la saleté (…)." (4) Cet aspect sordide serait le présage de la bassesse des habitants de l'endroit, et cet abri Ŕ censé protéger des intempéries du temps et de la vie Ŕ s'avère être le repaire du Mal, balayé par un froid de caveau, route de l'enfer: "(…) on

du produit et de la saleté sont très différents dans l'un ou l'autre cas. Par exemple, les eaux de Javel ont toujours été senties comme une sorte de feu liquide dont l'action doit être soigneusement mesurée, faute de quoi l'objet lui-même est atteint, « brûlé » ; la légende implicite de ce genre de produit repose sur l'idée d'une modification violente, abrasive de la matière : les répondants sont d'ordre chimique ou mutilant: le produit Mythologies 37 « tue » la saleté. Au contraire, les poudres

amoureuseStrophe 7Alexandrins et tétramètres réguliersIdée agréables reconfortUn soir sans lune Vers une obscurité totaleEndormir la douleurUn lit hasardeuxIdée d’une relation sans lendemain, note pessimisteConclusion : Baudelaire reprend le motif du paysage état dame, que de nombreux poètes romantiques ont développé avant lui et offre à son lecteur une sorte de tableau intérieur. Maisl’originalité de son sonnet tient à ce que le poète évoque les saisons moroses pour célébrer et non pas pour s’en plaindre. En effet

falot. Une main vigilante, aurait-on dit, tâtonnait dans la tempête, allumait un réverbère qui s’éteignait aussitôt, fixait une ampoule qui ne produisait qu’une flamme brève et, jamais lasse, essayait toujours de faire jaillir la clarté. Rue Notre-Dame, les plus vives enseignes ne jetaient sur la chaussée qu’une lumière douteuse ; du trottoir, en face du cinéma, on n’apercevait qu’un vague rougeoiment [sic] comme la lueur lointaine d’un incendie.» Des images, comparaisons et métaphores, étoffent

qu’elle… m’a demandé si je voulais des vieux habits », je dis, et ma voix sort comme du fond d’un puits. J’ai déjà du gras jusqu’aux épaules. Ça pue le dessous de bras là-dedans. Je laisse la sueur me couler du nez et chaque fois que je gratte j’ai des saletés plein la figure. Il y a pas de pire endroit au monde que dans un four. Quand on y est, c’est pour cuire ou pour nettoyer. C’est sûr que cette nuit je vais encore rêver que je suis coincée là-dedans et que quelqu’un ouvre le gaz. Mais je laisse ma

embobiné Jacque et c’est très dommage. J. pleure pour un rien, elle est chichiteuse et fait tout un cinéma. Mademoiselle J. veut toujours avoir raison. Elle est très riche et a une armoire pleine de robes vraiment mignonnes, mais qui font beaucoup trop dame. Mademoiselle se croit très belle, mais c’est tout le contraire. J. et moi, on ne peut pas se voir. Ilse Wagner est une fille marrante et sympa, mais elle est très chipoteuse et peut se plaindre pendant des heures, Ilse m’aime plutôt bien, elle est