Notre-Dame-de-la-Salette

utiliser trois surligneurs (Tuvache, Vallin, D’Hubières) Famille Tuvache l.14, vie misérable ; quatre enfants de 6 ans à 15 mois l.4, indistincts, animalisés ; trois filles un garçon l.14-16 ; le dernier est Charlot l.66 + « cheveux blonds frisés », saleté l.41 l.156 « leur fils aîné partit au service ; le second mourut » incohérence du texte, les deux aînés ne pouvaient être que des filles. + l.158 « deux sœurs cadettes » les Tuvache ont eu encore deux filles après départ de Jean. Famille Vallin

Emprisonné, le jeune Carbonaro la rejettera lorsqu'il apprendra qu'elle a trahi les siens. Deuxièmement elles peuvent se terminer à cause d’un choix à faire. Par exemple dans le livre Vanina Vanini le jeune carbonaro doit choisir entre son pays et sa dame ou encore dans le livre Bel-ami ou Duroy doit choisir entre sa carrière et les femmes. 3) Par ailleurs on trouve dans le réalisme des mariages d’intérêts et non d’amour. Les hommes ne se marie que par intérêt pour leur titre, leur argents ou encore

blond châtain vaguement roussi ». Le narrateur joue avec cet aspect un peu inquiétant de ce « mauvais sujet » un peu canaille qui vole là où il peut « un peu d'amour ». Cette allusion , associée à la mention du bois de Boulogne et de la rue Notre-Dame-de-Lorette connue pour ses courtisanes, suggère des fréquentations peu avouables dont il négocie la gratuité (« volait ») « grâce à sa belle mine ». Enfin, avec l'emploi du discours indirect libre, le lecteur est pris à témoin de ce que pense et ressent

surgir comme un éclair sous forme d’affect pénible et de contrainte. Ernst affirme avoir été le meilleur ami de son père à quelques domaines près. Le patient fait lui-même la relation entre la bonne entente avec son père et son éloignement à cause de la dame qu’il aimait, mais il ne pensait pas que c’était pour des « souhaits » sensuels. Freud fait remarquer qu’il vient d’apporter lui-même la réponse. C’est le troisième grand caractère de l’inconscient : La source d’où l’hostilité tire son indestructibilité

brutaliste, CIAM ... Activités : Architecture, urbanisme, design, écritures, conférences, dessins, peinture, sculpture, lithographie, émaillage sur tôle ... Réalisations : Villa Savoye, Poissy (1929-1931) Cité radieuse, Marseille (1945-1952) Chapelle Notre-Dame-du-Haut, Ronchamp (1950-1955) Couvent de la Tourette, Eveux-sur-Abresle (1956-1960) Capitole de Chandigarh, Pendjab (Inde) Cité radieuse, Briey (1959-1960) Publications : Vers une architecture (1923), Urbanisme (1924), L’art décoratif aujourd’hui

des déjeuners, un franc vingt centimes de boni, ce qui représentait encore deux collations au pain et au saucisson, plus deux bocks sur le boulevard. C'était là sa grande dépense et son grand plaisir des nuits; et il se mit à descendre la rue Notre Dame de Lorette. L’Incipit est l’introduction, le 1er chapitre. Ce passage dresse le portrait du personnage de Georges Duroy. I La présentation de G.Duroy A)      Portrait physique Joli garçon, moustache (dandysme, virilité). Portrait en mouvement car

serviette qu’elle utilise sur laquelle elle pose le chien lors des visites, surtout si le patient veut porter le chien. Par rapport à son pelage le fait que ce soit un chien à poil ras est très bénéfique car il est plus difficile d’y transporter des saletés de l’extérieur. Mais sa maitresse fait attention entre chaque visite à se laver les mains avec du produit désinfectant et à caresser la chienne tout de suite après pour prendre encore plus de précautions. Il doit aussi y avoir un suivi vétérinaire

qu’aujourd’hui  et  donc  étaient   davantage  victimes  du   problème  des   retraites)   qui  n’étaient   pas   suffisantes   pour   subvenir   à   leurs   besoins   (photo   d’une   vieille   dame   assise   sur   un   banc   agrippée  à  son  sac  à  main  et  sa  canne  couplé  à  «  Que  peut-­‐elle  faire  avec  450f  par  mois  ?»).     A  la  lecture

mangeant le pain et laisse mourir Pierrot. ·         Quels sont les personnages principaux qui sont présentés, dès le début de la nouvelle, par le narrateur ? Il s’agit de Mme Lefèvre et de Rose.Rose est la servante de Mme Lefèvre « Mme Lefèvre était une dame de campagne, une veuve, une de ces demi-paysannes à rubans et à chapeaux à falbalas, de ces personnes qui parlent avec des cuirs, prennent en public des airs grandioses, et cachent une âme de brute prétentieuse sous des dehors comiques et chamarrés

cultivés. Elle comprend peu à peu que les prières aux Saints, ou la consultation des horoscopes et des urines ne sont pas suffisants pour soigner les gens. Il y a d’autres moyens comme l’utilisation des mains, de la parole… Elle découvre la misère, la saleté, l'insalubrité mais apprend au fur et à mesure l'humanité de ces gens. Penser autrement que les valeurs religieuses que lui a inculquées le père Leufredus prend du temps.  Les personnages secondaires Peg la rousse : Peg a les cheveux de couleur