Notre-Dame-de-la-Salette

afin d’épargner mon dos, j’ai haussé le niveau du lit grâce à son système de télécommande électronique. Le planning du service m’avait indiqué la veille que le changement intégral n’était pas pour ce jour-ci, et je ne distinguais pas de traces de saletés sur les draps, la couette ou la taie : rien n’était donc à changer. Une fois le lit soigneusement fait, j’ai placé la seconde protection sous l’oreiller selon les habitudes du service. Elle serait utilisée pour le change de l’après-midi par l’équipe

et la course commence, les énergies sont décuplées, la bousculade est telle, que, tout en suant uniquement pour leur plaisir, les gens arrivent parfois à faire des enfants, je veux dire des choses vivantes, grandes et belles... Ah ! dame ! il y a beaucoup de saletés inutiles, mais certainement le monde finirait sans elles. » (L'Argent, ch. VIII). b) l'argent est emblématique du désir humain. ex : Le désarroi d’Harpagon lorsqu'il a été volé signale cette part constitutive de l'argent dans

triste. Sa rage dans la fameuse scène doit être jouée à l’extrême, l’explosion de toute cette haine conservée en elle. Tous les domestiques seront habillés de vieux vêtements, usés et de couleurs fades. Leur maquillage soulignera leurs cernes et leur saleté. Ils contrasteront avec les habitants de la maison, vêtu de couleurs flamboyantes, élégants et bien coiffés. L’Auteur, au début de la pièce, dit ne pas aimer les décors trop compliqués. Pour ne pas créer de paradoxe avec le texte, je vais en rester

les Vallin, habitaient dans deux pauvres chaumières mitoyennes. Ils vivaient misérablement jusqu’au jour où un couple, Mr et Mme d’Hubières, passa près de chez eux. Ces derniers ne pouvaient pas avoir d’enfant et en étaient très malheureux. La dame prit l’habitude de venir rendre visite aux enfants et voulut adopter, moyennant finances, le petit Pierre, le plus jeune des Tuvache. La mère refusa violemment une proposition aussi alléchante qu’inhumaine à ses yeux. Le couple proposa alors le

lugubre + période d'essor du fantastique => conséquences : un décor, une athmosphère, un période de l'oeuvre propice à l'évocation de la thématique du monstre. Pour étudier la monstruosité dans Notre Dame de Paris, nous nous sommes posé plusieurs questions : Quels types de monstres y a t-il dans Notre-Dame de Paris ? Dans quels contextes peut-on les replacer, celui de l'oeuvre ou celui de l'histoire ? Quel est le véritable monstre dans ce roman ? Comment Hugo se sert-il de ces monstres ? Etc. Pbtiq

gratuitement les pauvres et les indigents. Il a beaucoup aimé son roi François Ier et il l’a servit par l’intermédiaire des du Bellay. Mais cette dévotion n’est rien à côté de celle qu’il porte à Marguerite de Navarre, sœur de François Ier, qu’il surnomme dame à la licorne. Il ne la rencontra jamais mais elle restera sa référence féminine. Rabelais passa une partie de sa vie à fuir afin d’échapper au bucher et à l’inquisition. Au milieu du XVIème siècle, François Ier, défenseur des humanistes, meurt, suivit

en soirée, comme on irait au cinéma : « le soir, Marie est venue me chercher et m’a demandé si je voulais… ».· C’est Marie, la femme, qui passe « chercher » l’homme pour la soirée, alors que, d’habitude, c’est l’homme qui, par galanterie, conduit la dame· C’est surtout Marie, la femme, qui demande Meursault, l’homme, en mariage · C’est Marie qui mène le dialogue : elle pose les questions (relever les verbes ) et Meursault répond (relever les verbes

apercevoir une saleté et n’eut pas le courage de satisfaire sa curiosité » « Elle regarda le divan, éprouva un nouvel embarras » Les hommes se partagent une même femme, les femmes, un même homme, et en sont parfaitement conscient, la dimension sentimentale de l’amour est remplacé par la dimension physique :(p 261) «Maxime lui dit à l’oreille en lui montrant la dame blonde : « Elle n’est pas mal, n’est ce pas ? Je veux la faire pour ce soir. » Puis plus tard dans le récit : « Quand la dame blonde prit

fois encore le champ lexical de la souffrance approprié au registre du tragique. Quand Germinie prend la parole les auteurs on utiliser des interpellations pour nous faire ressentir la fatigue et la souffrance qu’éprouve Germinie. « je suis…rompue…Dame ! j’ai eu a courir, allez, pour les trouver…Je vais me coucher…Une autre fois » Germinie est incapable de faire une phrase complète sans faire une pause pour reprendre son souffle. Elle est tellement affaiblie par ces huit jours que parler est devenu

vingt francs chez le notaire ; et ils étaient fâchés avec leurs voisins parce que la mère Tuvache les agonisait d’ignominies, répétant sans cesse de porte en porte qu’il fallait être dénaturé pour vendre son en- fant, que c’était une horreur, une saleté, une corromperie. Et parfois elle prenait en ses bras son Charlot avec ostenta- tion, lui criant, comme s’il eût compris : – J’t’ai pas vendu, mé, j’t’ai pas vendu, mon p’tiot. J’vends pas m’s éfants, mé. J’sieus pas riche, mais vends pas m’s éfants