Nous sommes la nuit

XXVI.  Les malheureux LIVRE SIXIÈME  AU BORD DE L’INFINI I.  Le pont II.  Ibo III. IV. V.  Croire, mais pas en nous VI.  Pleurs dans la nuit VII. VIII.  Claire IX.  À la fenêtre pendant la nuit X.  Éclaircie XI. XII.  Aux anges qui nous voient XIII.  Cadaver XIV. XV.  À celle qui est voilée XVI.  Horror XVII.  Dolor XVIII. XIX.  Voyage de nuit XX.  Relligio XXI.  Spes XXII.  Ce que c’est que la mort XXIII.  Les mages XXIV.  En frappant à une porte XXV.  Nomen, numen, lumen

V. Croire, mais pas en nous ....................................................360 VI. Pleurs dans la nuit ............................................................363 VII. ...........................................................................................387 VIII. Claire ..............................................................................388 IX. À la fenêtre pendant la nuit .............................................. 395 X. Éclaircie......................................

revanche tu m'as donné l'assurance que tu aurais les nerfs solides et le coeur ferme. Je suis depuis ce matin dans des tranchées conquises depuis 2 jours, l'ensemble de ces tranchées et boyaux forme un véritable "labyrinthe", où j'ai erré 3 heures cette nuit, absolument perdu. Les traces de la lutte ardente y sont nombreuses et saisissantes ; et d'abord elles sont plus qu'à moitié détruites par l'ouragan de mitraille que notre artillerie y a lancé, aussi sont-elles incommodes et horriblement sâles malgré

par nos découvertes. Ainsi le rond a toute la puissance de notre expérience, comme le vieillard retourne vers son enfance et retrouve les souvenirs enfouis dont il pensait ne plus se souvenir. La maison, le dedans est notre première mère. Nous y sommes protégés un peu comme le fœtus, pour y vivre nos premières expériences, y puiser de la force avant de nous envoler comme l’oiseau hors du nid. « Car la maison est notre coin du monde. Elle est (…) notre premier univers. » (p. 24) Ce passage est obligatoire

plus beau blond, Ouvrière humble et jolie, Ell' suivait tout droit sa vie, Lorsqu'un jeune homm' vint, comm' dans un roman, Qui l'avait vue en passant, Et qui, s'efforçant de la rencontrer, S'était mis à l'adorer. Et, timide, un soir que la nuit tombait, Avec un sourire il lui murmurait : Refrain "Bonsoir m'amour, bonsoir ma fleur, Bonsoir toute mon âme ! O toi qui tient tout mon bonheur Dans ton regard de femme ! De ta beauté, de ton amour, Si ma route est fleurie, Je veux te

début de la semaine, Mr H a de plus en plus de difficulté respiratoire et un endormissement important. L’équipe soignante a informé la famille de l’abstention thérapeutique et du pronostic sombre à court terme. Depuis le début de la semaine, nous sommes dans un contexte de soins palliatifs, la HAD vient pour faire ses soins (soins d’hygiène et pansement). L’équipe soignante mets en place des soins de confort et un accompagnement en fin de vie pour Mr H et pour sa famille. 2) Situation ayant entrainé

Education musicale : Nuit et brouillard de Jean Ferrat Et : Différent trains de Steve Reich Histoire- Géo : Vive l’Allemagne Français : le journal d’Anne Frank Thématique 2 : Arts, Rupture et Continuité Arts plastiques : Fontaine de Marcel Duchamp Arts plastiques : Le déjeuner sur l’herbe de Manet Nuit et Brouillard de Jean Ferrat Ils étaient vingt et cent, ils étaient des milliers Nus et maigres, tremblants, dans ces wagons plombés Qui déchiraient la nuit de leurs ongles

Le narrateur et Kat capturent une oie et la font rôtir. Moment heureux. VI. Nouvelle offensive, les soldats retournent au front. Rats. Bombardement durant la nuit, peur. Un jeune soldat panique, les autres essaient de rester calme. Manquent de nourriture. Ils attaquent, voient des Français qui sont tués. “Nous sommes devenus des animaux dangereux. Nous ne combattons pas, nous nous défendons contre la destruction”. Ils atteignent les lignes ennemies, combat direct. Prennent provisions

poser des questions. Le film commence, nous écoutons attentivement: nous voyons la transformation de Drancy, cité HLM des années 30, en camp d'internement. Au cours du film, nous apprenons l'histoire du camp; à aucun moment, en classe, nous ne nous sommes interessés à un camp en particulier: Il est toujours « moins douloureux » d'étudier les évènements en surface, en mémorisant uniquement les dates. Quand nous entendons résonner dans cette salle le générique de fin, les réactions sont différentes:

fond, qu’apporte-t-elle de plus que notre mode de vie actuel ? Pourquoi ne pourrions-nous pas continuer à nous délecter de cette existence au sein de laquelle progrès est associé à vitesse ? Tout d’abord, le rythme de vie effréné auquel nous sommes quotidiennement soumis nous empêche d’observer toutes les beautés de la nature et du monde qui nous entoure. Pressés par le temps, nous passons nos journées à courir et exécutons cette cadence infernale jusqu’à n’en plus pouvoir. Mais à côté de cela