Nous sommes la nuit

pour effectuer le réveil des filles du groupe. En arrivant, les veilleurs de nuits présents m’informe moi et ma collègue de matin ce jour là que 3 des filles du groupe ont fuguées dans la nuit. Il s’agit de M 12 ans, L 14 ans et M 14 ans. Ces trois jeunes filles auraient préparé leur sac à dos en pleine nuit ce qui a interrogé la veilleuse qui vérifiait dans les chambres que tout se passait bien. Lorsqu’elle est repassé plus tard elle a aperçut les 3 filles au bout du couloir et a tenté de les

fait halte, - je descends. - Nuit complète, - minuit vingt-cinq minutes. De tous côtés, s’étendent des champs, et au loin, éclairés par les feux saccadés des éclairs, une maisonnette, un arbre, dessinent leur silhouette sur un ciel gonflé d’orage. On n’entend que le grondement de la machine dont les gerbes d’étincelles filant du tuyau s’éparpillent comme un bouquet d’artifice le long du train. Tout le monde descend, remonte jusqu’à la locomotive qui grandit dans la nuit et devient immense. L’arrêt

La situa-on évoquée s’est déroulée en service de pédiatrie médicale au CHU de Caen. J’ai effectué mon stage de nuit. Le service était divisé en deux par-es: une par-e enfants - adolescents (de 3 à 16 ans) et une par-e dédiée aux nourrissons (de 0 à 3 ans) Ces derniers sont composés de: - Une infirmière chacun - Une aide soignante chacun - Un médecin de garde - Une cadre de nuit SE M ES TR E N ° _ S TA GE N ° _Analyse de situa-ons SEMESTRE N° _ ou ac-vités rencontrées STAGE N° _ Présenta-on

forme Les besoins de sommeil diffèrent d’une personne à l’autre et d’un âge à l’autre. En moyenne, un adulte dort entre 7 et 8 heures par nuit mais il existe des « courts dormeurs » et des « longs dormeurs ». Le record minimal observé est de 3 heures 30 de sommeil par nuit. À l’opposé, certains d’entre nous ont besoin de 11 ou 12 heures. La durée idéale d’une nuit de sommeil est celle qui donne le sentiment d’être en forme et efficace dès le lendemain matin. Notre appartenance à une « catégorie » de

Oreiller. Ami des endormis comme de ceux qui croquent la vie,c'est toi qui nous unit quand commence la nuit. Dès que sur toi une tête se pose, immédiatement, c'est l'osmose. Grâce à ton doux duvet, on a l'impression de planer, la tête dans les cieux et les nuages cotonneux. Que tu sois de plumes rembourré ou bien de lin tressé, c'est toujours toi que nous cherchons le premier. En effet, quand tu n'es pas là, la tête se situe beaucoup trop bas et se retrouve à plat. Impossible alors

alcool à Chicago , ce qui nous a amené a penser au racisme et ensuite à la ségrégation raciale . A travers beaucoup de livres et de films , la ségrégation raciale apparaît sous différentes formes. C’ est aussi un grand crime de l’ histoire qui a nuit à la population « noire » des États-Unis qui ont été confrontés à des violences illégales et à des intimidations , sans compter les lois de Jim crow . C’ est un fait historique dont on a beaucoup parlé et qui a marqué l’ histoire de l’ Amérique .

suit. En exécution des instructions téléphoniques du commandant GTIA N°5 du 13 Août 2013, relatives à l'escorte du personnel OCHA sur l'axe Arabébé-Dofana-Arabébé, le 14 Août 2013 nous nous sommes rendus à Arabébé d'où nous avons escorté le personnel OCHA jusqu'à Dofana, puis la mission devait revenir passer la nuit à Niafounké et continuer le lendemain 15 Août 2013 à 09 heures 30 minutes, sous notre escorte jusqu'à Arabébé où nous devrions passer le relai à la mission Onusienne. Le 15 Août 2013, la

marché, nous échangeâmes un sourire, puis je l’aidai à se relever, je m’excusais et partis chez moi. 5 semaines plus tard j’étais avec elle puis 2 mois après j’habitai dans sa maison elle avait une très belle maison avec  une belle cour de gravier bleu nuit.   2 ans plus tard, je suis assis ici devant mon fauteuil en train de vous écrire, demain c’est mon anniversaire, elle voulait venir me chercher au travail pour m’emmener chez un bijoutier m’acheter une montre. C’était le moment parfait j’avais

REDACTION : Rédiger un récit fantastique. Ce soir de décembre 1995, je rentrais de ma besogne habituelle, c’était une soirée plutôt normale. La nuit était paisible et claire. Les trottoirs enneigé laissèrent paraître des traces de pas. Alors que je fus perdue dans mes pensées, un pauvre homme, sans doute sans abris, m’aborda. Ne m’attardant pas à ses inquiétantes paroles, je continuai mon chemin... Après de longues minutes de marche, dans un froid semblable a celui de Russie, je me dirigeai

de la nuit, un monde empli de souvenirs et de rêves, de souffrances et de joies, d'angoisses et d'espérances, un monde feutré et palpitant , mystérieux et merveilleux où tout semble possible malgré le poids inéluctable du destin. Envoûté, le lecteur s'abandonne, saisissant le fil tendu par l'auteur et se laissant imperceptiblement guider , épousant « les détours » de la vie jusqu'à son « dernier mot ». Obaba, c'est l'île de l'enfance, le territoire de la mémoire, ce havre auquel nous sommes toujours