Nouvelle Fantastique

Compte rendue de lecture du Horla de Guy de Maupassant Titre : le Horla Type de récit : nouvelle Auteur : Guy de Maupassant Nationalité de l’auteur : français Date de naissance : 5 aout 1850 Date de mort : 6 juillet 1893 Partie informative : L’histoire se déroule essentiellement à Paris, malgré les différents voyages du personnage principal, au 19 eme siècle. Le narrateur est interne à l’histoire, il s’agit du personnage principal qui raconte l’histoire sous formes de journal.

il rencontre ensuite plusieurs scientifiques qui ne peuvent pas l'aider. La peau de chagrin dépasse la science, la science est incapable de décontracter la peau. Une certaine critique pour montrer que même avec l’aide de la science, même avec les nouvelles idées scientifiques de son époque, la science n’arrivera jamais à résoudre le problème d’une âme corrompu, d’une âme diabolique, de l’âme de Raphaël. Du fait de la place que tient dans le roman, l’action des forces irrationnelles («diaboliques»)

commissaire de police retraité et ami de Madame Raquin, son fils Olivier, également dans la police, sa femme Suzanne et Grivet, collègue de Camille : Ils prennent le thé en jouant aux dominos. Thérèse déteste ces soirées. Un soir, Camille amène un nouvel invité, Laurent, qui s'est résigné à travailler dans les chemins de fer après avoir vainement essayé de vivre de sa peinture. Les deux hommes se sont connus quand ils étaient enfants puis se sont perdus de vue. Un jour, Laurent propose à la famille

cas extrême de schizophrénie (dédoublement de personnalité). - Rapport entre le réel et le fantastique : Le monde fantastique de Maupassant n’est pas peuplé de monstres et de fées. L’élément étrange (le horla) s’introduit dans une vie quotidienne très ordinaire, banale où rien ne peut être qualifié d’anormal. C’est un univers réaliste sur lequel vient se greffer l’étrange, ce qui rend l’élément fantastique plus crédible. * Style : - Les phrases de Maupassant sont relativement courtes, le lien grammatical

Bram Stoker, Dracula, Pocket, 1897. INITIATION A LA DISSERTATION « Nous sommes maintenant en état de préciser et de compléter notre définition du fantastique. […] D’abord, il faut que le texte oblige le lecteur à considérer le monde des personnages comme un monde de personnes vivantes et à hésiter entre une explication naturelle et une explication surnaturelle des événements évoqués. Ensuite, cette hésitation peut être ressentie également par un personnage ; ainsi le rôle de lecteur est pour

( Utilisation d’éléments visuels d’origines extrêmement diverses => absurdité de la collection confond la vue et l’esprit ( hallucinations, et donnent aux objets des significations nouvelles et changeantes : « Mes facultés visionnaires s’intensifièrent à tel point que je me mis à voir les objets contre un nouvel arrière-plan.» ( Paul Eluard est l’un de ses plus proches amis. Il lui achète ses premières peintures surréalistes et c’est grâce à lui qu’il pourra fuir et vivre à Paris durant 4 ans

dramatique a) dramatisation des énoncés * alternance des phases de tension (2/3 § foc interne : tensions / 1/4/5§ narration) * mots ordre chrono_ vb d’action _énoncé coupé / énoncé ancré (futur-conditionnel) b) la progression de la peur * scène fantastique déclencheur d’angoisse : *lieu clos*solitude*nuit*choses anormal *chp lex de la peur + gradation +répetitionx3 * introspection et autoscopie (apparition d’un double)*modalisateur de l’incertitude * allitérations en « q » => balle /

Intro: Dès les années 1830, le genre fantastique, que l'on peut qualifier de ''romantisme noir'', prend son essor en France avec plusieurs œuvres littéraires connues dont ''le Diable amoureux'' deJacques Cazotte,''La fée aux miettes'' de Nosier et plus tard, ''Le Horla'' du célèbre Guy de Maupassant.Entre temps en 1835, alors qu'il avait 34 ans, Prosper Mérimée écrit ''la Vénus d'Ille'', unenouvelle fantastique inspirée d'une légende médiévale, de ses souvenirs de tournées archéologiques dans le

Introduction : Sylvie est une nouvelle écrite par Gérard de Nerval et publiée en 1853 pour la première fois dans la revue les Deux Mondes puis intégrée l’année suivante dans un recueil intitulé Les Filles du Feu . L'extrait que nous allons étudier se situe dans le chapitre VII portant le titre "Chaalis". En effet ,cet extrait est un récit issu d’un souvenir de voyage du narrateur, plus exactement d’une scène de fête se déroulant dans le Valois alors que celui-ci se rendait en direction de Loisy

NOUVELLE ET CONTE : ESSAIS DE DEFINITIONS « Le conte appartient plutôt à la tradition orale. […] Il est souvent, aussi, destiné aux enfants. Pour cette raison, il a volontiers un caractère moral. […] La nouvelle apparaît sous ce nom à une époque où la transmission des œuvres se fait essentiellement par écrit. La morale n’en est pas forcément absente, mais il appartient plutôt au lecteur de la dégager. Le conte évoque souvent une époque ancienne, voire très ancienne, ou qu’il