Nouvelle

Il était une fois, au plus profond des forêts du Nord, un vieil homme qui vivait dans une chaumière. Il habitait loin de toute ville, et il avait pour seule compagnie, un cheval. Un cheval qui devait être aussi vieux que l’homme. La bête faisait peur à voir, en effet, sa robe était parsemée de déchirures anciennes, de croûtes, d’œufs de mouches... Sa crinière avait presque disparu et les seuls crins qui restaient étaient tout emmêlés. La seule partie du corps de la bête qui était soigné, était ses

A qui profite le crime ? Audience du vingt-sept septembre deux mille neuf, l'avocat général établit un rappel des faits. Bernadette Bissonnet née en mille neuf cent cinquante et un , exerçant le métier de pharmacienne à Castelnau-le-Lez est retrouvée morte à son domicile le vingt mars deux mille huit à l'âge de cinquante six ans. Mariée à Jean-Michel Bissonnet depuis mille neuf cent soixante dix-huit, ils ont eu deux enfants, Marc et Florent. Jean-Michel Bissonnet , Meziane Belkacem ainsi qu'Amaury

Les portes de la rame du métro s’ouvrirent, la foule se bouscula pour entrer dans le wagon, parmi eux, un homme à l’allure ordinaire, le genre de personne que l’on ne remarque pas, Lucas rentrait chez lui. Une fois arrivé chez lui il mangea, et s’endormi devant son poste de télévision, seul. Les heures passèrent, arrivé deux heures du matin, Lucas fut brusquement réveillé par son téléphone, qu’il décrocha. La conversation terminée il enfila un des vêtements de sport, ramassa un sac posé dans

Ainsi soit-il, petite sœur chérie Le portail grince sur ses gonds rouillés. L’allée principale ondoie entre les massifs d’herbes folles et les fleurs colorées et odorantes. Un saule apitoyé caresse le visiteur tardif. Les lilas n’ont plus été taillés depuis bien longtemps et leurs grappes séchées et noircies par les intempéries se dressent tristes et mornes comme des candélabres. Un seuil vétuste, six marches de pierre fendillées et moussues, voici la villa « Vatosoa », plus conçue au siècle

Un destin indien L’Inde que décrit Selina Sen dans ce premier roman très abouti est celle des faubourgs de New Delhi et des émigrés du Bengale qui ont fui leur pays lors de la partition entre l’Inde et le Pakistan. Trois générations vivent sous un même toit. Les grands-parents — Dadu, le grand-père médecin perdu dans le souvenir de son pays abandonné, et Dida, la lumineuse et malicieuse grand-mère —, leur fille Ma, veuve d’un militaire en poste dans l’Himalaya, et les deux petites-filles, Chhobi

Matthieu s’assit dans ce bar qui paraissait sans vie pour réfléchir à cette journée atroce qui s’apprêtait à se terminer, dans 5 minutes il était minuit et tout s’arrêterait. Cette journée fut terrible car le matin du vendredi 13 janvier 2006, par malheur, Matthieu, très superstitieux était passé sous une échelle. Depuis, sa journée était un vrai cauchemar. Il avait été acheté des fleurs pour sa femme et il s’était fait piquer par l’épine d’une rose et avait fait une allergie. Ensuite à l’hôpital

Augustin attendait dans la gare St Charles de Marseille. Son train avait une heure de retard, alors il observait la foule. Il adorait s’amusait avec la foule. Il imaginait les vies, les vices et les envies, skotchait facilement sur les plus beaux fessiers, rêvant d’un coït merveilleux, le regard lubrique et la mâchoire pendante. Il prenait toujours un Fluide Glacial pour les voyages, recueil de bandes dessinées aux bonnes blagues salasses et aux jolies bulles satyriques. La voie enfin annoncée

Une Mémoire pour l’oubli Elle partit, tenant sa fille dans ses bras à la recherche, folle mais pas désespérée, d’un simple jouet d’enfant, d’une poupée en chiffon, dans ce monde cruel et obscur qui était la guerre… Elle avança lentement comme si on lui bloquait les jambes pour pas bouger, pour rester immobile. Sa fille, pourtant, la tira vers l’avant en criant : « Je veux ma poupée. » Alors, elles se mirent en marche en observant tout autour d’elles. Elles la regardèrent dans les

Je m’appelle John Paramount et j’avais 15 ans quand cet événement anormal m’est paru. Le matin 21 Janvier 2012 au moment où je voulu me rasé j’ai remarqué quelque chose étrange avec le miroir. Il était comme contraire, il était bleu et blanc mais maintenant il était rouge et noir ; le ver qui reflétait mon visage était trouble comme quand on touche de l’eau. Avec ma curiosité hors du commun j’eu essayé de toucher ce miroir étrange. En y mettant mon doigt je fus comme expédier dans : « Un monde parallèle »

Il était 8h du matin, je me réveille petit à petit dans cette pièce : ma chambre. Cette pièce de murs sanguinairement immaculés de peinture blanche. Cette pièce pratiquement vide, aussi bien que de meubles que d’air pure ; il n’y a qu’un lit superposé sur lequel je dors sur le lit du haut, une vielle table de marron sur laquelle se trouve la télé que je regarde chaque soir pour suivre ma série télévisée préférée, d’un lavabo, d’une cuvette de toilette et bien sûr d’une petite cabine de douche pour