Nudité

traîne » était un succès. D'ailleurs, « Mme Saccard fut merveilleuse ». L'auteur la décrit par les caractéristiques d'une déesse aux « belles épaules », « à la chaire de soie », « aux nudités de statue », « vivante jouissante », de « cette gorge nue ». Elle marchée d'une façon « si calme et si tendre dans sa nudité », Zola la compare à une « fleure » il la présente avec une hyperbole « une si étrange fleur de volupté ». On retrouve une critique explicite lorsque l'auteur nous informe qu'elle avait

eu grand impact dans le monde et a permis d’accéléré la fin de la guerre du Vietnam. Elle illustre toute la violence de la guerre qui s’en prend à des innocents. La peur et la douleur sont omniprésentes. La publication fut retardée pour cause de la nudité de l’enfant et elle était jugée trop violente pour le public américain. Cette photographie donne un visage aux victimes anonymes, elle représente toute la souffrance de la guerre et sa cruauté. La présence des enfants représente un grand atout, elle

monde "...Aurélien s'y sent bien, il retrouve dans cette espèce de fraternité naturelle, cette nudité, des vieux ressentiments de la guerre. À la lumière blessée de la guerre se jonche la lumière verte et apaisante de l'eau , "là-bas il y avait la terre comme ici il y avait l'eau". Aussi il retrouve dans cette nudité nécessaire et obligatoire de le piscine , le sentiment de porter l'uniforme : " la nudité rétablissait le miracle de l'uniforme." (p. 181)...Donc déjà dans cette eau Aurélien retrouve

Colonie nous voyons que les hommes pensent que les compétences des femmes s’arrêtent à la sphère domestique et qu’elles n’ont aucun rôle à jouer dans la société. A travers l’enquête TNS les hommes pensent que la nudité des femmes est banale et normale, les médias exploitent la nudité de la femme en tant que femme objet pour attirer l’attention et mieux vendre, or la femme se sent dévalorisée, elles n’acceptent pas ce que la publicité fait de leur corps et de leur image. Pour finir dans le dessin

bien réelle. Vacillante entre le respectable et l’indécent, cette peinture du Nu est certainement différente de celles connues au temps de la Renaissance. Ainsi, l’érotisme dans le Second Empire, transforme peu à peu l’image du Nu en une vision de nudité, un plaisir charnel traduit par des corps ou des conventions imparfaites, et conséquemment sexualisés4. Ainsi, le choix de coiffure et de location de la part de Courbet est similaire au portrait de Van Dongen et traduit en ce sens une modernisation

« Pouvoir ». La femme nue et sans défense et elle est réduite à rester le trésor caché de l’Homme, il « l’empoigne » «  la ceinturant de ses doigts robustes ». On peut voir dans ces quelques poèmes que la femme est un objet de perversion de par sa nudité comme si elle vivait que pour assouvir les désirs et pulsions de l’Homme, comme si le physique était la seule chose qui rendait la femme puissante. Mais, la femme est aussi perçue comme étant la muse de Man ray et celle de Paul Eluard ; Elle est

rôle religieux et politique, ils représentent les corps suivant un schéma de proportions précis et codifié généralisé par l'écriture hiéroglyphique2. Les individus sont aussi représentés de taille différente selon leur importance hiérarchique et la nudité est souvent l'apanage des serviteurs, comme on peut par exemple le voir sur la Palette de Narmer. C’est en Grèce en effet qu’a lieu la première “révolution” fondamentale dans la représentation de la figure humaine. Au lieu de se contenter de conventions

son temps comme Zola, Baudelaire, Renoir, Monet, et tant d’autres. 1863 -> « Déjeuner sur l’herbe » Manet réalise l’une des plu grandes toiles de son œuvre. Elle sera exposée la même année au Salon des refusés et dérangera les critiques par la nudité d’une femme déjeunant en la compagnie de deux hommes vêtues. Dans cette œuvre, Manet rompt avec les techniques académistes pour utiliser avec originalité les caractéristiques du mouvement impressionniste. 1865-> Manet expose « Olympia » Le

l’efficacité d’un tel outil d’attraction du regard. Elle consiste à évoquer l’émotion voluptueuse à travers les ambiances et les ellipses, sans vraiment montrer. La deuxième approche est directe et consiste en la représentation de corps à divers degré de nudité. Ce deuxième cas de figure pourrait être qualifié d’approche sexuelle. Ce dernier cas de figure peut, lorsqu’elle est poussée à l’extrême, s’approcher des codes de la pornographie. La provocation et la suggestion implicite peuvent aussi passer par

une légende antique. À sa droite, elle est reçue par un personnage féminin, l'une des Heures, filles de Zeus et de Thémis ou la divinité du printemps tentant, malgré le vent, de la couvrir d'un voile rouge parsemé de motifs floraux, pour cacher une nudité déjà bien dissimulée par la déesse elle-même. La mer dont on aperçoit peu l'horizon (pouvant rappeler la mer dans laquelle les organes génitaux de son père Ouranos sont tombés, mutilés par son fils Cronos) est prolongée par un paysage de côtes qui