Nudité Au Theatre

présente une rupture importante avec le premier style puisqu’il n’y a plus de relief en stuc. Vers 80 av J.-C. les décorateurs au service de l’aristocratie romaine eurent l’idée de rompre avec cette mode décorative séculaire et d’y insérer un décor de théâtre dur les parois, c’est à dire des scénographies. Consistant surtout en des perspectives architecturales, donnant l’illusion que les parois s’ouvraient sur le monde imaginaire. La villa des mystères appartient a deux genres picturaux qui sont ici associés

philosophie, et veut en faire sa philosophie première. Pour lui la première relation éthique qui peut s’instaurer entre deux êtres humains est celle qui découle de l’exposition du visage. En effet, celui-ci, lorsqu’il s’expose, dévoile une forme de nudité et de vulnérabilité de l’individu. Il traduira en premier lieu la personnalité de l’individu mais en plus de cela, une certaine responsabilité éthique s’instaurera entre le visage exposé et le spectateur. On peut donc dire que le visage, à l’origine

on peut constater que le théâtre Bunraku montre une animation de poupées sans fils. Elles sont tenues par trois hommes qui restent toujours visibles et pratiquent en quelque sorte les trois écritures séparées : « la marionnette, le manipulateur, le vociférant : le geste effectué, le geste effectif, le geste vocal »[11]. Le spectacle semble être divisé par les hommes en noir qui guident la poupée et n’essaient à aucun moment se cacher comme il serait coutume dans les théâtres de l’Occident. Le Bunraku

LA LOCANDIERA de Carlo Goldoni traduction Jean-Paul Manganaro mise en scène Claudia Stavisky 6 mars - 8 avril 2001 Production : Célestins, Théâtre de Lyon Coproduction : Théâtre du Gymnase – Marseille ; La Coursive – Scène Nationale de la Rochelle ; Théâtre de Namur – Centre dramatique Contacts presse : Marie-Hélène Arbour  01.64.59.64.18 / 06.85.91.70.99 Nathalie Casciano  04 72 77 40 40 Secrétaire Générale : Chantal Kirchner 1 LA LOCANDIERA de Carlo Goldoni mise en scène traduction

| | |Exercice d’analyse | | |Caractéristiques du théâtre de l’absurde | | |Exemple d’analyse d’un extrait |

Sujets 13 à 16 Mourir sur scène Polynésie, septembre 2009 (Séries ES-S) Corpus 1. A. CAMUS, Caligula, acte IV, scène 14, 1944. 2. E. IONESCO, Le roi se meurt, 1962. 3. L. GAUDÉ, Le Tigre bleu de l’Euphrate, 2002. Annexe : E. IONESCO, « Expérience du théâtre », Notes et Contre-Notes, 1966. Texte 1 Albert Camus, Caligula, acte IV, scène 14, 1944 Caligula, empereur romain dément et sanguinaire, est assassiné en 41 après Jésus Christ par une conjuration formée par les chefs de la noblesse et du sénat

Tartuffe touche Elmire sur scène), - Il y a aussi des excès et des invraisemblancesqui sont contradictoire avec le mouvement classique (comme l'intervention d'un envoyé du roi), - Et aussi le thème du jeu sur les apparencesqui est récurrent dans le théâtre baroque. Enfin, le Tartuffe présente des aspects proprement baroques dans une dialectique du masque et du visage, liée à la thématique de la mise en abîme, dela sincérité au service du mensonge etdutourbillon des apparences des personnages.

Oyono est envoyé au lycée de Nkongsamb puis, à la fin de la 4ème, au lycée de Provins. Il obtient le baccalauréat en 1950. Il va alors à Paris où il partage son temps entre la Faculté de Droit et l'Ecole Nationale d'Administration. Il s'essaie au théâtre. Il commence à rédiger Le Vieux Nègre et la médaille et Une vie de boy qui seront publiés en 1956. Les deux livres décrivent avec une ironie féroce un colonialisme sur le déclin. Ferdinand Oyono publia un peu plus tard un troisième roman : Chemins

le coude comme font souvent les très jeunes filles et se tait tout au long de son intervention. Le public applaudit, un peu faiblement à son goût. Après ces éclaircissements, le nouvel humaniste reprend sa critique. Derrida aurait-il eu honte de sa nudité devant une blatte, un bigorneau ? Ce sont ses propres fantasmes qu’il projette sur cette malheureuse chatte, qui se soucie comme d’une guigne du pénis derridien. Et puis il y a le souvenir d’enfance avec le ver à soie, qui éveilla sa curiosité sexuelle

dont le recouvrement par la couleur serait le derme. Le papier est comme le corps, c’est à dire qu’il est constitué de trois dimensions même lorsqu’il est très fin. On pourrait considérer la peinture comme le derme du papier qui recouvre et cache la nudité de sa trame comme la peau recouvre les fibres des muscles. La couleur rouge imprègne, dissimule les vergeures du papier, elle évoque les fibres des muscles tendus qui rougeoient et saillent sous une écorchure. La couleur rouge s’est imposée comme