Nuit et brouillard

attendent que le brouillard se lève pour continuer leur périple. B est en train de lire le Voyage autour du monde de Bougainville. A, qui n'a pas lu cet ouvrage interroge B sur la personnalité de Bougainville (« un homme curieux qui passe d'une vie sédentaire et de plaisirs au métier actif, pénible, usant et dissipé du voyageur ») et sur son voyage, ce qui permet à B de rappeler les grandes étapes de son périple. Le chapitre se termine par des considérations d'ordre météorologique : le brouillard s'est levé

cavalerieScipion père aurai été a ce moments sauvé par scipion l’africain alors qu’il a 18 ans.21-22 décembre 218 : de la trébie (affluent du Pô= Calpurnius rive droite)Stratégie d’épuisssement des romains nuit, froid poursuite de cavalliers bruyants, tandis fantassins carthage dorme au chaud bien nourrie mais brouillard tombe sauve de dernières minutes romains et général calpurnius22 juin 217 : bataille du lac Trasimène= flaminius consul, 4 légions Pas d’ éclaireur pris entre colline, Lac et attaque sur trois

antisémites qui se dégagent du Marchand de Venise de Shakespeare ou du Juif de Malte de Marlowe ?
Cela vaut d’ailleurs pour des types d’évaluation qui ne sont pas morales. Par exemple, un historien de la seconde guerre mondiale pourra juger Nuit et brouillard (Alain Resnais & Jean Cayrol 1955) mauvais du point de vue de sa pertinence historique étant donné ses erreurs et ses confusions [14], mais pourra lui reconnaître une valeur esthétique : l’organisation des plans et du texte, le choix du plan-séquence

dans une rue à Londres, et quand ils passent devant une étrange porte, Enfield, lui raconte une « très singulière histoire » qui était dans ses souvenirs. Enfield marchait dans cette même rue, quand il a vu un homme vers 3 heures du matin dans une nuit d’hivers. Il aperçoit un petit homme et une petite de 8 ou 10 ans environ, l’homme était en train de pétiller la petite. Enfield criait pour à l’aide et quand un petit groupe confronte l’homme il a gardé son sang-froid, mais il les regardait avec un

l’extrait : « prêtre je suis hanté ». L’usage du « je » démontre que la hantise se fait en lui. Durant tout le long du poème, l’auteur utilise des noms et des adjectifs sombres et noirs comme : « Horreur », « désespoir », « suicide », « mortels », « nuit ». Ce qui laisse entendre que l’auteur est dans un environnement sombre et solitaire comme le confirment les extraits : « Et personne ne vient » et « Mon âme est le donjon des mortels péchés noirs ». Par contre à la fin du poème l’auteur utilise un

aurait projeté sa propre interprétation et ceux qui ne partagent pas ses avis ne seraient nullement touchés ! Une certaine scène choquera profondément celui-ci, mais n’aura pas d’effet sur son voisin. Alors que – c’est d’ailleurs le cas dans Nuit et Brouillard d’Alain Resnais - à travers des insinuations, des phrases à demie-achevées, des références passagères à une violence incompréhensible, que le réalisateur nous donne tout simplement les outils pour construire notre propre conception de ce qui

doigts osseux sortaient des noirs grabats, Un vent froid bruissait dans les linceuls sans nombre; Les peuples éperdus semblaient sous la faulx sombre Un troupeau frissonnant qui dans l’ombre s’enfuit; Tout était sous ses pieds deuil, épouvante et nuit. Derrière elle, le front baigné de douces flammes, Un ange souriant portait la gerbe d’âmes. Victor Hugo, Les Contemplations, « Pauca Meae », XVI, 1856 Demain dès l’aube … Dans ce poème romantique, Victor Hugo dédie ce poème sa fille Léopoldine

c’est pour Zucco être un mort vivant. Tous ceux dont l’existence obéit à ces critères sont des morts vivants : les étudiants de la Sorbonne sont, par métaphore, des ombres dont on n’entend même pas les pas (20), la vie qu’ils mènent est un brouillard épais (23) ; ils sont l’antithèse des voyous, des héros (19), c'est-à-dire ceux qui échappent à cette uniformité délétère. - Le vieil homme correspond, avant son expérience du métro (les gens ordinaires comme je l’étais, 34), à cette image

clignotait seulement quand je passais devant. Il me surveillait, me reconnaissait ! Cela m’épouvantait ! Mais la curiosité me gagna … Le lendemain, en pleine nuit, je décidai d’aller voir un peu plus près. La nuit m’effrayait encore plus, j’entendais des bruits sourds et inquiétants… Je voyais toujours ce point clignoter malgré tout se brouillard … Je le voyais distinctement ! J’hésitais … Plongé ? Ne pas plongé ? Que m’attendais t-il au fond de l’eau ? 1 … 2 … 3… J’étais dans l’eau … GLACIALE ! Je

par les rayons ardents de l'été... des souffles plaintifs + comparaison :les deux rives [...], étaient comme deux larges bandes qui allaient se rejoindre à l'horizon =) décor angoissant, tableau impressionniste environnement évolue jusqu'à un « brouillard laiteux », lieu floue, opaque = on tombe ds les ténèbres silence pesant, pas d'action, texte reste calme « Rien n’est plus douloureusement calme qu’un crépuscule d’automne » =) tension énigmatique disposition des pers :sont confondus ds l'environnement