Objet Ordinaire Poésie

I) Poète évoque un objet familier 1) Un poème descriptif évoquant un objet banal 2) Le poète décris aussi le contenu du buffet II) Poète invoque cet objet qui symbolise le temps, la mémoire : lyrisme 1) Un objet particulier personnifier 2) Buffet et son contenu représente le temps qui passe III) Vision du vieillissement des êtres et des choses et du mécanisme des souvenirs 1) Eloge de la vieillesse 2) Mémoire

Du Moyen Âge à l'époque dite « classique », la poésie a toujours été soumise à un art de dire qui avait pour objet de trouver le beau mesuré selon la rigueur de la soumission à la règle poétique, mais aussi à la règle sociale. C'est la grande époque des arts poétiques. Le poète fut tour à tour le protégé du seigneur, du prince ou du roi. Quelques auteurs d'arts poétiques (en latin uniquement) au Moyen Age : Bède le Vénérable Ars metrica Matthieu de Vendôme Geoffroy de Vinsauf Jean de Garlande

La poétique, ARISTOTE Extrait «La poésie semble devoir sa naissance à deux choses que la nature a mises en nous. Nous avons tous pour l'imitation un penchant qui se manifeste dès notre enfance. L'homme est le plus imitatif des animaux, c'est même une des propriétés qui nous distinguent d'eux: c'est par l'imitation que nous prenons nos premières leçons; enfin tout ce qui est imité nous plait, on peut en juger par les arts. Des objets que nous ne verrions qu'avec peine, s'ils étaient réels, des

quotidien, tous tirés d’une réalité très commune. On y trouve notamment quelques espèces de la faune la plus courante (« La Crevette », « Le Papillon », « Escargots », « L’« huître », « Notes pour un coquillage », …), des minéraux (« Le Galet », …), des objets fabriqués par l’homme (« Le Cageot », « La Bougie », …), des comestibles (« Le Pain », « L’Orange », …), des phénomènes naturels (« La Pluie », « Le Cycle des saisons », …), mais aussi des lieux familiers (« Le Restaurant Lemeunier rue de la Chaussée

décèdé dans les Alpes-Maritimes, le 6 août 1988. Poète français, comtemporain, il a été elevé au sein d'une famille protestante aisée, il connaît une enfance paisible il éprouve déjà, à l'âge de dix-sept ans, une violente révolte contre le parler ordinaire, Ses études supérieures se soldent par un double échec : il ne parvient pas à obtenir ni sa licence de philosophie ni son entrée à l'Ecole Normale ( Etablissement public d'enseignement supérieur et de recherche pour les études prédoctorales et doctorales

européenne et machiste des colons blancs ; apparaît dans le courant du négrisme, par réaction, l’apologie exclusivement de la femme noire ou mulâtresse. Il ne faudra néanmoins pas confondre la poésie négriste avec un quelconque mouvement littéraire traditionnel, même si elle s’en inspira au début. Dans cette poésie de la réhabilitation de la beauté de la femme noire et à travers celle-ci, de toute femme ayant sa descendance, s’exprime la réhabilitation de la race jadis esclave. Une littérature qui tient

La poésie est depuis longtemps un genre littéraire auquel les poètes ont recours pour donner une force à leur expressivité. Ses formes variées et rythmées ont pour rôle d'imager les idées de ces écrivains. Mais il est difficile d'en tirer une définition précise, car la poésie a sa propre signification pour chaque auteur. D'après Jean Cocteau, grand poète français qui marqua le 20ème siècle pour son originalité, « La poésie montre nues, sous une lumière qui secoue la torpeur, les choses surprenantes

échoue à dire l’amour et à représenter la femme, se résout finalement à valoriser l’amour des mots. A travers ces pages, il s’agira de lire « l’échec » de la représentation de la femme comme la condition de possibilité d’un « recentrement » de la poésie qui dévie ses fonctions référentielles vers elle-même en s’orientant vers la célébration des puissances du langage. La vision masculine de la femme est généralement informée par deux tendances : un courant mystique issu des rêves d’amour chevaleresque

parfums, couleurs, son ») ; tantôt ce sont des contrastes inattendus (« nuit » et « clarté »). La logique ordinaire n’a plus sa place dans ce monde de sensations où la raison obéit à l’intuition (l’« unité » est ainsi à la fois « vaste comme la nuit et comme la clarté»…); tantôt ce sont des rythmes qui rendent sensible ce que la parole ordinaire ne saurait rendre. On mesure ce qui fait la poésie des deux textes en comparant leur «définition » à celle dictionnaire ; on y lit «dynamo» : machine qui

était la purgation des passions. Rien de tout cela n'est dans la Poétique que nous avons. Mais heureusement on y trouve les grands principes, et quelques détails qui peuvent nous mener à ce que nous n'avons pas. On y trouve la définition exacte de la poésie prise en général, et les différences de ses espèces. On y trouve la nécessité de mettre dans un poème une action, et une action qui soit unique, entière, qui ait un noeud, un dénoûment ; qui soit vraisemblable, intéressante ; dont les acteurs aient