Obscurité

retrouver son Barbagny, dont il nous parlait d’ailleurs lui-même absolument au hasard. C’était comme si on avait essayé en m’engueulant très fort de me donner l’envie d’aller me suicider. Ces choses-là on les a ou on ne les a pas. De toute cette obscurité si épaisse qu’il vous semblait qu’on ne reverrait plus son bras dès qu’on l’étendait un peu plus loin que l’épaule, je ne savais qu’une chose, mais cela alors tout à fait certainement, c’est qu’elle contenait des volontés homicides énormes et sans

une inexplicable angoisse métaphysique. Dès lors, il ne cessera d'interroger cette part d'ombre, à la fois inquiétante et fertile. « Cette nuit si terrible apparaît bénéfique si nous l'embrassons, les yeux ouverts, dans la vérité du regard. » dans Obscurité du Jour, 1974. Difficilement classable, poète avant tout et surtout, il écrit aussi pour le théâtre et travaille à la radio pendant une vingtaine d'années (Club d'essai [2]). Il remet en jeu les conventions des genres et tente des expériences

Marais. Elle débute au moment où Marais gravit les marches de la cabane cependant qu'ilespionnait son maitre, comme chaque nuit, depuis « trois ans » (p. 109). Les scènes sont sombres, seule la lumière de la bougie amène une faible clarté. Cette obscurité suppose le peu de vie restant aujanséniste, et elle ne dévoile que l'utile : les instruments, les visages, les objets. Tout le reste est ombre car vanité ou mystère. b) Union des deux violistes Surtout, le dévoilement de l'image,la lenteur du montage

joue-t-il vraiment son rôle ? I) Paroxysme de l’attente et de la tension II) L’attente prend fin III) Un dénouement qui n’apporte pas l’apaisement attendu I_ Paroxysme de l’attente et de la tension 1) Conditions : accélération, obscurité, silence 2) L’inquiétude chez les personnages 3) Comportement de l’Aïeul II_L’attente prend fin 1) Un déclic et une prise d’initiatives 2) L’arrivée de l’intruse 3) L’annonce de la mort III_ Un dénouement qui n’apporte pas l’apaisement

s’étonner pourtant de sa singuliere faiblesse d’interprétation. Prenant les termes traditionnellement maniés par les artistes comme allant de soi : pictural et linéaire, plan et profondeur, forme fermée et ouverte, unité et multiplicité, clarté et obscurité, il les y avait rappelle t’il , définis uniquement en tant qu’idées de la forme concerte, en tant que formes de vision, les avait ordonnés en un systeme, avant de les illustrer en prenant pour exemple l’évolution de l’art depuis la renaissance jusqu’au

l'état de spleen ? En quoi le spleen traduit-il le sentiment d'oppression ? Vous montrerez le rôle de l'analogie dans ce poème. Pourquoi le spleen nous empêche-t-il d'atteindre l'idéal ? PLAN Des lieux qui correspondent au mal-être évoqué Une obscurité sensorielle et morale Une plongée vers l'angoisse Exemple de plan lieux qui correspondent La prison physique Symbolisée par le ciel, le cachot puis l'enfer L’étouffement qui est un étouffement intérieur Le mal être physique et moral Les

du style imitatif que Wölfflin classe en cinq catégories: le privilège: du pictural sur le linéaire. de la profondeur sur la superposition des plans. de la forme ouverte sur la forme fermée. de la multiplicité sur l'unité. de obscurité sur la clarté. On retrouve aussi ces critères chez Van Hals, Rembrandt ou Vermeer. Selon l'ouvrage de Gombrich « l'histoire de l'art », le mot Baroque n'a été employé par les auteurs que tardivement. En effet, le but était d'utiliser ce mot

impuissant, j'ai l'impression de l'être depuis bien trop longtemps. Il faut que tu reviennes, je veux que tu reviennes, sans toi c'est bien trop dur. J'ai sur estimé mes forces, je n'y arriverai pas.. J'ai besoin de te voir pour sortir de cette obscurité, ce voile de noirceur qui m'entour de plus en plus à chaque seconde. Sois ma lumière comme tu l'as toujours été, le rayon de soleil qui m'a toujours manqué. On fond quand on y pense c'est idiot, loin des yeux mais prêt du coeur, pourtant j'ai l'impression

pts : 1 minute / 1’30Mouvement du passageVers 1 à 10 : Un remords insurmontable et lancinant Vers 11 à 20 : Un personnage faussement salvateur / Un personnage aux émotions macabres/Une illusion salvatriceVers 21 à 25 : Une angoisse écrasante/Une obscurité insurmontableEnjeu de l’explication (n’en choisir qu’un seul lorsque vous passez à l’oral) Comment ce poème définit-il le pouvoir rongeur du remords ? Comment le poème traduit-il la lutte contre

phrase, célèbre d’ailleurs les vertus qui envahi la salle. Cette nuit est perçu comme un véritable bain de jouvence, comme gommant tout les différence sociale. La salle de cinéma a donc des propriété qui s’oppose aux mondes extérieurs, car son obscurité annule les différences permettant une communion entre les spectateurs et un recueillement par rapport aux agressions. La salle et le film vont consoler Suzanne de ces angoisse en lui permettant l’évasion. Nous allons analysé dans cette deuxième